La sensibilisation centrale à la douleur est un facteur très étudié dans sa dimension clinique. « Une douleur aiguë très intense est associée à un haut risque de douleur persistante » a affirmé le Dr Kehlet. On se demande s’il s’agit d’une réponse neurologique ou s’il existe des facteurs pré-opératoires qui déterminent l’intensité et la chronicité de la réaction douloureuse.
Sur le plan neurologique, il apparaît que l'installation de la sensibilisation dépend d’abord d’une sensibilisation centrale puis d’un entretien provenant des influx périphériques, dans le cas des lésions organiques durables. D’où l’intérêt d’identifier les facteurs favorisants à la chronicisation.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature