Interrogé par « Le Quotidien », le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) ne souhaite pas s’exprimer sur le fond des trois affaires « en cours ». « Il ne s’agit pas d’une situation particulièrement exceptionnelle, précise toutefois le Dr André Deseur, porte-parole du CNOM et président de la section « Exercice professionnel ». En Seine-et-Marne, deux ou trois plaintes à l’encontre de médecins du travail ont été déposées devant les instances ordinales ces trois dernières années, par des employeurs… mais aussi des employés ».
L’Ordre rappelle qu’« octroyer un soin dans le cadre de l’exercice de la médecine du travail, remettre un document stipulant un fait (comme le harcèlement moral) sans en avoir été le témoin direct et sans dossier d’enquête établi après recueil d’informations et dévoiler un secret de fabrication de l’entreprise » sont des fautes passibles de condamnation.
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