En 40 ans d'exercice à Boulogne (92), seul dans mon cabinet, j'ai été agressé verbalement de très nombreuses fois, et physiquement 3 fois. Pourtant, j'ai trop rarement signalé ces faits à la police et au CDOM dont les chiffres sont très sous-estimés. Je le regrette maintenant. Dans les années 90, une patiente que je connaissais pourtant bien, à qui je refusais un certificat injustifié pour pouvoir bénéficier d'une prestation supplémentaire, m'a dit qu'elle allait me faire assassiner par le FIS (Front Islamique du Salut).
Courrier des lecteurs
Trop de sursis pour les agresseurs
Publié le 21/01/2019
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