En associant des approches complémentaires de biologie cellulaire et structurale, des chercheurs de l’INSERM et du CNRS à Montpellier ont montré comment le BPA et ses dérivés interagissent avec le récepteur des estrogènes et modulent son activité. Dans cette étude publiée dans PNAS, les chercheurs décrivent pour la première fois le mode d’action de ce composé à l’échelle moléculaire et présentent un outil bioinformatique capable à la fois de prédire son interaction avec le récepteur en 3D, et d’évaluer les liaisons de potentiels substituts à ce récepteur. « Les résultats de notre étude ainsi que les outils cellulaires, biophysiques et bioinformatiques que nous avons mis au point vont permettre d’orienter la synthèse de nouveaux composés conservant leurs caractéristiques industrielles mais dénués de propriétés hormonales », expliquent Patrick Balaguer et William Bourguet, directeurs de recherche Inserm.
Les mécanismes d’action moléculaire du bisphénol enfin décryptés
Publié le 19/09/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9160
Des soins buccaux avant une chirurgie réduisent le risque de pneumonie postopératoire
Chikungunya : un record de cas autochtones cet été, les arboviroses continuent de sévir
Prévention du VIH : la Commission européenne autorise la commercialisation du lénacapavir de Gilead
Le régime méditerranéen réduit le risque d’Alzheimer, même en cas de prédisposition génétique