Après l’avoir retirée, puis remise sur le marché, l’agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) vient de publier un document d’aide à la prescription du traitement contre l’acné sévère liée à une sensibilité aux androgènes Diane 35 et de ses génériques.
Deux questionnaires
Le document comprend deux questionnaires sur les facteurs de risque thromboemboliques de la patiente. Si cette dernière présente un des neuf facteurs de risques listés dans le premier questionnaire (contraception hormonale, antécédents de thrombose…), il est recommandé de ne pas prescrire Diane 35.
Si elle présente un des 12 facteurs de risques énumérés dans le deuxième questionnaire (IMC supérieur à 30, antécédents thromboemboliques familiaux…), l’ANSM recommande de vérifier la pertinence du traitement.
Puberté, croissance, fertilité : retour sur le congrès d’endocrinologie de l’ESE et l’Espe
Tensions d’approvisionnement : l’ANSM autorise temporairement les préparations magistrales de sertraline
Un antivenin à large spectre développé grâce à un homme mordu par 200 serpents
Les statines semblent améliorer la survie dans deux cancers du sang