Lors des guerres napoléoniennes, les chirurgiens Dominique Larrey et Pierre-François Percy décrivirent des états de sidération psychique sous l’appellation de « syndrome du vent du boulet » ; lors de la Première guerre mondiale, les médecins militaires évoquèrent les névroses traumatiques, ces blessures psychiques considérées alors par le commandement comme des faiblesses morales, des actes de trahison ou de désertion, passibles du peloton d’exécution. Aujourd’hui le traumatisme psychique provoqué par les situations de violences, lors des guerres, des catastrophes ou des émeutes, est qualifié indifféremment de TSPT (Trouble de stress post-traumatique), d’ESPT ou de SSPT (syndrome de stress post-traumatique).
Du « vent du boulet » à l’ESPT
Publié le 09/12/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9287
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