La recherche dermatologique est extrêmement prolifique. L’accélération de sa production scientifique est en partie liée à l’avènement de la biologie computationnelle et des sciences « omiques » : génomique, épigénomique, transcriptomique et protéomique, qui génèrent des quantités très importantes de résultats et de nouvelles hypothèses de recherche (data-driven hypothesis).
Ces techniques permettent notamment d’identifier de nouveaux marqueurs diagnostiques et pronostiques et des cibles thérapeutiques.
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