Finis les duos du type Bertrand-Berra, Wœrth-Bachelot, Bertrand-Bas ou, pour remonter plus loin, les attelages Aubry-Kouchner ou Guigou-Gillot... La nouvelle pilote du ministère de la Santé est à la tête d’un « super-ministère » qui comprend aussi – et surtout – les Affaires sociales.
Et si Marisol Touraine dispose de ministres délégués fléchés pour l’épauler sur les dossiers « Personnes âgées », « Famille » et « Personnes handicapées », pour la Santé, il n’y en a point.
Dans un passé proche, seul Philippe Douste-Blazy, ministre de la Santé et de la Famille et de la Solidarité de Jean-Pierre Raffarin entre les printemps 2004 et 2005, présentait un profil similaire.
Cette « concentration » des compétences est-elle un avantage ou un inconvénient pour les dossiers du secteur ? Rend-elle la ministre difficilement accessible ? Est-ce une situation passagère – on peut imaginer qu’un ministre délégué à la Santé fasse son apparition dans le gouvernement après les législatives... ? À vous de débattre...
Accès aux soins : la Défenseure des droits entend démonter les discriminations envers les trans
Le Dr Ugo Ricci, généticien criminologue, passionne l’Italie
À l’étranger, des médecins plutôt favorables à l’aide à mourir pour eux-mêmes
749 incidents de cybersécurité déclarés dans les établissements de santé en 2024, en hausse de 29 %