« C'est le plus grand échec de vaccination », a déclaré le Pr Fischer lors de son audition le 3 octobre à propos du vaccin HPV. La défiance étant à son top niveau avec moins de 14 % des jeunes filles vaccinées aujourd'hui, il a paru « politiquement difficile » de rendre le vaccin obligatoire, a expliqué le Pr Fischer. La différence de régime recommandé/obligatoire n'est pas pour simplifier les choses, ce d'autant que va se poser la question d'étendre la vaccination aux garçons. « Ce sera une de nos batailles », a déclaré la ministre qui avait défendu le vaccin contre le col de l'utérus en tant que présidente de l'INCa.
Le vaccin HPV, le vilain petit canard
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Publié le 12/10/2017
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Source : Le Quotidien du médecin: 9609
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