La Mutualité Française souhaite prendre « toute sa part » aux discussions sur l’ouverture des données de santé et être « associée aux travaux à venir », notamment sur l’accès au système d’information interrégimes de l’assurance-maladie (SNIIRAM).
La Mutualité prend néanmoins ses distances avec une proposition du récent rapport de Pierre-Louis Bras sur l’Open data. Le nouveau secrétaire général des ministères sociaux préconise une gouvernance par le ministère de la Santé, en s’appuyant sur un Haut conseil des données de santé. « Plutôt que la création d’une nouvelle instance de gouvernance, la Mutualité préconise une évolution de l’Institut des données de santé (IDS), préservant son indépendance et son ouverture à toutes les parties prenantes aux côtés des pouvoirs publics ».
Un médecin sur trois déclare avoir été sujet à l’épuisement professionnel, selon une étude Odoxa-MNH
Fin de vie : en commission, les députés s’accordent sur un « droit » à l’aide active à mourir
Le programme Emmie au Québec ou comment amener les femmes enceintes à se vacciner
Décès de Roland Mehl, fondateur du prix Galien