La prise en charge de l’apnée du sommeil par PPC a coûté 400 millions d’euros à l’assurance-maladie en 2012, en hausse de 11 % par rapport de 2011. Mais la dépense non justifiée liée à la sous-utilisation de la PPC est estimée à plusieurs dizaines de millions d’euros. D’où l’idée des pouvoirs publics d’une téléobservance couplée au remboursement conditionnel...
Demain, quid du télésuivi à grande échelle du diabète de type 2, de l’insuffisance cardiaque, de l’hypertension artérielle résistante, de la BPCO ? La téléobservance des maladies chroniques soulève des questions de gouvernance (patients/médecins/prestataires/Sécu...), de remboursement, de modèle économique et de sécurisation des données de santé. Le député PS et cardiologue Gérard Bapt invite chacun « à replacer le débat sous l’angle de la pertinence des soins ».
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