Le Journal officiel l’avait annoncé le 17 juillet dernier : cinq médicaments de la sphère ORL et bronchopulmonaire sont déremboursés depuis le 1er septembre pour service médical rendu (SMR) insuffisant. Il s’agit du Derinox 15 ml en flacon avec pompe doseuse, du Deturgylone (poudre et solvant pour solution pour pulvérisation nasale), du Lomudal (solution pour nébulisation), du Rhinamide (20 ml, solution pour pulvérisation nasale en flacon nébuliseur), du Rhinofluimucil (gouttes en flacon de 10 ml), et du Rhinureflex en comprimés pelliculés.
Selon la Mutualité Française, ces déremboursements pourraient procurer des économies de l’ordre de 7 millions d’euros en année pleine pour l’assurance-maladie, et de près de 33 millions pour les complémentaires. Mais comme lors de précédentes vagues de déremboursements, il est possible que ces prévisions d’économies soient faussées par un report de prescription des médecins vers d’autres spécialités remboursables, et plus chères.
Le ministère lance une stratégie nationale « Intelligence artificielle et données de santé »
Les fongémies liées aux injections de drogues, un tableau clinique particulier
Microbiote : mieux informés, des Français à mobiliser pour la recherche
La dérivation biliaire du bypass gastrique Roux-en-Y protège du cancer colorectal