
La qualité de la vie sexuelle durablement améliorée par la chirurgie bariatrique
Les consignes des ministères de l'Éducation et de la Santé seraient fortement divergentes en ce qui concerne le droit des lycéens à fumer dans les établissements scolaires, selon le syndicat des proviseurs SNPDEN-Unsa qui a écrit au Premier ministre Manuel Valls fin janvier pour se plaindre des « divergences d'appréciation » entre les deux ministères.
Après les attentats du 13 novembre, l'organisation avait « signalé au ministère de l'Éducation le risque » que présentaient les élèves rassemblés devant les établissements pour fumer. « Le ministère nous avait entendus et nous a alloué une marge de manœuvre », a expliqué à l'AFP le secrétaire général du SNPDEN-Unsa, Philippe Tournier.
Le ministère de la Santé avait, pour sa part, protesté dans une lettre datée du 31 décembre et reçu mi janvier, disant que les chefs d'établissement enfreignaient la loi. La ministre a rapidement été rejointe par l'Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie (ANPAA) qui rappelle que l'autorisation accordée par certains directeurs d'établissement viole « directement la réglementation en vigueur qui interdit totalement aux élèves et aux personnels de fumer dans l'enceinte des établissements et d'aménager des espaces réservés aux fumeurs, y compris dans les espaces non couverts ».
L'ANPAA rappelle que la prévalence du tabagisme chez les jeunes est suffisamment forte : « 44 % des jeunes de 17 ans déclarent avoir fumé dans le mois précédent et 32,5 % fument déjà régulièrement, selon l'enquête ESCAPAD ».
Pour les addictologues, « l'état d'urgence ne doit pas constituer une opportunité pour écorner une mesure majeure de la lutte contre le tabagisme [...] Les directeurs d'établissement doivent assumer pleinement leur responsabilité éducative en matière de santé et leur part d'une politique de long terme pour le bénéfice des élèves. »
L'ANPAA demande par ailleurs à Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l'Éducation nationale, d'organiser rapidement « une réunion de concertation » avec l'ensemble des associations de lutte contre les addictions, les proviseurs, le ministère de la Santé et la MILDECA.
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