Les Français s’approprient de plus en plus les objets connectés. Selon une enquête réalisée par le site 1001pharmacies.com auprès d’un échantillon de 200 personnes hors web représentatives de la population française (méthode des quotas), ils sont même 99 % à déclarer s’y intéresser.
Les applications de suivi des activités sportives et de prévention de certaines maladies sont citées par 65 % des sondés comme les domaines privilégiés d’utilisation. Viennent ensuite le suivi de la qualité du sommeil et les applications destinées au diagnostic ou au pronostic des pathologies (50 %). Enfin, le suivi des paramètres biologiques (poids, tension artérielle, pouls) est cité par 35 % des sondés, devant la surveillance des enfants (12 %).
La sécurité des données en question
Sous forme de bracelets ou de montres, les « coaches » d’activité physique et les outils d’auto-mesure de la tension artérielle arrivent en tête des catégories d’objets connectés que réclament les consommateurs, devant les outils de surveillance du bébé, du suivi du sommeil et du poids.
La protection des données de santé est source de vive préoccupation (70 % des Français se déclarent soucieux de la sécurité des données de santé en lien avec les objets connectés).
Les patients/consommateurs sont réticents à l’implantation de puces électroniques. Seulement 12 % d’entre eux seraient prêts à accepter de porter une puce mesurant les paramètres biologiques. Mais 49 % des sondés accepteraient l’idée d’un implant s’il est prescrit par un médecin.
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