L'auteur des "Humeurs médicales" se lance cette semaine dans un plaidoyer contre l'acharnement thérapeutique et pour les soins palliatifs. Et à l'appui de sa démonstration, il cite des études qui montrent la supériorité des seconds sur le premier... même en matière de durée de vie du patient. Pour lui, une conclusion s'impose : « que les médecins appartiennent à la catégorie des « acharnés » ou à celle des « sages », ils doivent toujours préférer les soins palliatifs. »
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