« Cette aide a le mérite d’exister, mais au final, elle traduit une forme de mépris des pouvoirs publics envers les médecins libéraux dont l'activité a été empêchée depuis le 16 mars. Les taux de charges sont en deçà de la réalité, et en plus il n'y a pas de bonus sur les honoraires des médecins. Nous aurions aimé un geste politique sur ce dernier point, avec le versement d’un douzième des honoraires habituellement perçus par mois. Certaines spécialités comme l'endocrinologie ou la pédiatrie, aux revenus bas, auront du mal, et des médecins proches de la retraite ou en cumul risquent de s'arrêter. »
Dr Philippe Vermesch, président du SML.