« Les 750 millions annoncés n’existent pas ! C’est une réaffectation de crédits déjà prévus dans la loi de santé. On demande une évolution de l’ONDAM à 5 %, soit 4 milliards d’euros. Si on n’a pas cet argent, toutes les mesures de réorganisation proposées – dont certaines sont très critiquables – ne pourront pas être mises en œuvre. Je ne sais pas quel technocrate a inventé le SAS mais ça ne rime à rien ! »
Dr Christophe Prudhomme
Porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France (AMUF)