« La Cour des comptes a, une fois de plus, une vision purement comptable. Le principe des vases communicants – plus de patients en dialyse à domicile, moins en centres – est une mauvaise idée. Ce ne sont pas les mêmes patients qui sont concernés ! Quant à la situation des néphrologues libéraux, elle est enjolivée. Ils sont les premiers arrivés et les derniers partis pour la dialyse, et s'occupent de l'ensemble du parcours patient. »
Dr José Brasseur, président du Syndicat des néphrologues libéraux