« Cet accompagnement financier va dans le bon sens, on ne peut pas le négliger. Mais il ne va payer qu'une partie des charges des médecins, et non la totalité, alors que des spécialités comme la radiologie n'ont aucune rentrée d'argent depuis le début. Nous allons vers des problèmes majeurs si l'impossibilité d'opérer – due à la pénurie d'anesthésiants et donc à l'incurie de l'État – perdure. Il y aura des retards de prise en charge pour les patients, et zéro revenu pour les médecins concernés. Si c'est le cas, il faudra revoir ces mécanismes d'accompagnement, et l'État devra prendre ses responsabilités. »
Dr Jean-Paul Ortiz, président de la CSMF