En novembre 2012, apparaissait en Arabie Saoudite, le premier cas d’infection liée à un nouveau coronavirus, plus tard rebaptisé MERS Cov, suivi 6 mois plus tard, d’un nouveau virus aviaire A, H7N9, apparu en Chine.
Ces deux virus émergents partagent la capacité d’alerter les systèmes de surveillance et l’Organisation mondiale de la santé. Car, 10 ans après le SRAS, on craint toujours une pandémie d’autant que ces virus, chez les sujets fragilisés, ont des taux de mortalité élevée, de plus de 25 % pour le H7N9 et de près de 50 % pour le nouveau coronavirus. En France, seul le MERS Cov sévit : deux cas ont été diagnostiqués, l’un est décédé le mardi 28 mai. En revanche, H7N9 reste à peu près circonscrit en Chine.
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