Seul film africain de la compétition, « Grigris », du Tchadien Mahamat-Saleh Haroun, est une forme de polar qui met en scène deux marginaux, un jeune homme handicapé d’une jambe qui est aussi un extraordinaire danseur (Souleymane Démé) et une métisse contrainte à la prostitution (Anaïs Monory). Un couple inattendu et convaincant confronté aux violences des trafiquants d’essence – une plaie de son pays que le cinéaste souhaitait évoquer en évitant les poncifs du genre. (Sortie le 28 août)
L’aventure de « Grigris » Abonné
Publié le 27/05/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9245
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