Les cinéastes iraniens Jafar Panahi et Mohammad Rasoulof sont sous le coup d’une condamnation à six ans de prison et vingt ans d’interdiction de travailler contre laquelle ils ont fait appel. Ils seront présents à Cannes par l’interpédiaire de deux films réalisés dans des conditions semi-clandestines. « Au revoir », de Rasoulof, raconte l’histoire d’une jeune avocate de Téhéran en quête d’un visa lui permettant de quitter le pays. « Ceci n’est pas un film », réalisé avec Mojtaba Mirtahmasb, évoque la vie quotidienne de Jafar Panahi en attente du verdict de la cour d’appel. « Le fait d’être en vie et le rêve de garder le cinéma iranien intact nous encouragent à dépasser les restrictions actuelles qui nous sont faites », indique le cinéaste dans un message envoyé au festival le 5 mai. « Nos problèmes sont nos fortunes, ajoute-t-il. La compréhension de ce paradoxe prometteur nous invite à ne pas perdre l’espoir et à poursuivre notre chemin. »
Des nouvelles de Jafar Panahi Abonné
Publié le 11/05/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8960
La Grave, la Clarée, l’Izoard
La montagne profonde des Hautes-Alpes
Adresses
« En thérapie », la nouvelle série d'Arte
Un psy et ses patients, novembre 2015
Centenaire de la mort du compositeur
Une année pour Saint-Saëns