Art
Après la commande d’origine, Inside the Horizon, où la lumière du jour associe une lumière jaune, des jeux de miroirs et d’eau dans un long défilé, les œuvres de l’exposition temporaire « Olafur Eliasson : Contact » démultiplient l’espace, avec des jeux d’ombres et de lumière, pour connecter l’homme à l’univers.
En modifiant notre perception, Eliasson interroge « l’horizon qui sépare, chez chacun d’entre nous, le connu de l’inconnu. ». Ce grand artiste islando-danois, né en 1967, internationalement reconnu, nous plonge dans une expérience sensorielle avec deux grandes installations, comme spectateur d’une éclipse puis dans un monde en accélération. Plusieurs sphères lumineuses interagissent avec le bâtiment. Les visiteurs sont invités à se considérer comme des astéroïdes. Sa réponse à la complexité du bâtiment se fait par des formes simples dans un environnement de percussion.
L’univers trouve un écho dans le deuxième accrochage, avec, entre autres, quatre toiles translucides au centre desquelles est posée une météorite du grand artiste allemand Sigmar Polke (qui a actuellement une rétrospective à la Tate Modern de Londres) et les photos et dessins sur albâtre et papier carbone de l’Anglaise Tacita Dean qui questionnent les traces d’un temps immuable.
Olafur Eliasson jusqu’au 16 février, Accrochage 2 jusqu’au 30 mars. Tous les jours sauf le mardi de 12 à 19 heures, le vendredi jusqu’à 23 heures ; samedi et dimanche de 11 à 20 heures. Tél. 01.40.69.96.00, www.fondationlouisvuitton.fr.
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