Mettre un cadavre sous la terre ou le faire brûler n'implique pas forcément qu'il y a sépulture. Si celle-ci est exigée dans certaines cultures, son refus peut aussi correspondre à la volonté de faire disparaître le corps loin du monde visible.
Philosophie et rituels
Cadavres exquis
Par
André Masse-Stamberger -
Publié le 02/12/2019
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Entre les morts et les vivants, la société s'interpose, souvent sous la forme de la sépulture. Éric Crubézy, médecin-archéologue, professeur d'anthropobiologie et directeur du laboratoire Anthropologie moléculaire et imagerie de synthèse CNRS-université Paul-Sabatier à Toulouse, a étudié les ensembles funéraires sur quatre continents. Au-delà d'une étonnante diversité, il s'interroge sur le rapport des hommes à la mort.

Déjà abonné ?
« Nous pour un moment », « Au café Maupassant »
Sophistication glaçante, simplicité chaleureuse
Couture, mode, design
Haut de gamme et/ou écolo
L'Épona (InterContinental Hôtel Dieu) à Lyon
Une reconversion de prestige
# 4 : On se retrouve