Dans sa note, l'Académie évoque « le problème particulier de la téléradiologie ». 23 ARS ont estimé devant la Cour des comptes que des établissements de leur ressort y avaient recours. Or, le radiologue méconnaît les antécédents du patient et n'a qu'une communication « limitée » avec le clinicien. Elle doit donc rester « un pis-aller », avec « les plus sérieux des organismes de téléradiologie » travaillant avec des règles éthiques strictes (protocoles rigoureux, demandes soigneusement remplies, accès au dossier patient).
La téléradiologie, un « pis-aller »
Publié le 21/05/2021
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Source : Le Quotidien du médecin