Formation à la langue des signes, à l’analyse critique de la promotion pharmaceutique, à l’interprofessionnalité, à la communication avec les patients, etc. : les 36 départements de médecine générale sont le reflet des évolutions de la pratique.
Alors que la quatrième année de DES pourrait devenir une réalité, Le Généraliste a entamé un tour de France afin de mettre en lumière des projets portés dans chacun de ces départements.
- Le DMG de Bordeaux : Des étudiants formés à plus d'indépendance
- Le DMG de Saint-Étienne : Des étudiants s’initient à la langue des signes pour une pratique plus inclusive
- Le DMG de Rouen : La communication au cœur de l'enseignement
- Le DMG de Nice : Un partenariat avec les patients pour mieux former les internes
- Le DMG de Lyon : L’evidence-based medicine au cœur des thèses des internes
Suppression de l'AME : nouvelle vague d'indignation du côté des doyens et des jeunes médecins
Victoire pour les internes : 400 euros minimum par mois en plus, la revalorisation des gardes de nuit enfin pérennisée
L'Albanie veut contraindre ses jeunes médecins à rester dans le pays cinq ans après leur diplôme
Regards croisés sur l’urologie : « C’est extrêmement varié, chacun peut y trouver un pôle d’intérêt »