Un motif peu souvent évoqué dans l'encombrement des urgences est la grande difficulté d'accès (c'est le cas dans ma ville) à des consultations dans des délais raisonnables à l’hôpital (où les médecins sont pourtant beaucoup plus nombreux qu'avant). Combien de fois nous entendons nous répondre lors de telles demandes : «adressez votre patient aux urgences» ? Il est trop facile de rendre systématiquement les médecins généralistes libéraux responsables de la surcharge des urgences.
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À Paris, des médecins Padhue dans la rue pour dénoncer l’aberration de leur quotidien
Revalorisation des astreintes : les praticiens hospitaliers maintiennent la pression
Praticiens diplômés hors UE
Les Padhue à nouveau dans la rue
Investissement en santé : malgré l’urgence, pourquoi ça coince encore