« Un appel médical urgent appelle une réponse médicale. Un point, c'est tout ». Alors que rien n'est tranché sur la création d'un numéro unique, Agnès Buzyn a tenu un discours rassurant sur la qualité de la régulation médicale.
Elle a confirmé aussi l'intégration des SAMU dans la certification des établissements de santé et la création d'un diplôme national obligatoire pour les assistants de régulation médicale (ARM), dont la formation inégale est pointée du doigt depuis l'affaire Naomi Musenga. En parallèle, urgentistes (syndicats, société savante) et experts du numérique réfléchissent à l'utilisation de l'intelligence artificielle (en soutien des ARM et pour la régulation des flux) afin de désengorger les services.
À Paris, des médecins Padhue dans la rue pour dénoncer l’aberration de leur quotidien
Revalorisation des astreintes : les praticiens hospitaliers maintiennent la pression
Praticiens diplômés hors UE
Les Padhue à nouveau dans la rue
Investissement en santé : malgré l’urgence, pourquoi ça coince encore