L’anesthésiste belge, mise en examen pour « homicide involontaire aggravé » après le décès d’une de ses patientes fin septembre à la maternité d’Orthez, a reconnu avoir consommé de l’alcool le soir des faits tout en assurant qu’elle n’était « pas ivre », a-t-on appris de source judiciaire.
« Le soir des faits, j’avais bu, une demi-bouteille d’un mélange de vodka et d’eau de 50 cl. Je n’étais pas ivre, j’étais à 70% de mes capacités », a déclaré selon cette source l’anesthésiste de 45 ans, qui comparaissait ce mardi devant la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Pau pour demander sa remise en liberté. La décision a été mise en délibéré et sera rendue jeudi matin.
Hôpital : nouvelle journée de mobilisation le 21 janvier et lundis de la colère, les syndicats veulent rallumer la flamme
Covid-19 : à l'AP-HP, une deuxième vague « sans commune mesure » avec la première mais un surcoût de 346 millions d'euros
AP-HP : des soignants et usagers demandent à Véran de retoquer le projet « comptable » d'hôpital Grand Paris Nord
« Soignants usés au regard fatigué », l'hommage en chanson d'un urgentiste guitariste