« Alors que de nombreuses heures supplémentaires ou plages de temps additionnel ne sont pas reconnues tant pour les personnels paramédicaux que médicaux, il ne peut être question de sacrifier les RTT », écrivent les praticiens du Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes-réanimateurs élargi (SNPHAR-E), inquiet de la réforme des 35 heures à l’AP-HP.
S’ils admettent la nécessité d’une « réorganisation », les médecins du Mouvement de défense de l’hôpital public (MDPH) craignent également de voir fondre la masse salariale des personnels soignants au regard des économies réclamées par le gouvernement.
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