En dehors du tériparatide, réservé aux patients à haut risque, en présence d’au moins deux fractures vertébrales, dont la prescription relève du spécialiste, le généraliste a une place centrale dans la prise en charge de l’ostéoporose post-ménopausique par ses prescriptions, ses recommandations d’hygiène de vie et la qualité de son suivi, gage d’une bonne adhésion aux traitements.
Le raloxifène est intéressant dans la population récemment ménopausée, à faible risque de fracture périphérique. Les bisphosphonates sont le traitement de première intention chez les femmes à risque élevé de fractures périphériques. Le dénosumab est une alternative thérapeutique intéressante chez les patientes à risque élevé de fractures, en cas d’insuffisance rénale et, en 2e intention, en relais des bisphosphonates.
Mise au point
Les infiltrations en médecine générale
Mise au point
Diagnostic de la maladie d’Alzheimer en 2025
Étude & pratique
Apnées du sommeil : quel impact de la ventilation sur la mortalité ?
Cas clinique
L’épulis