Longtemps utilisée en tant qu’alternative aux anticoagulants, l’aspirine ne trouve plus aucune indication dans la fibrillation atriale. En effet, si elle ne confère qu’une prévention très imparfaite contre les événements emboliques, le taux de complication hémorragique est similaire voire supérieur aux anticoagulants, en particulier chez les patients âgés.
E2. La place de l'aspirine dans la fibrillation atriale
Publié le 20/05/2016
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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