CORVASAL INTRAVEINEUX 10 mg, lyophilisat pour usage parentéral (IV), boîte de 10 flacons de lyophilisat de 10 mg
Retiré du marché le : 30/08/2012
Dernière révision : 09/08/2004
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : SANOFI AVENTIS FRANCE
Traitement de l'angor instable.
CONTRE-INDIQUE :
- Hypersensibilité à la linsidomine.
- Hypotension artérielle systolique (< 100 mg Hg).
- Hypovolémie.
- Association au sildénafil (voir interactions et mises en garde). Chez tout patient traité par la linsidomine, on ne doit pas prescrire de sildénafil tant que le patient est sous l'action de la linsidomine. En cas de traitement par sildénafil, la linsidomine est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
- Grossesse : bien que les études chez l'animal n'aient révélé aucun effet tératogène, l'innocuité de Corvasal Intraveineux 10 mg chez la femme enceinte n'a pas été établie. L'utilisation pendant la grossesse est donc déconseillée.
- Allaitement : le passage de Corvasal Intraveineux 10 mg dans le lait maternel n'a pas été étudié. L'utilisation pendant l'allaitement est donc déconseillée.
- Hypersensibilité à la linsidomine.
- Hypotension artérielle systolique (< 100 mg Hg).
- Hypovolémie.
- Association au sildénafil (voir interactions et mises en garde). Chez tout patient traité par la linsidomine, on ne doit pas prescrire de sildénafil tant que le patient est sous l'action de la linsidomine. En cas de traitement par sildénafil, la linsidomine est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
- Grossesse : bien que les études chez l'animal n'aient révélé aucun effet tératogène, l'innocuité de Corvasal Intraveineux 10 mg chez la femme enceinte n'a pas été établie. L'utilisation pendant la grossesse est donc déconseillée.
- Allaitement : le passage de Corvasal Intraveineux 10 mg dans le lait maternel n'a pas été étudié. L'utilisation pendant l'allaitement est donc déconseillée.
- Association de la linsidomine au sildénafil :
l'association de la linsidomine au sildénafil risque d'entraîner une chute importante et brutale de la pression artérielle pouvant être notamment à l'origine d'une lipothymie, d'une syncope ou d'un accident coronarien aigu (voir interactions et contre-indications).
- La pression artérielle systolique doit être étroitement surveillée pendant toute la durée de la perfusion, en particulier chez les sujets à risque (sujets âgés, contexte d'hypovolémie, patients déjà traités par une substance vasodilatatrice et/ou antihypertensive, voir interactions).
- Le débit de perfusion doit être adapté individuellement par paliers de 0,2 mg/h en fonction de l'évolution des signes cliniques et de la pression artérielle systolique.
- Toute baisse excessive de pression artérielle doit être évitée, car elle pourrait favoriser en particulier un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. En cas de baisse excessive de la pression artérielle, un remplissage vasculaire peut être envisagé.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : vasodilatateurs ou antihypertenseurs.
l'association de la linsidomine au sildénafil risque d'entraîner une chute importante et brutale de la pression artérielle pouvant être notamment à l'origine d'une lipothymie, d'une syncope ou d'un accident coronarien aigu (voir interactions et contre-indications).
- La pression artérielle systolique doit être étroitement surveillée pendant toute la durée de la perfusion, en particulier chez les sujets à risque (sujets âgés, contexte d'hypovolémie, patients déjà traités par une substance vasodilatatrice et/ou antihypertensive, voir interactions).
- Le débit de perfusion doit être adapté individuellement par paliers de 0,2 mg/h en fonction de l'évolution des signes cliniques et de la pression artérielle systolique.
- Toute baisse excessive de pression artérielle doit être évitée, car elle pourrait favoriser en particulier un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. En cas de baisse excessive de la pression artérielle, un remplissage vasculaire peut être envisagé.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : vasodilatateurs ou antihypertenseurs.
Des céphalées sont fréquemment signalées. Elles régressent sous traitement symptomatique, et ne nécessitent qu'exceptionnellement une diminution de la posologie, voire une interruption du traitement. Une diminution importante de la pression artérielle peut être notée, en particulier chez le sujet âgé ou traité par d'autres vasodilatateurs ou par des antihypertenseurs. En cas de baisse importante de la pression artérielle systolique, il convient de diminuer la posologie (voir posologie et mode d'administration).
Les effets indésirables suivants ont aussi été rapportés :
- troubles digestifs : vomissements, douleurs abdominales, diarrhée ;
- bouffées de chaleur, vasodilatation ;
- éruption maculopapuleuse.
Les effets indésirables suivants ont aussi été rapportés :
- troubles digestifs : vomissements, douleurs abdominales, diarrhée ;
- bouffées de chaleur, vasodilatation ;
- éruption maculopapuleuse.
Grossesse :
Bien que des études chez l'animal n'aient révélé aucun effet tératogène, l'innocuité de Corvasal Intraveineux 10 mg chez la femme enceinte n'a pas été établie. L'utilisation pendant la grossesse est donc déconseillée.
Allaitement :
Le passage de Corvasal Intraveineux 10 mg dans le lait maternel n'a pas été étudié. L'utilisation pendant l'allaitement est donc déconseillée.
Bien que des études chez l'animal n'aient révélé aucun effet tératogène, l'innocuité de Corvasal Intraveineux 10 mg chez la femme enceinte n'a pas été établie. L'utilisation pendant la grossesse est donc déconseillée.
Allaitement :
Le passage de Corvasal Intraveineux 10 mg dans le lait maternel n'a pas été étudié. L'utilisation pendant l'allaitement est donc déconseillée.
ASSOCIATION CONTRE-INDIQUEE :
Sildénafil : risque d'hypotension importante (effet synergique) pouvant aggraver l'état d'ischémie myocardique et provoquer notamment un accident coronarien aigu.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
Vasodilatateurs ou antihypertenseurs : en raison de survenue d'une hypotension artérielle.
La linsidomine peut être associée à l'héparine et à l'aspirine.
Sildénafil : risque d'hypotension importante (effet synergique) pouvant aggraver l'état d'ischémie myocardique et provoquer notamment un accident coronarien aigu.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
Vasodilatateurs ou antihypertenseurs : en raison de survenue d'une hypotension artérielle.
La linsidomine peut être associée à l'héparine et à l'aspirine.
La mise en solution du lyophilisat peut être effectuée indifféremment avec une solution glucosée isotonique à 5%, de l'eau pour préparations injectables, ou une solution de chlorure de sodium isotonique à 0,9%.
La solution obtenue doit être administrée uniquement par voie intraveineuse, à l'aide d'un perfuseur électrique à débit réglable. La solution est stable 12 heures à température ambiante.
Il est recommandé de débuter la perfusion à un débit de 1 mg/h puis de l'adapter individuellement par paliers de 0,2 mg/h toutes les 15 minutes en fonction de l'évolution de la douleur et de la tolérance hémodynamique (pression artérielle systolique). Une surveillance régulière de la pression artérielle est nécessaire pendant toute la durée de la perfusion. Si la pression artérielle systolique baisse de manière excessive, un remplissage vasculaire peut être envisagé.
Des débits supérieurs à 1,6 mg/h n'ont été que rarement dépassés dans les essais cliniques et ne sont donc pas recommandés dans l'état actuel des connaissances.
La durée usuelle de traitement est de 3 jours (72 heures), sans dépasser 5 jours.
En cas de survenue d'une nécrose myocardique, il convient d'interrompre la perfusion de linsidomine et d'instaurer le traitement approprié.
La solution obtenue doit être administrée uniquement par voie intraveineuse, à l'aide d'un perfuseur électrique à débit réglable. La solution est stable 12 heures à température ambiante.
Il est recommandé de débuter la perfusion à un débit de 1 mg/h puis de l'adapter individuellement par paliers de 0,2 mg/h toutes les 15 minutes en fonction de l'évolution de la douleur et de la tolérance hémodynamique (pression artérielle systolique). Une surveillance régulière de la pression artérielle est nécessaire pendant toute la durée de la perfusion. Si la pression artérielle systolique baisse de manière excessive, un remplissage vasculaire peut être envisagé.
Des débits supérieurs à 1,6 mg/h n'ont été que rarement dépassés dans les essais cliniques et ne sont donc pas recommandés dans l'état actuel des connaissances.
La durée usuelle de traitement est de 3 jours (72 heures), sans dépasser 5 jours.
En cas de survenue d'une nécrose myocardique, il convient d'interrompre la perfusion de linsidomine et d'instaurer le traitement approprié.
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C.
La solution reconstituée dans du glucose à 5% ou du chlorure de sodium à 0,9% ou de l'eau pour préparations injectables est stable pendant 12 heures à une température inférieure à 25°C.
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C.
La solution reconstituée dans du glucose à 5% ou du chlorure de sodium à 0,9% ou de l'eau pour préparations injectables est stable pendant 12 heures à une température inférieure à 25°C.
- Corvasal Intraveineux 10 mg ne doit pas être administré dans la même tubulure de perfusion que l'énoximone, le furosémide ou le nitroprussiate de sodium.
- Des études de compatibilité physicochimique ont montré la compatibilité de Corvasal Intraveineux 10 mg avec l'amiodarone, le deslanoside, le diltiazem, la dobutamine, la dopamine, une gélatine fluide modifiée, une héparine sodique, une insuline d'action rapide, l'isoprénaline et la lidocaïne.
- La mise en solution du lyophilisat peut être effectuée indifféremment avec une solution glucosée isotonique à 5%, de l'eau pour préparations injectables, ou une solution de chlorure de sodium isotonique à 0,9%.
- Des études de compatibilité physicochimique ont montré la compatibilité de Corvasal Intraveineux 10 mg avec l'amiodarone, le deslanoside, le diltiazem, la dobutamine, la dopamine, une gélatine fluide modifiée, une héparine sodique, une insuline d'action rapide, l'isoprénaline et la lidocaïne.
- La mise en solution du lyophilisat peut être effectuée indifféremment avec une solution glucosée isotonique à 5%, de l'eau pour préparations injectables, ou une solution de chlorure de sodium isotonique à 0,9%.
Il n'a pas été rapporté à ce jour d'observation de surdosage en linsidomine, mais les propriétés pharmacodynamiques connues permettent de prévoir la survenue d'une hypotension artérielle importante. Celle-ci nécessiterait l'interruption de la perfusion, voire un traitement symptomatique en cas de persistance des troubles.
VASODILATATEUR/ANTI-ANGINEUX.
(C : système cardiovasculaire).
- La linsidomine, métabolite actif de la molsidomine (Corvasal), appartient à la famille des sydnonimines, qui sont des anti-angineux donneurs directs d'EDRF/NO (EDRF = endothelium derived relaxing factor, identifié à l'oxyde nitrique, NO), l'un des principaux facteurs relaxants libérés par l'endothélium vasculaire.
- En effet, l'ouverture spontanée du cycle sydnone de cette molécule, au pH physiologique du sang, conduit à la formation d'un composé labile libérant d'une part un radical NO, et d'autre part un métabolite inactif. Toutes ces transformations ne nécessitent pas de cystéine, ce qui n'expose pas au phénomène de tachyphylaxie ou d'échappement thérapeutique. Les effets de la linsidomine reproduisent les effets vasculaires et plaquettaires de ce facteur physiologique indépendamment de la présence de l'endothélium vasculaire. Au niveau cellulaire (fibre musculaire lisse vasculaire, plaquettes), elle stimule la formation de GMPcyclique, ce qui induit la relaxation des fibres musculaires lisses, donc une vasodilatation et, in vitro, l'inhibition de l'adhésion et de l'agrégation plaquettaires.
- Sur des modèles expérimentaux de thrombose, la linsidomine exerce un effet antithrombotique. Elle augmente la fibrinolyse endogène et pourrait ainsi limiter l'extension du thrombus.
- Chez l'Animal comme chez l'Homme, la linsidomine diminue le retour veineux et la précharge du ventricule gauche, réduisant ainsi la consommation d'oxygène du myocarde. Elle ne modifie pas la contractilité du myocarde et n'affecte pas les résistances périphériques ni la fréquence cardiaque ni la conduction. La linsidomine dilate sélectivement les grosses artères coronaires épicardiques sans induire de vol coronaire. En injection intraveineuse lente de 1 mg chez l'insuffisant cardiaque, la linsidomine entraîne une baisse d'environ 30% des pressions auriculaire droite, capillaire et artérielle pulmonaire moyenne qui se manifeste rapidement (4 à 6 minutes) et atteint son maximum entre 15 et 30 minutes. La durée d'action de la linsidomine est comprise entre 25 et 40 minutes selon le paramètre considéré.
- En perfusion intraveineuse continue chez des patients présentant un angor instable ou un infarctus du myocarde, la linsidomine à la posologie moyenne de 1 mg/h entraîne une baisse de 10% de la pression artérielle systolique et diastolique sans modifier la fréquence cardiaque. La pression artérielle revient aux valeurs initiales 60 minutes après l'arrêt de la perfusion.
(C : système cardiovasculaire).
- La linsidomine, métabolite actif de la molsidomine (Corvasal), appartient à la famille des sydnonimines, qui sont des anti-angineux donneurs directs d'EDRF/NO (EDRF = endothelium derived relaxing factor, identifié à l'oxyde nitrique, NO), l'un des principaux facteurs relaxants libérés par l'endothélium vasculaire.
- En effet, l'ouverture spontanée du cycle sydnone de cette molécule, au pH physiologique du sang, conduit à la formation d'un composé labile libérant d'une part un radical NO, et d'autre part un métabolite inactif. Toutes ces transformations ne nécessitent pas de cystéine, ce qui n'expose pas au phénomène de tachyphylaxie ou d'échappement thérapeutique. Les effets de la linsidomine reproduisent les effets vasculaires et plaquettaires de ce facteur physiologique indépendamment de la présence de l'endothélium vasculaire. Au niveau cellulaire (fibre musculaire lisse vasculaire, plaquettes), elle stimule la formation de GMPcyclique, ce qui induit la relaxation des fibres musculaires lisses, donc une vasodilatation et, in vitro, l'inhibition de l'adhésion et de l'agrégation plaquettaires.
- Sur des modèles expérimentaux de thrombose, la linsidomine exerce un effet antithrombotique. Elle augmente la fibrinolyse endogène et pourrait ainsi limiter l'extension du thrombus.
- Chez l'Animal comme chez l'Homme, la linsidomine diminue le retour veineux et la précharge du ventricule gauche, réduisant ainsi la consommation d'oxygène du myocarde. Elle ne modifie pas la contractilité du myocarde et n'affecte pas les résistances périphériques ni la fréquence cardiaque ni la conduction. La linsidomine dilate sélectivement les grosses artères coronaires épicardiques sans induire de vol coronaire. En injection intraveineuse lente de 1 mg chez l'insuffisant cardiaque, la linsidomine entraîne une baisse d'environ 30% des pressions auriculaire droite, capillaire et artérielle pulmonaire moyenne qui se manifeste rapidement (4 à 6 minutes) et atteint son maximum entre 15 et 30 minutes. La durée d'action de la linsidomine est comprise entre 25 et 40 minutes selon le paramètre considéré.
- En perfusion intraveineuse continue chez des patients présentant un angor instable ou un infarctus du myocarde, la linsidomine à la posologie moyenne de 1 mg/h entraîne une baisse de 10% de la pression artérielle systolique et diastolique sans modifier la fréquence cardiaque. La pression artérielle revient aux valeurs initiales 60 minutes après l'arrêt de la perfusion.
- Injectée en bolus intraveineux, la linsidomine a une demi-vie d'élimination de 30 minutes. A l'arrêt d'une perfusion lente, les taux plasmatiques décroissent rapidement avec une demi-vie comparable à celle observée après bolus intraveineux.
- Dans l'organisme, la linsidomine est transformée dans sa quasi-totalité ; les deux premières étapes se déroulent sans intervention enzymatique et conduisent à un métabolite inactif. Les autres métabolites inactifs résultant des réactions enzymatiques ultérieures sont éliminés dans les urines.
- Dans l'organisme, la linsidomine est transformée dans sa quasi-totalité ; les deux premières étapes se déroulent sans intervention enzymatique et conduisent à un métabolite inactif. Les autres métabolites inactifs résultant des réactions enzymatiques ultérieures sont éliminés dans les urines.
Sans objet.
Toxicité par administration réitérée :
Chez le rat et le singe, le foie peut être un organe cible pour des doses très élevées : il est rapporté chez le rat de petits foyers de fibrose ou de nécrose, et chez le singe une augmentation des aminotransférases.
Chez le rat et le singe, le foie peut être un organe cible pour des doses très élevées : il est rapporté chez le rat de petits foyers de fibrose ou de nécrose, et chez le singe une augmentation des aminotransférases.
- Préparer extemporanément la mise en solution du lyophilisat dans son flacon avec 5 ml de solvant puis compléter à 40 ml dans une seringue pour perfuseur. L'administration de la solution reconstituée se fait au moyen d'un perfuseur électrique à débit réglable.
- La solution ne doit pas être utilisée au-delà de 12 heures après sa préparation.
- Le dispositif de perfusion de Corvasal Intraveineux 10 mg ne nécessite pas de protection de la lumière.
- Des études de compatibilité physicochimique ont montré la compatibilité de Corvasal Intraveineux 10 mg avec l'amiodarone, le deslanoside, le diltiazem, la dobutamine, la dopamine, une gélatine fluide modifiée, une héparine sodique, une insuline d'action rapide, l'isoprénaline et la lidocaïne.
- La solution ne doit pas être utilisée au-delà de 12 heures après sa préparation.
- Le dispositif de perfusion de Corvasal Intraveineux 10 mg ne nécessite pas de protection de la lumière.
- Des études de compatibilité physicochimique ont montré la compatibilité de Corvasal Intraveineux 10 mg avec l'amiodarone, le deslanoside, le diltiazem, la dobutamine, la dopamine, une gélatine fluide modifiée, une héparine sodique, une insuline d'action rapide, l'isoprénaline et la lidocaïne.
Liste I.
Médicament réservé à l'usage hospitalier et à l'usage en situation d'urgence selon l'article R. 5121-96 du code de la santé publique.
Médicament réservé à l'usage hospitalier et à l'usage en situation d'urgence selon l'article R. 5121-96 du code de la santé publique.
Absence d'information dans l'AMM.
Flacon en verre brun d'une capacité de 9 ml avec bouchon gris en caoutchouc chlorobutyle, boîte de 10.