GRANISETRON TEVA 1 mg, comprimé pelliculé, boîte de 2
Retiré du marché le : 17/02/2010
Dernière révision : 30/11/2007
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : TEVA SANTE
GRANISETRON TEVA est utilisé pour prévenir les nausées et vomissements aigus induits par la chimiothérapie et la radiothérapie cytotoxique.
CONTRE-INDIQUE :
- Hypersensibilité au granisétron ou à l'un des excipients (voir rubrique composition).
- Ce médicament contient du lactose monohydraté. Ne pas l'administrer à des patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, d'un déficit en lactase ou d'une malabsorption du glucose et du galactose.
- Ce médicament ne doit pas être utilisé chez l'enfant en dessous de 12 ans ou pesant moins de 50 kg car il est impossible d'administrer une dose inférieure à 1 mg de granisétron.
DECONSEILLE :
Allaitement : aucune donnée n'est disponible au sujet du passage du granisétron dans le lait maternel. En conséquence, il est préférable de ne pas allaiter durant le traitement.
- Hypersensibilité au granisétron ou à l'un des excipients (voir rubrique composition).
- Ce médicament contient du lactose monohydraté. Ne pas l'administrer à des patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, d'un déficit en lactase ou d'une malabsorption du glucose et du galactose.
- Ce médicament ne doit pas être utilisé chez l'enfant en dessous de 12 ans ou pesant moins de 50 kg car il est impossible d'administrer une dose inférieure à 1 mg de granisétron.
DECONSEILLE :
Allaitement : aucune donnée n'est disponible au sujet du passage du granisétron dans le lait maternel. En conséquence, il est préférable de ne pas allaiter durant le traitement.
- Des réactions d'hypersensibilité croisée ont été rapportées chez des patients ayant reçu d'autres antagonistes sélectifs des récepteurs 5-HT3. Il convient de surveiller étroitement les patients ayant des antécédents de réactions d'hypersensibilité légères à sévères à un antagoniste 5-HT3 après l'administration du granisétron.
- Comme le granisétron est susceptible de ralentir la motilité intestinale, il convient de surveiller, après l'administration du granisétron, les patients présentant des signes d'occlusion intestinale (sub)aiguë.
- Aucune précaution particulière n'est requise chez les patients âgés ou les insuffisants rénaux et/ou hépatiques.
Bien qu'à ce jour aucun signe d'incidence accrue d'effets indésirables n'ait été observé chez les insuffisants hépatiques, en raison de la cinétique une certaine prudence est requise lors de l'administration du granisétron à ces patients.
- Les antagonistes 5-HT3 tels que le granisétron peuvent être associés à des arythmies ou à des anomalies de l'ECG. Cela pourrait éventuellement avoir une importance clinique chez les patients présentant des arythmies ou des troubles de la conduction cardiaque préexistant(e)s ou chez ceux qui sont sous traitement anti-arythmique ou bêtabloquant.
- Ce médicament contient du lactose monohydraté. Ne pas l'administrer à des patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, d'un déficit en lactase ou d'une malabsorption du glucose et du galactose.
- Grossesse : aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation du granisétron chez la femme enceinte. Les études chez l'animal ne montrent pas d'effet nocif direct ou indirect sur la gestation, le développement de l'embryon/du foetus, la parturition ou le développement post-natal. Le granisétron ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins qu'il ne soit catégoriquement indiqué. La prescription de granisétron chez la femme enceinte doit être faite avec prudence.
- Comme le granisétron est susceptible de ralentir la motilité intestinale, il convient de surveiller, après l'administration du granisétron, les patients présentant des signes d'occlusion intestinale (sub)aiguë.
- Aucune précaution particulière n'est requise chez les patients âgés ou les insuffisants rénaux et/ou hépatiques.
Bien qu'à ce jour aucun signe d'incidence accrue d'effets indésirables n'ait été observé chez les insuffisants hépatiques, en raison de la cinétique une certaine prudence est requise lors de l'administration du granisétron à ces patients.
- Les antagonistes 5-HT3 tels que le granisétron peuvent être associés à des arythmies ou à des anomalies de l'ECG. Cela pourrait éventuellement avoir une importance clinique chez les patients présentant des arythmies ou des troubles de la conduction cardiaque préexistant(e)s ou chez ceux qui sont sous traitement anti-arythmique ou bêtabloquant.
- Ce médicament contient du lactose monohydraté. Ne pas l'administrer à des patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, d'un déficit en lactase ou d'une malabsorption du glucose et du galactose.
- Grossesse : aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation du granisétron chez la femme enceinte. Les études chez l'animal ne montrent pas d'effet nocif direct ou indirect sur la gestation, le développement de l'embryon/du foetus, la parturition ou le développement post-natal. Le granisétron ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins qu'il ne soit catégoriquement indiqué. La prescription de granisétron chez la femme enceinte doit être faite avec prudence.
Les effets indésirables sont classés selon les catégories de fréquence suivantes : très fréquent (> = 1/10), fréquent (> = 1/100, < 1/10), peu fréquent (> = 1/1000, < 1/100), rare (> = 1/10000, < 1/1000), très rare (< 1/10000).
- Troubles psychiatriques :
Très rares : Anorexie.
- Troubles du système nerveux :
. Très fréquents : Céphalées.
. Très rares : Coma, trouble extrapyramidal.
- Troubles gastro-intestinaux :
. Très fréquents : Nausées, constipation.
. Fréquents : Perte de l'appétit, diarrhées, vomissements, douleurs abdominales.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Très rares : Rash.
- Troubles généraux :
. Fréquents : Asthénies, douleur, fièvre.
. Très rares : Anaphylaxie, évanouissements, étourdissements, insomnie, agitation.
- Troubles cardiaques :
Rares : Arythmie, douleurs thoraciques.
- Troubles hépatobiliaires :
Rares : Fonction hépatique anormale, taux élevés des transaminases.
- Troubles psychiatriques :
Très rares : Anorexie.
- Troubles du système nerveux :
. Très fréquents : Céphalées.
. Très rares : Coma, trouble extrapyramidal.
- Troubles gastro-intestinaux :
. Très fréquents : Nausées, constipation.
. Fréquents : Perte de l'appétit, diarrhées, vomissements, douleurs abdominales.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Très rares : Rash.
- Troubles généraux :
. Fréquents : Asthénies, douleur, fièvre.
. Très rares : Anaphylaxie, évanouissements, étourdissements, insomnie, agitation.
- Troubles cardiaques :
Rares : Arythmie, douleurs thoraciques.
- Troubles hépatobiliaires :
Rares : Fonction hépatique anormale, taux élevés des transaminases.
PREVENIR IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de réaction allergique provoquant un gonflement du visage, des lèvres, de la langue ou de la gorge, une difficulté à respirer ou à avaler, une éruption transitoire ou des démangeaisons.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence).
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (somnolence).
Grossesse :
Aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation du granisétron chez la femme enceinte. Les études chez l'animal ne montrent pas d'effet nocif direct ou indirect sur la gestation, le développement de l'embryon/du foetus, la parturition ou le développement post-natal. Le granisétron ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins qu'il ne soit catégoriquement indiqué. La prescription de granisétron chez la femme enceinte doit être faite avec prudence.
Allaitement :
Aucune donnée n'est disponible au sujet du passage du granisétron dans le lait maternel. En conséquence, il est préférable de ne pas allaiter durant le traitement.
Aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation du granisétron chez la femme enceinte. Les études chez l'animal ne montrent pas d'effet nocif direct ou indirect sur la gestation, le développement de l'embryon/du foetus, la parturition ou le développement post-natal. Le granisétron ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins qu'il ne soit catégoriquement indiqué. La prescription de granisétron chez la femme enceinte doit être faite avec prudence.
Allaitement :
Aucune donnée n'est disponible au sujet du passage du granisétron dans le lait maternel. En conséquence, il est préférable de ne pas allaiter durant le traitement.
- Les études chez l'animal indiquent que le granisétron n'exerce aucune activité stimulatrice ou inhibitrice sur le système enzymatique du cytochrome P450.
- Comme le granisétron est métabolisé par les enzymes hépatiques du cytochrome P450, il est possible que les inducteurs ou inhibiteurs de ces enzymes modifient la clairance et, par conséquent, la demi-vie du granisétron.
- Chez l'homme, l'induction des enzymes hépatiques par le phénobarbital provoque une augmentation de la clairance plasmatique totale du granisétron administré par voie intraveineuse d'environ 25%.
- A ce jour, aucun signe d'interaction n'a été observé entre le granisétron et les médicaments souvent prescrits dans les traitements antiémétiques tels que les benzodiazépines, les neuroleptiques et les médicaments pour les troubles peptiques. Qui plus est, aucune interaction n'a été observée entre le granisétron et les thérapies cytostatiques émétiques.
- Les études in vitro ont montré que le kétoconazole est susceptible d'inhiber le métabolisme du granisétron par l'intermédiaire du système d'iso-enzymes 3A du cytochrome P450. L'impact clinique de cette inhibition n'est pas connu.
- Comme le granisétron est métabolisé par les enzymes hépatiques du cytochrome P450, il est possible que les inducteurs ou inhibiteurs de ces enzymes modifient la clairance et, par conséquent, la demi-vie du granisétron.
- Chez l'homme, l'induction des enzymes hépatiques par le phénobarbital provoque une augmentation de la clairance plasmatique totale du granisétron administré par voie intraveineuse d'environ 25%.
- A ce jour, aucun signe d'interaction n'a été observé entre le granisétron et les médicaments souvent prescrits dans les traitements antiémétiques tels que les benzodiazépines, les neuroleptiques et les médicaments pour les troubles peptiques. Qui plus est, aucune interaction n'a été observée entre le granisétron et les thérapies cytostatiques émétiques.
- Les études in vitro ont montré que le kétoconazole est susceptible d'inhiber le métabolisme du granisétron par l'intermédiaire du système d'iso-enzymes 3A du cytochrome P450. L'impact clinique de cette inhibition n'est pas connu.
- Adultes et enfants de plus de 12 ans pesant plus de 50 kg :
. La dose de granisétron est d'un comprimé de 1 mg deux fois par jour ou un comprimé de 2 mg une fois par jour, à prendre le jour où la thérapie cytostatique est administrée.
. Administrer la (première) dose peu de temps avant (dans l'heure qui précède) le début de la thérapie cytostatique.
. Ce médicament ne doit pas être utilisé chez l'enfant en dessous de 12 ans ou pesant moins de 50 kg car il est impossible d'administrer une dose inférieure à 1 mg de granisétron.
- Association de GRANISETRON avec un corticostéroïde :
Dans certains cas (par exemple lors de l'utilisation de médicaments puissamment émétiques ou à des fortes doses), l'utilisation concomitante de la corticothérapie augmente l'efficacité du granisétron. La posologie suivante s'est révélée efficace : administration intraveineuse de 8 à 20 mg de dexaméthasone avant le début de la thérapie cytostatique ou bien 250 mg de méthylprednisolone avant le début de la thérapie cytostatique et après son administration.
- Dose maximale et durée du traitement :
La dose orale maximale pouvant être administrée aux patients est de 9 mg par jour. Lors d'études cliniques, des patients ont reçu un total de 28 mg en 14 jours.
- Groupes particuliers de patients :
. Personnes âgées :
La dose est la même que pour les adultes (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques).
. Insuffisants rénaux et/ou hépatiques :
La dose est la même que pour les adultes (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques).
. La dose de granisétron est d'un comprimé de 1 mg deux fois par jour ou un comprimé de 2 mg une fois par jour, à prendre le jour où la thérapie cytostatique est administrée.
. Administrer la (première) dose peu de temps avant (dans l'heure qui précède) le début de la thérapie cytostatique.
. Ce médicament ne doit pas être utilisé chez l'enfant en dessous de 12 ans ou pesant moins de 50 kg car il est impossible d'administrer une dose inférieure à 1 mg de granisétron.
- Association de GRANISETRON avec un corticostéroïde :
Dans certains cas (par exemple lors de l'utilisation de médicaments puissamment émétiques ou à des fortes doses), l'utilisation concomitante de la corticothérapie augmente l'efficacité du granisétron. La posologie suivante s'est révélée efficace : administration intraveineuse de 8 à 20 mg de dexaméthasone avant le début de la thérapie cytostatique ou bien 250 mg de méthylprednisolone avant le début de la thérapie cytostatique et après son administration.
- Dose maximale et durée du traitement :
La dose orale maximale pouvant être administrée aux patients est de 9 mg par jour. Lors d'études cliniques, des patients ont reçu un total de 28 mg en 14 jours.
- Groupes particuliers de patients :
. Personnes âgées :
La dose est la même que pour les adultes (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques).
. Insuffisants rénaux et/ou hépatiques :
La dose est la même que pour les adultes (voir rubrique propriétés pharmacocinétiques).
Durée de conservation :
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
Pas de précautions particulières de conservation.
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
Pas de précautions particulières de conservation.
Sans objet.
Il n'existe pas d'antidote spécifique. En cas de surdosage, administrer un traitement symptomatique. Aucun cas de surdosage n'a été rapporté.
Classe pharmacothérapeutique : ANTAGONISTES SEROTONINERGIQUES (5-HT3).
Le granisétron est un antiémétique puissant et un antagoniste très sélectif des récepteurs de la 5-hydroxytryptamine (5-HT3). Les études pharmacologiques ont montré que le granisétron est efficace contre les nausées et les vomissements induits par la chimiothérapie et la radiothérapie cytotoxique. Les études de liaison utilisant un marqueur radioactif ont montré que le granisétron a une affinité négligeable pour les autres types de récepteurs, y compris 5-HT1, 5-HT2, 5-HT4 et les sites de liaison dopaminergiques D2.
Le granisétron est un antiémétique puissant et un antagoniste très sélectif des récepteurs de la 5-hydroxytryptamine (5-HT3). Les études pharmacologiques ont montré que le granisétron est efficace contre les nausées et les vomissements induits par la chimiothérapie et la radiothérapie cytotoxique. Les études de liaison utilisant un marqueur radioactif ont montré que le granisétron a une affinité négligeable pour les autres types de récepteurs, y compris 5-HT1, 5-HT2, 5-HT4 et les sites de liaison dopaminergiques D2.
ABSORPTION :
L'absorption du granisétron est rapide et totale. Les concentrations plasmatiques maximales sont observées après 2 heures environ. La biodisponibilité est réduite jusqu'à environ 60% en raison du métabolisme de premier passage. La biodisponibilité n'est pas, en général, influencée par la prise alimentaire. La pharmacocinétique du granisétron reste linéaire avec des doses orales allant jusqu'à 2,5 fois la dose thérapeutique recommandée.
DISTRIBUTION :
Le granisétron est distribué avec un volume de distribution moyen d'environ 3 L/kg ; le taux de fixation aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 65%. Chez les patients, la clairance plasmatique moyenne est d'approximativement 27 L/h et la demi-vie plasmatique moyenne est d'environ 9 heures, avec une large variabilité interindividuelle. La concentration plasmatique n'est pas corrélée de façon évidente à l'efficacité antiémétique du granisétron. Le bénéfice clinique peut être obtenu même lorsque le granisétron n'est pas détectable dans le plasma.
METABOLISME :
Les voies de biotransformation impliquent une N-déméthylation et une oxydation du cycle aromatique, suivies d'une conjugaison.
ELIMINATION :
La clairance du granisétron se fait principalement par voie métabolique. En moyenne, 12% de la dose de granisétron sont éliminés par voie rénale sous forme inchangée. Les métabolites excrétés dans les urines représentent environ 47% de la dose, le reste étant éliminé dans les fèces sous forme de métabolites.
PHARMACOCINETIQUE CHEZ DES POPULATIONS PARTICULIERES :
Chez les sujets âgés, après l'administration d'une dose intraveineuse unique les paramètres pharmacocinétiques sont restés dans les limites observées chez les sujets jeunes. Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale sévère, les études ont montré que les paramètres pharmacocinétiques après une dose intraveineuse unique sont, en général, analogues à ceux observés chez les sujets sains. Chez les patients avec insuffisance hépatique due à la présence d'un foie néoplasique, la clairance plasmatique totale d'une dose intraveineuse était réduite pratiquement à la moitié de celle de patients sans insuffisance hépatique. Cependant, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie. Quand le volume de distribution et la clairance totale sont ajustés en fonction du poids corporel, la pharmacocinétique du granisétron, après une dose intraveineuse unique, est analogue chez les patients cancéreux enfants et adultes.
L'absorption du granisétron est rapide et totale. Les concentrations plasmatiques maximales sont observées après 2 heures environ. La biodisponibilité est réduite jusqu'à environ 60% en raison du métabolisme de premier passage. La biodisponibilité n'est pas, en général, influencée par la prise alimentaire. La pharmacocinétique du granisétron reste linéaire avec des doses orales allant jusqu'à 2,5 fois la dose thérapeutique recommandée.
DISTRIBUTION :
Le granisétron est distribué avec un volume de distribution moyen d'environ 3 L/kg ; le taux de fixation aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 65%. Chez les patients, la clairance plasmatique moyenne est d'approximativement 27 L/h et la demi-vie plasmatique moyenne est d'environ 9 heures, avec une large variabilité interindividuelle. La concentration plasmatique n'est pas corrélée de façon évidente à l'efficacité antiémétique du granisétron. Le bénéfice clinique peut être obtenu même lorsque le granisétron n'est pas détectable dans le plasma.
METABOLISME :
Les voies de biotransformation impliquent une N-déméthylation et une oxydation du cycle aromatique, suivies d'une conjugaison.
ELIMINATION :
La clairance du granisétron se fait principalement par voie métabolique. En moyenne, 12% de la dose de granisétron sont éliminés par voie rénale sous forme inchangée. Les métabolites excrétés dans les urines représentent environ 47% de la dose, le reste étant éliminé dans les fèces sous forme de métabolites.
PHARMACOCINETIQUE CHEZ DES POPULATIONS PARTICULIERES :
Chez les sujets âgés, après l'administration d'une dose intraveineuse unique les paramètres pharmacocinétiques sont restés dans les limites observées chez les sujets jeunes. Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale sévère, les études ont montré que les paramètres pharmacocinétiques après une dose intraveineuse unique sont, en général, analogues à ceux observés chez les sujets sains. Chez les patients avec insuffisance hépatique due à la présence d'un foie néoplasique, la clairance plasmatique totale d'une dose intraveineuse était réduite pratiquement à la moitié de celle de patients sans insuffisance hépatique. Cependant, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie. Quand le volume de distribution et la clairance totale sont ajustés en fonction du poids corporel, la pharmacocinétique du granisétron, après une dose intraveineuse unique, est analogue chez les patients cancéreux enfants et adultes.
Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Quelques rares cas de somnolence ont été rapportés dans les études cliniques sans qu'aucun lien de causalité avec la prise de granisétron n'ait été établi.
- Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, cancérogenèse, et des fonctions de reproduction, n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
- Une étude sur des canaux ioniques cardiaques humains clonés a montré que le granisétron est susceptible d'affecter la repolarisation cardiaque en bloquant les canaux potassiques HERG. Le granisétron s'est révélé bloquer les canaux sodiques et potassiques et peut ainsi affecter à la fois la dépolarisation et la repolarisation en prolongeant les intervalles PR, QRS et QT. Ces données aident à clarifier les mécanismes moléculaires responsables des changements affectant l'ECG (en particulier l'allongement du QT et du QRS) associés à cette classe d'agents. Toutefois, la fréquence cardiaque, la pression sanguine ou le tracé ECG restent inchangés. S'il se produit des changements, ils sont en général sans signification clinique.
- Une étude sur des canaux ioniques cardiaques humains clonés a montré que le granisétron est susceptible d'affecter la repolarisation cardiaque en bloquant les canaux potassiques HERG. Le granisétron s'est révélé bloquer les canaux sodiques et potassiques et peut ainsi affecter à la fois la dépolarisation et la repolarisation en prolongeant les intervalles PR, QRS et QT. Ces données aident à clarifier les mécanismes moléculaires responsables des changements affectant l'ECG (en particulier l'allongement du QT et du QRS) associés à cette classe d'agents. Toutefois, la fréquence cardiaque, la pression sanguine ou le tracé ECG restent inchangés. S'il se produit des changements, ils sont en général sans signification clinique.
Pas d'exigences particulières.
Liste I.
Médicament soumis à prescription médicale.
Médicament d'exception.
Remboursement en fonction de l'indication (JO du 09/04/2008) :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l'assurance maladie est la prévention des nausées et vomissements aigus induits par la chimiothérapie cytotoxique moyennement à hautement émétisante chez l'adulte.
Médicament soumis à prescription médicale.
Médicament d'exception.
Remboursement en fonction de l'indication (JO du 09/04/2008) :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l'assurance maladie est la prévention des nausées et vomissements aigus induits par la chimiothérapie cytotoxique moyennement à hautement émétisante chez l'adulte.
Comprimés pelliculés de couleur blanche à blanc cassé en forme de gélule, gravés "93" sur une face et "7485" sur l'autre.
2 comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées transparentes et blanches opaques (PVC/PVDC/aluminium).