EFRYL RHUME, granulés pour solution buvable en sachet-dose, sachets boîte de 10
Retiré du marché le : 29/08/2008
Dernière révision : 08/04/2005
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : SANDOZ
Traitement de la sensation de nez bouché, au cours d'un rhume chez l'adulte (à partir de 15 ans).
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament est contre-indiqué :
- En cas d'hypersensibilité à l'un des constituants du produit.
- Chez les enfants de moins de 15 ans.
- En cas d'hypertension artérielle sévère ou mal équilibrée par le traitement.
- En cas d'antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risque susceptible de favoriser la survenue d'accident vasculaire cérébral, en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.
- En cas d'insuffisance coronarienne sévère.
- En cas de risque de glaucome par fermeture de l'angle.
- En cas de risque de rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques.
- En cas d'antécédents de convulsions.
- En cas de phénylcétonurie, en raison de la présence d'aspartam.
- En cas d'allaitement : la pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets
cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.
- En association à des médicaments vasoconstricteurs tels que bromocriptine, pergolide, lisuride, cabergoline, ergotamine, dihydroergotamine ou d'autres médicaments destinés à décongestionner le nez qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale, (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine...).
- En association avec le méthylphénidate.
- En association avec les IMAO non sélectifs (iproniazide).
DECONSEILLE :
Ce médicament NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE UTILISE pendant la grossesse : il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine. Cependant, par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictives de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.
Ce médicament est contre-indiqué :
- En cas d'hypersensibilité à l'un des constituants du produit.
- Chez les enfants de moins de 15 ans.
- En cas d'hypertension artérielle sévère ou mal équilibrée par le traitement.
- En cas d'antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risque susceptible de favoriser la survenue d'accident vasculaire cérébral, en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.
- En cas d'insuffisance coronarienne sévère.
- En cas de risque de glaucome par fermeture de l'angle.
- En cas de risque de rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques.
- En cas d'antécédents de convulsions.
- En cas de phénylcétonurie, en raison de la présence d'aspartam.
- En cas d'allaitement : la pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets
cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.
- En association à des médicaments vasoconstricteurs tels que bromocriptine, pergolide, lisuride, cabergoline, ergotamine, dihydroergotamine ou d'autres médicaments destinés à décongestionner le nez qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale, (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine...).
- En association avec le méthylphénidate.
- En association avec les IMAO non sélectifs (iproniazide).
DECONSEILLE :
Ce médicament NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE UTILISE pendant la grossesse : il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine. Cependant, par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictives de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.
MISES EN GARDE :
- Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée de traitement de 5 jours, les contre-indications (voir chapitre effets indésirables).
- Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertension artérielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque, de nausées ou de tout signe neurologique (tels que l'apparition ou la majoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement.
- Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical :
. en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète,
. en cas d'association avec les antimigraineux, notamment les vasoconstricteurs alcaloïdes dérivés de l'ergot de seigle,
en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.
- Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, de troubles du comportement, d'agitation, d'insomnie ont été décrits, plus fréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs par voie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors de surdosages.
Par conséquent, il convient notamment :
. de ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux...ou en cas d'antécédents convulsifs ;
. de respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informer le patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- En cas d'intervention chirurgicale programmée et en cas d'utilisation d'anesthésiques volatils halogénés, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant, en raison du risque de poussée hypertensive (voir chapitre interactions).
- L'attention des sportifs est attirée sur le fait que la pseudoéphédrine peut induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
- Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée de traitement de 5 jours, les contre-indications (voir chapitre effets indésirables).
- Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertension artérielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque, de nausées ou de tout signe neurologique (tels que l'apparition ou la majoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement.
- Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical :
. en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète,
. en cas d'association avec les antimigraineux, notamment les vasoconstricteurs alcaloïdes dérivés de l'ergot de seigle,
en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.
- Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, de troubles du comportement, d'agitation, d'insomnie ont été décrits, plus fréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs par voie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors de surdosages.
Par conséquent, il convient notamment :
. de ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux...ou en cas d'antécédents convulsifs ;
. de respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informer le patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- En cas d'intervention chirurgicale programmée et en cas d'utilisation d'anesthésiques volatils halogénés, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant, en raison du risque de poussée hypertensive (voir chapitre interactions).
- L'attention des sportifs est attirée sur le fait que la pseudoéphédrine peut induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
- Liés à la présence de pseudoéphédrine :
. céphalées,
. palpitations, tachycardie, poussée hypertensive,
. sueurs,
. crise de glaucome par fermeture de l'angle,
. troubles urinaires (dysurie, rétention), en particulier en cas de troubles urétroprostatiques,
. anxiété, insomnie,
. sécheresse buccale, nausées, vomissements.
- Ont été décrits, en particulier chez l'enfant après administration de vasoconstricteurs :
. convulsions,
. hallucinations,
. agitation, troubles du comportement et insomnie.
- Une fièvre, un surdosage, une association médicamenteuse susceptible de diminuer le seuil épileptogène ou de contribuer à un surdosage ont souvent été retrouvés et semblent prédisposer à la survenue de ces effets (voir chapitres contre-indications, mises en garde et précautions d'emploi).
- Exceptionnellement, des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques sont survenus chez des patients ayant utilisé des spécialités contenant de la pseudoéphédrine. Ces accidents vasculaires cérébraux sont notamment survenus en cas de surdosage, de mésusage et/ou chez des patients présentant des facteurs de risques vasculaires.
- En raison de la présence de mannitol, risque de troubles digestifs et de diarrhée.
. céphalées,
. palpitations, tachycardie, poussée hypertensive,
. sueurs,
. crise de glaucome par fermeture de l'angle,
. troubles urinaires (dysurie, rétention), en particulier en cas de troubles urétroprostatiques,
. anxiété, insomnie,
. sécheresse buccale, nausées, vomissements.
- Ont été décrits, en particulier chez l'enfant après administration de vasoconstricteurs :
. convulsions,
. hallucinations,
. agitation, troubles du comportement et insomnie.
- Une fièvre, un surdosage, une association médicamenteuse susceptible de diminuer le seuil épileptogène ou de contribuer à un surdosage ont souvent été retrouvés et semblent prédisposer à la survenue de ces effets (voir chapitres contre-indications, mises en garde et précautions d'emploi).
- Exceptionnellement, des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques sont survenus chez des patients ayant utilisé des spécialités contenant de la pseudoéphédrine. Ces accidents vasculaires cérébraux sont notamment survenus en cas de surdosage, de mésusage et/ou chez des patients présentant des facteurs de risques vasculaires.
- En raison de la présence de mannitol, risque de troubles digestifs et de diarrhée.
Grossesse :
Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.
En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine.
Cependant, par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictives de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.
Allaitement :
La pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.
Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.
En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine.
Cependant, par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictives de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.
Allaitement :
La pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.
ASSOCIATIONS CONTRE-INDIQUEES :
- IMAO non sélectifs (iproniazide) : hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de la longue action des IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.
- Remarque : IMAO sélectifs (toloxatone et moclobémide) : en l'absence de données disponibles à ce jour (études cliniques ou cas rapportés dans la littérature), l'existence d'une interaction entre les IMAO sélectifs (toloxatone et moclobémide) et les amines sympathomimétiques notamment vasoconstrictives, n'a pu être évaluée, contrairement à l'interaction cliniquement documentée, entre les IMAO non sélectifs et ces produits. Mais, par analogie avec les IMAO non sélectifs, il convient par conséquent d'être prudent et de ne prescrire de pseudoéphédrine qu'en cas de besoin réel de médicament de ce type et en respectant scrupuleusement les doses préconisées.
- Bromocriptine, pergolide, lisuride, cabergoline, ergotamine, dihydroergotamine : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
- Autres sympathomimétiques indirects (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine, le méthylphénidate) :
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Anesthésiques volatils halogénés : poussée hypertensive peropératoire.
En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.
- Ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux...
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Guanéthidine et apparentés : abolition de l'effet de la guanéthidine (déplacement de la guanéthidine de son site d'action neuronal).
- Autres Sympathomimétiques alpha.
- IMAO non sélectifs (iproniazide) : hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de la longue action des IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.
- Remarque : IMAO sélectifs (toloxatone et moclobémide) : en l'absence de données disponibles à ce jour (études cliniques ou cas rapportés dans la littérature), l'existence d'une interaction entre les IMAO sélectifs (toloxatone et moclobémide) et les amines sympathomimétiques notamment vasoconstrictives, n'a pu être évaluée, contrairement à l'interaction cliniquement documentée, entre les IMAO non sélectifs et ces produits. Mais, par analogie avec les IMAO non sélectifs, il convient par conséquent d'être prudent et de ne prescrire de pseudoéphédrine qu'en cas de besoin réel de médicament de ce type et en respectant scrupuleusement les doses préconisées.
- Bromocriptine, pergolide, lisuride, cabergoline, ergotamine, dihydroergotamine : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
- Autres sympathomimétiques indirects (phénylpropanolamine, phényléphrine, éphédrine, le méthylphénidate) :
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Anesthésiques volatils halogénés : poussée hypertensive peropératoire.
En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.
- Ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux...
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Guanéthidine et apparentés : abolition de l'effet de la guanéthidine (déplacement de la guanéthidine de son site d'action neuronal).
- Autres Sympathomimétiques alpha.
RESERVE A L'ADULTE (A PARTIR DE 15 ANS).
Voie orale.
- Dissoudre le contenu du sachet dans un verre d'eau.
- 1 sachet, à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures minimum, 2 à 3 fois par jour.
Ne pas dépasser 4 sachets par jour.
- La durée maximale du traitement est de 5 jours.
Voie orale.
- Dissoudre le contenu du sachet dans un verre d'eau.
- 1 sachet, à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures minimum, 2 à 3 fois par jour.
Ne pas dépasser 4 sachets par jour.
- La durée maximale du traitement est de 5 jours.
Durée de conservation :
3 ans.
3 ans.
Sans objet.
Le surdosage en pseudoéphédrine peut entraîner : accès hypertensif, troubles du rythme, convulsions, délire, hallucinations, agitation, troubles du comportement, insomnie, mydriase, accident vasculaire cérébral.
Transfert immédiat en milieu hospitalier.
Acidifier les urines en donnant du chlorure d'ammonium.
Traitement symptomatique.
Transfert immédiat en milieu hospitalier.
Acidifier les urines en donnant du chlorure d'ammonium.
Traitement symptomatique.
DECONGESTIONNANTS A USAGE SYSTEMIQUE.
Code ATC : R01BA02.
Ce médicament est un sympathomimétique, décongestionnant nasal par voie systémique.
Code ATC : R01BA02.
Ce médicament est un sympathomimétique, décongestionnant nasal par voie systémique.
Après administration par voie orale, la pseudoéphédrine est excrétée essentiellement par voie rénale sous forme inchangée (70 à 90%).
Sa demi-vie d'élimination est dépendante du pH urinaire.
L'alcanisation des urines entraîne une augmentation accrue de la réabsorption tubulaire, avec pour conséquence, un allongement de la demi-vie d'élimination de la pseudoéphédrine.
Sa demi-vie d'élimination est dépendante du pH urinaire.
L'alcanisation des urines entraîne une augmentation accrue de la réabsorption tubulaire, avec pour conséquence, un allongement de la demi-vie d'élimination de la pseudoéphédrine.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Médicament non soumis à prescription.
Absence d'information dans l'AMM.
3730 mg en sachet (Papier/Aluminium/PE). Boîte de 10 sachets.