CEFTRIAXONE WINTHROP 500 mg, poudre pour solution injectable, boîte de 1 flacon de poudre de 500 mg
Retiré du marché le : 18/05/2009
Dernière révision : 02/03/2005
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : SANOFI AVENTIS FRANCE
EN PRATIQUE HOSPITALIERE :
- Infections sévères dues aux germes sensibles à la ceftriaxone, y compris les méningites à l'exclusion de celles à Listeria monocytogenes.
- Maladie de Lyme disséminée lors de :
. la phase précoce avec méningite (stade secondaire),
. la phase tardive avec manifestations systémiques neurologiques et articulaires (stade tertiaire).
EN PRATIQUE DE VILLE :
Les indications sont limitées :
- à la poursuite de traitements débutés à l'hôpital,
- aux infections respiratoires basses dans les formes sévères, en particulier chez les sujets à risques (sujet âgé, alcoolique, immunodéprimé, tabagique et insuffisant respiratoire...), notamment :
. pour les pneumopathies bactériennes (pneumocoque, présumées à bacilles Gram négatif),
. pour les poussées aiguës de bronchite chronique, généralement en deuxième intention ;
- aux infections urinaires sévères et/ou à germes résistants :
. pyélonéphrites aiguës,
. infections urinaires basses associées à un syndrome septique,
. poussées aiguës de prostatites chroniques.
Il est nécessaire que le diagnostic soit porté avec certitude et de s'assurer de l'absence de nécessité d'un traitement chirurgical.
- à l'antibiothérapie d'urgence avant hospitalisation en cas de suspicion clinique de purpura fulminans, c'est-à-dire devant un état fébrile associé à un purpura comportant au moins un élément nécrotique ou ecchymotique, et ce quel que soit l'état hémodynamique du patient.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
- Infections sévères dues aux germes sensibles à la ceftriaxone, y compris les méningites à l'exclusion de celles à Listeria monocytogenes.
- Maladie de Lyme disséminée lors de :
. la phase précoce avec méningite (stade secondaire),
. la phase tardive avec manifestations systémiques neurologiques et articulaires (stade tertiaire).
EN PRATIQUE DE VILLE :
Les indications sont limitées :
- à la poursuite de traitements débutés à l'hôpital,
- aux infections respiratoires basses dans les formes sévères, en particulier chez les sujets à risques (sujet âgé, alcoolique, immunodéprimé, tabagique et insuffisant respiratoire...), notamment :
. pour les pneumopathies bactériennes (pneumocoque, présumées à bacilles Gram négatif),
. pour les poussées aiguës de bronchite chronique, généralement en deuxième intention ;
- aux infections urinaires sévères et/ou à germes résistants :
. pyélonéphrites aiguës,
. infections urinaires basses associées à un syndrome septique,
. poussées aiguës de prostatites chroniques.
Il est nécessaire que le diagnostic soit porté avec certitude et de s'assurer de l'absence de nécessité d'un traitement chirurgical.
- à l'antibiothérapie d'urgence avant hospitalisation en cas de suspicion clinique de purpura fulminans, c'est-à-dire devant un état fébrile associé à un purpura comportant au moins un élément nécrotique ou ecchymotique, et ce quel que soit l'état hémodynamique du patient.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
- Ce médicament ne doit jamais être prescrit en cas d'allergie aux antibiotiques du groupe des céphalosporines.
- En cas d'utilisation de la voie IM nécessitant du chlorhydrate de lidocaïne comme solvant, l'utilisation du produit devient contre-indiquée dans les cas suivants :
. allergie à la lidocaïne ou aux autres anesthésiques locaux de type amide,
. porphyries,
. bloc auriculoventriculaire non appareillé,
. choc cardiogénique.
- Des études ont montré que la ceftriaxone, comme les autres céphalosporines, pouvait déplacer la bilirubine de l'albumine sérique.
Ainsi, la prudence est de rigueur lorsqu'il s'agit de traiter par ceftriaxone des nouveau-nés présentant une hyperbilirubinémie.
La ceftriaxone ne doit pas être utilisée chez le nouveau-né (en particulier prématuré) ayant un risque de développer une encéphalopathie à la bilirubine.
- En cas d'utilisation de la voie IM nécessitant du chlorhydrate de lidocaïne comme solvant, l'utilisation du produit devient contre-indiquée dans les cas suivants :
. allergie à la lidocaïne ou aux autres anesthésiques locaux de type amide,
. porphyries,
. bloc auriculoventriculaire non appareillé,
. choc cardiogénique.
- Des études ont montré que la ceftriaxone, comme les autres céphalosporines, pouvait déplacer la bilirubine de l'albumine sérique.
Ainsi, la prudence est de rigueur lorsqu'il s'agit de traiter par ceftriaxone des nouveau-nés présentant une hyperbilirubinémie.
La ceftriaxone ne doit pas être utilisée chez le nouveau-né (en particulier prématuré) ayant un risque de développer une encéphalopathie à la bilirubine.
- La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrêt du traitement.
- La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable.
- L'allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 pour cent des cas :
. L'utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillosensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.
. L'emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d'allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l'accident anaphylactique possible.
. Les réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
- En cas de douleur de l'hypocondre droit, il est souhaitable de pratiquer une échographie à la recherche d'un précipité biliaire (voir effets indésirables).
- Des études ont montré que la ceftriaxone, comme les autres céphalosporines, pouvait déplacer la bilirubine de l'albumine sérique.
Ainsi, la prudence est de rigueur lorsqu'il s'agit de traiter par ceftriaxone des nouveau-nés présentant une hyperbilirubinémie.
La ceftriaxone ne doit pas être utilisée chez le nouveau-né (en particulier prématuré) ayant un risque de développer une encéphalopathie à la bilirubine.
- En cas de traitement prolongé, des contrôles réguliers de la formule sanguine s'imposent.
- En cas d'insuffisance rénale sévère ou d'insuffisances associées rénale et hépatique, la posologie devra être adaptée en fonction de la clairance de la créatinine.
- La ceftriaxone ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium. Lorsque des solutions de calcium sont administrées, il est recommandé de perfuser la ceftriaxone sur une voie séparée et dans une période de temps pendant laquelle n'est pas perfusé le calcium même si les voies d'abord sont différentes.
Dans la mesure où on ne peut éliminer un risque d'incompatibilité physique ou chimique avec d'autres médicaments que le calcium, la ceftriaxone doit être administrée seule et ne peut être mélangée qu'aux solutions et substances expressément citées dans la rubrique posologie et mode d'administration (voir effets indésirables et incompatibilités).
- Interactions avec les examens paracliniques :
. une positivation du test de Coombs a été obtenue en cours de traitement par des céphalosporines.
. des résultats faussement positifs de la galactosémie peuvent être obtenus avec la ceftriaxone.
. les méthodes non enzymatiques de dosage du glucose dans l'urine peuvent aussi donner des résultats faussement positifs.
C'est pourquoi, il est nécessaire d'utiliser des méthodes enzymatiques pour le dosage du glucose dans l'urine au cours du traitement par la ceftriaxone.
- Ce médicament contient 41,5 mg de sodium par flacon de 596,5 mg : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.
- En cas d'utilisation de la voie IM nécessitant l'emploi du chlorhydrate de lidocaïne comme solvant, une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage peut se produire.
- En cas d'utilisation de la voie IM nécessitant du chlorhydrate de lidocaïne comme solvant, l'utilisation du produit devient contre-indiquée dans les cas suivants :
. allergie à la lidocaïne ou aux autres anesthésiques locaux de type amide,
. porphyries,
. bloc auriculoventriculaire non appareillé,
. choc cardiogénique.
- L'allaitement est déconseillé en cas de traitement prolongé : la ceftriaxone s'accumule dans le lait maternel. L'allaitement est possible si le traitement est de courte durée (7 jours). Il est déconseillé en cas de traitement prolongé.
- La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable.
- L'allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10 pour cent des cas :
. L'utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillosensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.
. L'emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d'allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l'accident anaphylactique possible.
. Les réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
- En cas de douleur de l'hypocondre droit, il est souhaitable de pratiquer une échographie à la recherche d'un précipité biliaire (voir effets indésirables).
- Des études ont montré que la ceftriaxone, comme les autres céphalosporines, pouvait déplacer la bilirubine de l'albumine sérique.
Ainsi, la prudence est de rigueur lorsqu'il s'agit de traiter par ceftriaxone des nouveau-nés présentant une hyperbilirubinémie.
La ceftriaxone ne doit pas être utilisée chez le nouveau-né (en particulier prématuré) ayant un risque de développer une encéphalopathie à la bilirubine.
- En cas de traitement prolongé, des contrôles réguliers de la formule sanguine s'imposent.
- En cas d'insuffisance rénale sévère ou d'insuffisances associées rénale et hépatique, la posologie devra être adaptée en fonction de la clairance de la créatinine.
- La ceftriaxone ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium. Lorsque des solutions de calcium sont administrées, il est recommandé de perfuser la ceftriaxone sur une voie séparée et dans une période de temps pendant laquelle n'est pas perfusé le calcium même si les voies d'abord sont différentes.
Dans la mesure où on ne peut éliminer un risque d'incompatibilité physique ou chimique avec d'autres médicaments que le calcium, la ceftriaxone doit être administrée seule et ne peut être mélangée qu'aux solutions et substances expressément citées dans la rubrique posologie et mode d'administration (voir effets indésirables et incompatibilités).
- Interactions avec les examens paracliniques :
. une positivation du test de Coombs a été obtenue en cours de traitement par des céphalosporines.
. des résultats faussement positifs de la galactosémie peuvent être obtenus avec la ceftriaxone.
. les méthodes non enzymatiques de dosage du glucose dans l'urine peuvent aussi donner des résultats faussement positifs.
C'est pourquoi, il est nécessaire d'utiliser des méthodes enzymatiques pour le dosage du glucose dans l'urine au cours du traitement par la ceftriaxone.
- Ce médicament contient 41,5 mg de sodium par flacon de 596,5 mg : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.
- En cas d'utilisation de la voie IM nécessitant l'emploi du chlorhydrate de lidocaïne comme solvant, une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage peut se produire.
- En cas d'utilisation de la voie IM nécessitant du chlorhydrate de lidocaïne comme solvant, l'utilisation du produit devient contre-indiquée dans les cas suivants :
. allergie à la lidocaïne ou aux autres anesthésiques locaux de type amide,
. porphyries,
. bloc auriculoventriculaire non appareillé,
. choc cardiogénique.
- L'allaitement est déconseillé en cas de traitement prolongé : la ceftriaxone s'accumule dans le lait maternel. L'allaitement est possible si le traitement est de courte durée (7 jours). Il est déconseillé en cas de traitement prolongé.
Au cours de l'utilisation de la ceftriaxone, un certain nombre d'effets secondaires, réversibles soit spontanément soit après l'arrêt du traitement, ont été observés :
- manifestations cutanées : éruptions d'allure allergique, urticaire.
Comme pour d'autres céphalosporines, quelques cas de réactions cutanéomuqueuses sévères ont été rapportés (érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell).
- manifestations générales d'hypersensibilité : fièvre, réactions anaphylactiques.
- manifestations digestives : stomatite, diarrhée, nausées, vomissements, colites pseudomembraneuses (rare).
- manifestations hépatobiliaires : des cas d'images échographiques de sédimentations vésiculaires (précipitations de sels de calcium de ceftriaxone dans la vésicule biliaire) ont été signalés, particulièrement chez l'enfant. Elles s'associent ou non à une symptomatologie clinique. Le traitement doit être interrompu afin de permettre la régression des signes ; rare élévation des enzymes hépatiques.
- manifestations pancréatiques : exceptionnellement des cas de pancréatites ont été rapportés ; l'arrêt du traitement entraîne la régression des signes.
- manifestations hématologiques : hyperéosinophilie modérée, leuconeutropénie, thrombopénie, anémie hémolytique (rare), cas isolés d'agranulocytose ; très rares cas de troubles de la coagulation.
- manifestations rénales : des altérations de la fonction rénale ont été observées avec des antibiotiques du même groupe surtout en cas de traitement associé avec les aminosides et les diurétiques ; rares cas d'oligurie et d'augmentation de la créatinine sérique.
D'exceptionnels cas de précipitations rénales ont été rapportés, principalement chez les enfants de plus de 3 ans, traités par de fortes doses journalières (par exemple > = 80 mg/kg/jour), ou recevant des doses totales supérieures à 10 g et présentant d'autres facteurs de risque (par exemple, restriction hydrique, alitement,...). Cet effet peut être symptomatique ou asymptomatique, peut entraîner une insuffisance rénale, et est réversible à l'arrêt du traitement.
- manifestations du système nerveux central : très rares cas de céphalées et de vertiges.
L'administration de fortes posologies de bêtalactamines, en particulier chez l'insuffisant rénal, peut entraîner des encéphalopathies (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
D'exceptionnels accidents graves, dont certains ayant entraîné le décès, ont été signalés chez des prématurés ou nouveau-nés ayant reçu simultanément par voie IV de la ceftriaxone et un sel de calcium (gluconate de calcium) (voir incompatibilités).
- manifestations locales : les injections intramusculaires sans lidocaïne sont douloureuses ; quelques cas de veinites ont été observés après injection intraveineuse.
- manifestations cutanées : éruptions d'allure allergique, urticaire.
Comme pour d'autres céphalosporines, quelques cas de réactions cutanéomuqueuses sévères ont été rapportés (érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell).
- manifestations générales d'hypersensibilité : fièvre, réactions anaphylactiques.
- manifestations digestives : stomatite, diarrhée, nausées, vomissements, colites pseudomembraneuses (rare).
- manifestations hépatobiliaires : des cas d'images échographiques de sédimentations vésiculaires (précipitations de sels de calcium de ceftriaxone dans la vésicule biliaire) ont été signalés, particulièrement chez l'enfant. Elles s'associent ou non à une symptomatologie clinique. Le traitement doit être interrompu afin de permettre la régression des signes ; rare élévation des enzymes hépatiques.
- manifestations pancréatiques : exceptionnellement des cas de pancréatites ont été rapportés ; l'arrêt du traitement entraîne la régression des signes.
- manifestations hématologiques : hyperéosinophilie modérée, leuconeutropénie, thrombopénie, anémie hémolytique (rare), cas isolés d'agranulocytose ; très rares cas de troubles de la coagulation.
- manifestations rénales : des altérations de la fonction rénale ont été observées avec des antibiotiques du même groupe surtout en cas de traitement associé avec les aminosides et les diurétiques ; rares cas d'oligurie et d'augmentation de la créatinine sérique.
D'exceptionnels cas de précipitations rénales ont été rapportés, principalement chez les enfants de plus de 3 ans, traités par de fortes doses journalières (par exemple > = 80 mg/kg/jour), ou recevant des doses totales supérieures à 10 g et présentant d'autres facteurs de risque (par exemple, restriction hydrique, alitement,...). Cet effet peut être symptomatique ou asymptomatique, peut entraîner une insuffisance rénale, et est réversible à l'arrêt du traitement.
- manifestations du système nerveux central : très rares cas de céphalées et de vertiges.
L'administration de fortes posologies de bêtalactamines, en particulier chez l'insuffisant rénal, peut entraîner des encéphalopathies (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives).
D'exceptionnels accidents graves, dont certains ayant entraîné le décès, ont été signalés chez des prématurés ou nouveau-nés ayant reçu simultanément par voie IV de la ceftriaxone et un sel de calcium (gluconate de calcium) (voir incompatibilités).
- manifestations locales : les injections intramusculaires sans lidocaïne sont douloureuses ; quelques cas de veinites ont été observés après injection intraveineuse.
SURVEILLANCE du traitement :
NFS régulièrement en cas de traitement prolongé.
NFS régulièrement en cas de traitement prolongé.
PREVENIR LE MEDECIN en cas de douleur du ventre.
Grossesse :
L'utilisation de la ceftriaxone peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin. En effet, les données cliniques, bien qu'en nombre limité, sont rassurantes et les données animales n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif de la ceftriaxone.
Allaitement :
La ceftriaxone s'accumule dans le lait maternel. L'allaitement est possible si le traitement est de courte durée (7 jours). Il est déconseillé en cas de traitement prolongé.
L'utilisation de la ceftriaxone peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin. En effet, les données cliniques, bien qu'en nombre limité, sont rassurantes et les données animales n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif de la ceftriaxone.
Allaitement :
La ceftriaxone s'accumule dans le lait maternel. L'allaitement est possible si le traitement est de courte durée (7 jours). Il est déconseillé en cas de traitement prolongé.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
Anticoagulants oraux :
Augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Si nécessaire, adaptation de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par la céphalosporine et après son arrêt.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Anticoagulants oraux :
Augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique.
Contrôle plus fréquent de l'INR. Si nécessaire, adaptation de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par la céphalosporine et après son arrêt.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Posologie :
ADULTES :
1 g par jour en une seule injection pouvant être porté à 2 g/jour en une seule injection, selon la sévérité de l'infection et le poids du patient.
- Maladie de Lyme : 2 g par jour en une injection.
La durée du traitement est habituellement de 14 jours, pouvant être portée à 21 jours dans les formes sévères ou tardives.
- Suspicion clinique de purpura fulminans :
première dose à administrer si possible par voie intraveineuse, sinon par voie intramusculaire : 1 à 2 g.
ENFANTS ET NOURRISSONS :
50 mg/kg/jour en une seule injection.
- Maladie de Lyme : 50 à 100 mg/kg/j en une injection.
La durée du traitement est habituellement de 14 jours, pouvant être portée à 21 jours dans les formes sévères ou tardives.
- Dans les cas de méningites : la posologie peut varier de 50 à 100 mg/kg/jour en une seule injection ; la posologie de 100 mg/kg n'étant justifiée que comme traitement d'attaque.
Toutefois, chez le tout jeune nourrisson âgé de 3 à 12 mois, un rythme d'une injection toutes les 12 heures peut être retenu, en raison d'une demi-vie plasmatique plus brève.
- Suspicion clinique de purpura fulminans :
première dose à administrer si possible par voie intraveineuse, sinon par voie intramusculaire : 50 à 100 mg/kg sans dépasser 1 g.
NOUVEAU-NES :
50 mg/kg/jour en une seule injection, quelque soit l'indication.
PATIENTS AGES :
Il n'y a pas lieu de modifier les posologies recommandées pour l'adulte lorsqu'il s'agit de patients âgés.
Mode d'administration :
- Voie IV :
Injecter lentement en 2 à 4 minutes dans la veine ou la tubulure d'une perfusion.
- Voie SC :
La voie sous-cutanée est possible.
- Perfusion :
. La durée de la perfusion est d'environ 30 minutes.
. Dissoudre 2 g de ceftriaxone dans 40 ml d'eau ppi ou dans 40 ml de l'une des solutions de perfusion suivantes : chlorure de sodium à 0,9% ; chlorure de sodium à 0,45% + glucose à 2,5% ; glucose à 5% ; glucose à 10% ; dextran à 6% dans du glucose à 5% ; hydroxy-éthyl-amidon 6-10%.
. La ceftriaxone ne doit pas être mélangée à des solutions contenant d'autres agents antimicrobiens (à l'exception de l'ornidazole) ni à des solutions de diluants autres que celles énumérées ci-dessus, eu égard au risque d'incompatibilité.
. La ceftriaxone sodique ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium.
. Lorsque des solutions de calcium sont administrées, il est recommandé de perfuser la ceftriaxone sur une voie séparée.
. La ceftriaxone sodique est incompatible avec l'amsacrine, la vancomycine, le fluconazole et les aminosides.
(voir mises en garde et précautions d'emploi, incompatibilités).
- Voie IM :
. Cette forme IV peut être administrée par voie IM. Pour cela, dissoudre 500 mg de ceftriaxone dans 2 ml de lidocaïne à 1%.
. Il est nécessaire de pratiquer l'injection IM dans la face antérolatérale de la cuisse du nourrisson.
ADULTES :
1 g par jour en une seule injection pouvant être porté à 2 g/jour en une seule injection, selon la sévérité de l'infection et le poids du patient.
- Maladie de Lyme : 2 g par jour en une injection.
La durée du traitement est habituellement de 14 jours, pouvant être portée à 21 jours dans les formes sévères ou tardives.
- Suspicion clinique de purpura fulminans :
première dose à administrer si possible par voie intraveineuse, sinon par voie intramusculaire : 1 à 2 g.
ENFANTS ET NOURRISSONS :
50 mg/kg/jour en une seule injection.
- Maladie de Lyme : 50 à 100 mg/kg/j en une injection.
La durée du traitement est habituellement de 14 jours, pouvant être portée à 21 jours dans les formes sévères ou tardives.
- Dans les cas de méningites : la posologie peut varier de 50 à 100 mg/kg/jour en une seule injection ; la posologie de 100 mg/kg n'étant justifiée que comme traitement d'attaque.
Toutefois, chez le tout jeune nourrisson âgé de 3 à 12 mois, un rythme d'une injection toutes les 12 heures peut être retenu, en raison d'une demi-vie plasmatique plus brève.
- Suspicion clinique de purpura fulminans :
première dose à administrer si possible par voie intraveineuse, sinon par voie intramusculaire : 50 à 100 mg/kg sans dépasser 1 g.
NOUVEAU-NES :
50 mg/kg/jour en une seule injection, quelque soit l'indication.
PATIENTS AGES :
Il n'y a pas lieu de modifier les posologies recommandées pour l'adulte lorsqu'il s'agit de patients âgés.
Mode d'administration :
- Voie IV :
Injecter lentement en 2 à 4 minutes dans la veine ou la tubulure d'une perfusion.
- Voie SC :
La voie sous-cutanée est possible.
- Perfusion :
. La durée de la perfusion est d'environ 30 minutes.
. Dissoudre 2 g de ceftriaxone dans 40 ml d'eau ppi ou dans 40 ml de l'une des solutions de perfusion suivantes : chlorure de sodium à 0,9% ; chlorure de sodium à 0,45% + glucose à 2,5% ; glucose à 5% ; glucose à 10% ; dextran à 6% dans du glucose à 5% ; hydroxy-éthyl-amidon 6-10%.
. La ceftriaxone ne doit pas être mélangée à des solutions contenant d'autres agents antimicrobiens (à l'exception de l'ornidazole) ni à des solutions de diluants autres que celles énumérées ci-dessus, eu égard au risque d'incompatibilité.
. La ceftriaxone sodique ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium.
. Lorsque des solutions de calcium sont administrées, il est recommandé de perfuser la ceftriaxone sur une voie séparée.
. La ceftriaxone sodique est incompatible avec l'amsacrine, la vancomycine, le fluconazole et les aminosides.
(voir mises en garde et précautions d'emploi, incompatibilités).
- Voie IM :
. Cette forme IV peut être administrée par voie IM. Pour cela, dissoudre 500 mg de ceftriaxone dans 2 ml de lidocaïne à 1%.
. Il est nécessaire de pratiquer l'injection IM dans la face antérolatérale de la cuisse du nourrisson.
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
- Avant reconstitution :
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
- Après reconstitution :
La stabilité physicochimique du produit reconstitué a été démontrée pendant 6 heures à + 25°C. Toutefois, d'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après reconstitution et avant utilisation relèvent de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre + 2°C et + 8°C.
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
- Avant reconstitution :
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
- Après reconstitution :
La stabilité physicochimique du produit reconstitué a été démontrée pendant 6 heures à + 25°C. Toutefois, d'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après reconstitution et avant utilisation relèvent de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre + 2°C et + 8°C.
- Des précipitations ont été observées avec des solutions contenant du calcium tout particulièrement chez les nouveau-nés (voir mises en garde et précautions d'emploi et effets indésirables).
- La ceftriaxone sodique ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium notamment la solution de Hartmann ou la solution de Ringer.
- La ceftriaxone sodique est incompatible avec l'amsacrine, la vancomycine, le fluconazole et les aminosides.
- Perfusion :
. Dissoudre 2 g de ceftriaxone dans 40 ml d'eau ppi ou dans 40 ml de l'une des solutions de perfusion suivantes : chlorure de sodium à 0,9% ; chlorure de sodium à 0,45% + glucose à 2,5% ; glucose à 5% ; glucose à 10% ; dextran à 6% dans du glucose à 5% ; hydroxy-éthyl-amidon 6-10%.
. La ceftriaxone ne doit pas être mélangée à des solutions contenant d'autres agents antimicrobiens (à l'exception de l'ornidazole) ni à des solutions de diluants autres que celles énumérées ci-dessus, eu égard au risque d'incompatibilité.
- Voie IM :
Dissoudre 500 mg de ceftriaxone dans 2 ml de lidocaïne à 1%.
- La ceftriaxone sodique ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium notamment la solution de Hartmann ou la solution de Ringer.
- La ceftriaxone sodique est incompatible avec l'amsacrine, la vancomycine, le fluconazole et les aminosides.
- Perfusion :
. Dissoudre 2 g de ceftriaxone dans 40 ml d'eau ppi ou dans 40 ml de l'une des solutions de perfusion suivantes : chlorure de sodium à 0,9% ; chlorure de sodium à 0,45% + glucose à 2,5% ; glucose à 5% ; glucose à 10% ; dextran à 6% dans du glucose à 5% ; hydroxy-éthyl-amidon 6-10%.
. La ceftriaxone ne doit pas être mélangée à des solutions contenant d'autres agents antimicrobiens (à l'exception de l'ornidazole) ni à des solutions de diluants autres que celles énumérées ci-dessus, eu égard au risque d'incompatibilité.
- Voie IM :
Dissoudre 500 mg de ceftriaxone dans 2 ml de lidocaïne à 1%.
La ceftriaxone est faiblement dialysable. Le traitement d'un surdosage doit être symptomatique.
Classe pharmacothérapeutique : ANTIBACTERIENS A USAGE SYSTEMIQUE,
Code ATC : J01DA13.
La ceftriaxone est un antibiotique antibactérien de la famille des bêtalactamines du groupe des céphalosporines de 3ème génération.
La ceftriaxone est une céphalosporine semi-synthétique à très large spectre d'action et résistante aux bêtalactamases.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
. S < = 4 mg/L et R > 32 mg/L.
. CMI pneumocoque : S < = 0,5 mg/L et R > 2 mg/L (voie parentérale).
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Staphylococcus méti-S.
. Streptococcus.
. Streptococcus pneumoniae (15-35%).
- Aérobies à Gram négatif :
. Borrelia burgdorferi.
. Branhamella catarrhalis.
. Citrobacter freundii (20-30%).
. Citrobacter koseri.
. Enterobacter (20-40%).
. Escherichia coli.
. Haemophilus influenzae.
. Klebsiella (0-20%).
. Morganella morganii.
. Neisseria y compris Neisseria meningitidis et Neisseria gonorrhoeae.
. Proteus mirabilis.
. Proteus multocida.
. Proteus vulgaris.
. Providencia.
. Salmonella.
. Serratia (20-30%).
. Shigella.
. Yersinia.
- Anaérobies :
. Clostridium perfringens.
. Fusobacterium (15-20%).
. Peptostreptococcus.
. Prevotella (15-20%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
. Entérocoques.
. Listeria.
. Staphylococcus méti-R*.
- Aérobies à Gram négatif :
. Acinetobacter baumannii.
. Burkholderia cepacia.
. Pseudomonas aeruginosa.
. Stenotrophomonas maltophilia.
- Anaérobies :
. Bacteroïdes fragilis.
. Clostridium difficile.
*La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
Code ATC : J01DA13.
La ceftriaxone est un antibiotique antibactérien de la famille des bêtalactamines du groupe des céphalosporines de 3ème génération.
La ceftriaxone est une céphalosporine semi-synthétique à très large spectre d'action et résistante aux bêtalactamases.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
. S < = 4 mg/L et R > 32 mg/L.
. CMI pneumocoque : S < = 0,5 mg/L et R > 2 mg/L (voie parentérale).
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Staphylococcus méti-S.
. Streptococcus.
. Streptococcus pneumoniae (15-35%).
- Aérobies à Gram négatif :
. Borrelia burgdorferi.
. Branhamella catarrhalis.
. Citrobacter freundii (20-30%).
. Citrobacter koseri.
. Enterobacter (20-40%).
. Escherichia coli.
. Haemophilus influenzae.
. Klebsiella (0-20%).
. Morganella morganii.
. Neisseria y compris Neisseria meningitidis et Neisseria gonorrhoeae.
. Proteus mirabilis.
. Proteus multocida.
. Proteus vulgaris.
. Providencia.
. Salmonella.
. Serratia (20-30%).
. Shigella.
. Yersinia.
- Anaérobies :
. Clostridium perfringens.
. Fusobacterium (15-20%).
. Peptostreptococcus.
. Prevotella (15-20%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
. Entérocoques.
. Listeria.
. Staphylococcus méti-R*.
- Aérobies à Gram négatif :
. Acinetobacter baumannii.
. Burkholderia cepacia.
. Pseudomonas aeruginosa.
. Stenotrophomonas maltophilia.
- Anaérobies :
. Bacteroïdes fragilis.
. Clostridium difficile.
*La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
DISTRIBUTION :
- Après perfusion intraveineuse de 30 minutes d'une dose unique de 1 g, la concentration plasmatique maximale est en moyenne de 168 mg/L. Après administration IM de la même dose, la concentration maximale est atteinte en 2 à 3 h et est approximativement de 80 mg/L.
- Les voies IM, IV sont bioéquivalentes (aires sous la courbe similaires). La ceftriaxone administrée par voie intramusculaire a donc une biodisponibilité absolue voisine de 100%.
- Le volume de distribution de la ceftriaxone est compris entre 7 et 12 litres. La diffusion de la ceftriaxone est bonne dans le liquide interstitiel, les tissus et les liquides organiques (notamment le LCR, la bile, l'os, les sécrétions bronchiques, les foyers infectieux de la sphère ORL).
- Liaison aux protéines :
La liaison de la ceftriaxone aux protéines plasmatiques (albumine) est réversible et saturable. Elle varie de 80 à 95% dans la gamme des concentrations thérapeutiques. Du fait d'un plus faible taux d'albumine, la proportion de ceftriaxone libre dans le liquide interstitiel est donc plus élevée que dans le plasma.
BIOTRANSFORMATION :
La ceftriaxone est très faiblement métabolisée. Seule la flore intestinale la transforme en métabolites inactifs.
ELIMINATION :
- L'élimination de la ceftriaxone se fait par voie urinaire et biliaire.
- La clairance plasmatique totale est comprise entre 10 et 22 ml/min.
- La clairance rénale est comprise entre 5 et 12 ml/min.
- 50 à 60% de la ceftriaxone sont excrétés sous forme inchangée dans l'urine alors que 40 à 50% sont éliminés dans la bile.
- La demi-vie d'élimination chez l'adulte est d'environ 8 heures.
PHARMACOCINETIQUE DANS LES CONDITIONS CLINIQUES PARTICULIERES :
- Chez le nouveau-né, la quantité de ceftriaxone retrouvée dans l'urine correspond à environ 70% de la dose administrée.
- Chez les nouveau-nés de moins de 8 jours, la demi-vie d'élimination moyenne est généralement 2 à 3 fois supérieure à celle trouvée chez le jeune adulte ; chez le nourrisson de 3 à 12 mois, elle est raccourcie.
- Chez l'enfant et le nourrisson, après injection IM unique de 50 mg/kg, la concentration plasmatique totale en ceftriaxone est maximale après 5,4 heures (192 +/- 135 mg/L).
- Chez l'enfant et le nourrisson, après injection IM, la diffusion dans l'oreille moyenne est bonne avec des taux supérieurs à la CMI des principales bactéries responsables d'otite moyenne aiguë, pendant au moins 48 heures. Après une injection unique de 50 mg/kg, la concentration totale en ceftriaxone dans le liquide d'oreille moyenne est d'environ 5 mg/L à 1,5 heure, de 33 +/- 20 mg/L à la 15ème heure ; elle se maintient en plateau à la 24ème heure (35 +/- 12 mg/L) et est encore de 19 +/- 7 mg/L après 48 heures.
- Chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique, la pharmacocinétique de la ceftriaxone n'est que peu modifiée et la demi-vie d'élimination n'est que légèrement augmentée. Si seule la fonction rénale est touchée, l'élimination biliaire de la ceftriaxone est augmentée, si seule la fonction hépatique est touchée, l'élimination rénale est augmentée.
- Après perfusion intraveineuse de 30 minutes d'une dose unique de 1 g, la concentration plasmatique maximale est en moyenne de 168 mg/L. Après administration IM de la même dose, la concentration maximale est atteinte en 2 à 3 h et est approximativement de 80 mg/L.
- Les voies IM, IV sont bioéquivalentes (aires sous la courbe similaires). La ceftriaxone administrée par voie intramusculaire a donc une biodisponibilité absolue voisine de 100%.
- Le volume de distribution de la ceftriaxone est compris entre 7 et 12 litres. La diffusion de la ceftriaxone est bonne dans le liquide interstitiel, les tissus et les liquides organiques (notamment le LCR, la bile, l'os, les sécrétions bronchiques, les foyers infectieux de la sphère ORL).
- Liaison aux protéines :
La liaison de la ceftriaxone aux protéines plasmatiques (albumine) est réversible et saturable. Elle varie de 80 à 95% dans la gamme des concentrations thérapeutiques. Du fait d'un plus faible taux d'albumine, la proportion de ceftriaxone libre dans le liquide interstitiel est donc plus élevée que dans le plasma.
BIOTRANSFORMATION :
La ceftriaxone est très faiblement métabolisée. Seule la flore intestinale la transforme en métabolites inactifs.
ELIMINATION :
- L'élimination de la ceftriaxone se fait par voie urinaire et biliaire.
- La clairance plasmatique totale est comprise entre 10 et 22 ml/min.
- La clairance rénale est comprise entre 5 et 12 ml/min.
- 50 à 60% de la ceftriaxone sont excrétés sous forme inchangée dans l'urine alors que 40 à 50% sont éliminés dans la bile.
- La demi-vie d'élimination chez l'adulte est d'environ 8 heures.
PHARMACOCINETIQUE DANS LES CONDITIONS CLINIQUES PARTICULIERES :
- Chez le nouveau-né, la quantité de ceftriaxone retrouvée dans l'urine correspond à environ 70% de la dose administrée.
- Chez les nouveau-nés de moins de 8 jours, la demi-vie d'élimination moyenne est généralement 2 à 3 fois supérieure à celle trouvée chez le jeune adulte ; chez le nourrisson de 3 à 12 mois, elle est raccourcie.
- Chez l'enfant et le nourrisson, après injection IM unique de 50 mg/kg, la concentration plasmatique totale en ceftriaxone est maximale après 5,4 heures (192 +/- 135 mg/L).
- Chez l'enfant et le nourrisson, après injection IM, la diffusion dans l'oreille moyenne est bonne avec des taux supérieurs à la CMI des principales bactéries responsables d'otite moyenne aiguë, pendant au moins 48 heures. Après une injection unique de 50 mg/kg, la concentration totale en ceftriaxone dans le liquide d'oreille moyenne est d'environ 5 mg/L à 1,5 heure, de 33 +/- 20 mg/L à la 15ème heure ; elle se maintient en plateau à la 24ème heure (35 +/- 12 mg/L) et est encore de 19 +/- 7 mg/L après 48 heures.
- Chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique, la pharmacocinétique de la ceftriaxone n'est que peu modifiée et la demi-vie d'élimination n'est que légèrement augmentée. Si seule la fonction rénale est touchée, l'élimination biliaire de la ceftriaxone est augmentée, si seule la fonction hépatique est touchée, l'élimination rénale est augmentée.
Sans objet.
Sans objet.
La couleur de la solution reconstituée peut varier du jaune pâle au jaune ambré dans les conditions de conservation précisées dans la rubrique durée et précautions particulières de conservation.
Liste I.
La couleur de la solution reconstituée peut varier du jaune pâle au jaune ambré.
596,5 mg de poudre en flacon de 10 ml (verre incolore de type III) avec bouchon (Bromobutyl) et capsule (Aluminium). Boîte de 1 flacon.