PIROXICAM IVAX 10 mg, gélule, boîte de 30
Retiré du marché le : 08/01/2008
Dernière révision : 30/07/2002
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : TEVA CLASSICS
Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire du piroxicam, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.
Elles sont limitées, chez l'adulte et l'enfant à partir de 15 ans, au :
- traitement symptomatique au long cours :
. des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante (ou syndromes apparentés, tels que syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique),
. de certaines arthroses douloureuses et invalidantes.
- traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
. rhumatismes abarticulaires telles que périarthrites scapulo-humérales, tendinites, bursites,
. affections aiguës post-traumatiques de l'appareil locomoteur,
. arthrites microcristallines,
. arthroses,
. radiculalgies.
Elles sont limitées, chez l'adulte et l'enfant à partir de 15 ans, au :
- traitement symptomatique au long cours :
. des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante (ou syndromes apparentés, tels que syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique),
. de certaines arthroses douloureuses et invalidantes.
- traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
. rhumatismes abarticulaires telles que périarthrites scapulo-humérales, tendinites, bursites,
. affections aiguës post-traumatiques de l'appareil locomoteur,
. arthrites microcristallines,
. arthroses,
. radiculalgies.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants :
- hypersensibilité avérée au piroxicam et aux substances d'activité proche telles que autres AINS, aspirine,
- la survenue de crise d'asthme chez certains sujets peut être liée à une allergie à l'aspirine ou aux AINS. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
- ulcère gastroduodénal en évolution,
- insuffisance hépatocellulaire sévère,
- insuffisance rénale sévère,
- enfant de moins de 15 ans,
- à partir du 6ème mois de grossesse : au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer le foetus à une toxicité cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios ; la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. En conséquence, en dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
DECONSEILLE :
- Ce médicament est généralement déconseillé en association avec :
. les anticoagulants oraux,
. d'autres AINS (y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l'adulte),
. l'héparine,
. le lithium,
. le méthotrexate à partir de 15 mg/semaine,
. la ticlopidine.
- Allaitement : les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants :
- hypersensibilité avérée au piroxicam et aux substances d'activité proche telles que autres AINS, aspirine,
- la survenue de crise d'asthme chez certains sujets peut être liée à une allergie à l'aspirine ou aux AINS. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
- ulcère gastroduodénal en évolution,
- insuffisance hépatocellulaire sévère,
- insuffisance rénale sévère,
- enfant de moins de 15 ans,
- à partir du 6ème mois de grossesse : au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer le foetus à une toxicité cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios ; la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. En conséquence, en dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
DECONSEILLE :
- Ce médicament est généralement déconseillé en association avec :
. les anticoagulants oraux,
. d'autres AINS (y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l'adulte),
. l'héparine,
. le lithium,
. le méthotrexate à partir de 15 mg/semaine,
. la ticlopidine.
- Allaitement : les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
MISES EN GARDE :
- En raison de la gravité possible des manifestations gastro-intestinales, notamment chez les malades soumis à un traitement anticoagulant, il convient de surveiller particulièrement l'apparition d'une symptomatologie digestive. En cas d'hémorragie gastro-intestinale, interrompre immédiatement le traitement.
- En raison de la gravité possible des manifestations cutanées, il convient de surveiller particulièrement l'apparition de ces dernières. En cas de manifestation cutanée ou muqueuse de type prurit, rash, aphte, conjonctivite, interrompre immédiatement le traitement.
- La prescription de piroxicam n'est pas recommandée pour le traitement des affections rhumatologiques ou post-traumatiques spontanément régressives et/ou peu invalidantes.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Ce médicament existe sous d'autres dosages qui peuvent être plus adaptés.
- La survenue de crise d'asthme chez certains sujets peut être liée à une allergie à l'aspirine ou aux AINS. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
- Le piroxicam sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastroduodénal, hernie hiatale, hémorragies digestives...), de rares cas mortels d'ulcères, de perforations et de saignements gastro-intestinaux ayant été rapportés ;
- En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement chez les sujets âgés.
- Il n'y a pas lieu de réduire la posologie chez le sujet âgé.
- Grossesse : dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque. En conséquence, la prescription d'AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine, pentoxifylline, zidovudine.
- En raison de la gravité possible des manifestations gastro-intestinales, notamment chez les malades soumis à un traitement anticoagulant, il convient de surveiller particulièrement l'apparition d'une symptomatologie digestive. En cas d'hémorragie gastro-intestinale, interrompre immédiatement le traitement.
- En raison de la gravité possible des manifestations cutanées, il convient de surveiller particulièrement l'apparition de ces dernières. En cas de manifestation cutanée ou muqueuse de type prurit, rash, aphte, conjonctivite, interrompre immédiatement le traitement.
- La prescription de piroxicam n'est pas recommandée pour le traitement des affections rhumatologiques ou post-traumatiques spontanément régressives et/ou peu invalidantes.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Ce médicament existe sous d'autres dosages qui peuvent être plus adaptés.
- La survenue de crise d'asthme chez certains sujets peut être liée à une allergie à l'aspirine ou aux AINS. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
- Le piroxicam sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastroduodénal, hernie hiatale, hémorragies digestives...), de rares cas mortels d'ulcères, de perforations et de saignements gastro-intestinaux ayant été rapportés ;
- En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement chez les sujets âgés.
- Il n'y a pas lieu de réduire la posologie chez le sujet âgé.
- Grossesse : dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque. En conséquence, la prescription d'AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine, pentoxifylline, zidovudine.
- Effets gastro-intestinaux : ont été rapportés des troubles gastro-intestinaux à type d'anorexie, pesanteurs épigastriques, nausées, vomissements, constipation, douleurs abdominales, flatulences, diarrhées, ulcères, perforations, hémorragies digestives occultes ou non. Celles-ci sont d'autant plus fréquentes que la posologie utilisée est élevée.
La fréquence des effets gastro-intestinaux est augmentée lors de l'utilisation prolongée de doses de piroxicam supérieures ou égales à 30 mg/jour.
- Réactions d'hypersensibilité :
. dermatologiques : éruption, rash, prurit ;
. respiratoires : la survenue de crise d'asthme a été observée chez certains sujets notamment allergiques à l'aspirine et aux autres anti-inflammatoires non stéroïdiens ;
. générales : anaphylaxie, oedème de Quincke, vascularites, maladie sérique ont été exceptionnellement rapportés.
- Effets sur le système nerveux central :
. céphalées, somnolence et vertiges ont été rapportés, ainsi que bourdonnements d'oreille,
. des cas isolés de baisse de l'acuité auditive ont été exceptionnellement rapportés,
. il n'a pas été signalé de perturbations oculaires aux examens ophtalmologiques de routine et lors des contrôles à la lampe à fente.
- Réactions cutanéomuqueuses :
. stomatites,
. éruption, prurit, rares cas de photosensibilisation,
. ont été rapportés de rares cas de réactions cutanées bulleuses à type d'érythème polymorphe, d'ectodermose pluri-orificielle ou de nécrolyse épidermique (Stevens-Johnson, Lyell).
- Autres :
. oedèmes, notamment des membres inférieurs,
. exceptionnels cas de pancréatite.
- Quelques rares modifications biologiques ont pu être observées :
. rénales : élévation réversible du taux d'urée dans le sang et de la créatininémie ;
. hématologiques :
. diminution de l'agrégabilité plaquettaire et allongement du temps de saignement, diminution du taux d'hémoglobine et de l'hématocrite non associée à un saignement gastro-intestinal évident,
. exceptionnels cas d'anémie hémolytique,
. thrombocytopénie et purpura non thrombocytopénique (Schönlein-Henoch), leucopénie et éosinophilie,
. rares cas d'aplasie médullaire ;
. hépatiques : quelques cas de modifications, le plus souvent transitoires ou réversibles, des paramètres hépatiques (transaminases sériques, bilirubine), ont pu être observés. Une atteinte hépatique plus sévère (ictère, hépatite grave ou fatale) a exceptionnellement été rapportée avec le piroxicam. Si des anomalies de la fonction hépatique persistent ou s'aggravent ou s'il survient des signes cliniques d'insuffisance hépatique ou des manifestations générales (éosinophilie, rash), le piroxicam doit être arrêté ;
. recherche d'anticorps antinucléaires positive : quelques rares cas anecdotiques ont été rapportés.
La fréquence des effets gastro-intestinaux est augmentée lors de l'utilisation prolongée de doses de piroxicam supérieures ou égales à 30 mg/jour.
- Réactions d'hypersensibilité :
. dermatologiques : éruption, rash, prurit ;
. respiratoires : la survenue de crise d'asthme a été observée chez certains sujets notamment allergiques à l'aspirine et aux autres anti-inflammatoires non stéroïdiens ;
. générales : anaphylaxie, oedème de Quincke, vascularites, maladie sérique ont été exceptionnellement rapportés.
- Effets sur le système nerveux central :
. céphalées, somnolence et vertiges ont été rapportés, ainsi que bourdonnements d'oreille,
. des cas isolés de baisse de l'acuité auditive ont été exceptionnellement rapportés,
. il n'a pas été signalé de perturbations oculaires aux examens ophtalmologiques de routine et lors des contrôles à la lampe à fente.
- Réactions cutanéomuqueuses :
. stomatites,
. éruption, prurit, rares cas de photosensibilisation,
. ont été rapportés de rares cas de réactions cutanées bulleuses à type d'érythème polymorphe, d'ectodermose pluri-orificielle ou de nécrolyse épidermique (Stevens-Johnson, Lyell).
- Autres :
. oedèmes, notamment des membres inférieurs,
. exceptionnels cas de pancréatite.
- Quelques rares modifications biologiques ont pu être observées :
. rénales : élévation réversible du taux d'urée dans le sang et de la créatininémie ;
. hématologiques :
. diminution de l'agrégabilité plaquettaire et allongement du temps de saignement, diminution du taux d'hémoglobine et de l'hématocrite non associée à un saignement gastro-intestinal évident,
. exceptionnels cas d'anémie hémolytique,
. thrombocytopénie et purpura non thrombocytopénique (Schönlein-Henoch), leucopénie et éosinophilie,
. rares cas d'aplasie médullaire ;
. hépatiques : quelques cas de modifications, le plus souvent transitoires ou réversibles, des paramètres hépatiques (transaminases sériques, bilirubine), ont pu être observés. Une atteinte hépatique plus sévère (ictère, hépatite grave ou fatale) a exceptionnellement été rapportée avec le piroxicam. Si des anomalies de la fonction hépatique persistent ou s'aggravent ou s'il survient des signes cliniques d'insuffisance hépatique ou des manifestations générales (éosinophilie, rash), le piroxicam doit être arrêté ;
. recherche d'anticorps antinucléaires positive : quelques rares cas anecdotiques ont été rapportés.
Grossesse :
Dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque.
Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
- le foetus à :
. une toxicité cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel),
. un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios ;
- la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
En conséquence, la prescription d'AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
Allaitement :
Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
Dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque.
Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
- le foetus à :
. une toxicité cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel),
. un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios ;
- la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
En conséquence, la prescription d'AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
Allaitement :
Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite.
L'administration simultanée de piroxicam avec les produits suivants nécessite une surveillance rigoureuse de l'état clinique et biologique du malade.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Autres AINS, y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l'adulte : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif par synergie additive.
- Anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite.
- Héparines : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique (et biologique pour les héparines non fractionnées) étroite.
- Lithium (décrit avec plusieurs AINS) : augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, par diminution de l'excrétion rénale de lithium.
Si l'association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et après l'arrêt de l'AINS.
- Méthotrexate, utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate par diminution de sa clairance rénale par les anti-inflammatoires.
- Ticlopidine : augmentation du risque hémorragique par synergie des activités anti-agrégantes plaquettaires.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite, incluant le temps de saignement.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) : risque d'insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté, par diminution de la filtration glomérulaire, secondaire à une inhibition des prostaglandines rénales par les AINS.
Par ailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur.
Hydrater le malade, surveiller la fonction rénale en début de traitement.
- Méthotrexate, utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate par diminution de sa clairance rénale par les anti-inflammatoires.
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération, même légère, de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
- Pentoxifylline : augmentation du risque hémorragique.
Renforcer la surveillance clinique et contrôler plus fréquemment le temps de saignement.
- Zidovudine : risque de toxicité accrue sur la lignée rouge par action sur les réticulocytes, avec anémie sévère survenant 8 jours après l'introduction de l'AINS.
Contrôle de la NFS et du taux de réticulocytes 8 à 15 jours après le début du traitement par l'AINS.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Bêtabloquants (par extrapolation à partir de l'indométacine) : réduction de l'effet antihypertenseur par inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS.
- Ciclosporine : risque d'addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé.
- Dispositif intra-utérin : risque controversé de diminution de son efficacité.
- Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Autres AINS, y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l'adulte : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif par synergie additive.
- Anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite.
- Héparines : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique (et biologique pour les héparines non fractionnées) étroite.
- Lithium (décrit avec plusieurs AINS) : augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, par diminution de l'excrétion rénale de lithium.
Si l'association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et après l'arrêt de l'AINS.
- Méthotrexate, utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate par diminution de sa clairance rénale par les anti-inflammatoires.
- Ticlopidine : augmentation du risque hémorragique par synergie des activités anti-agrégantes plaquettaires.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite, incluant le temps de saignement.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) : risque d'insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté, par diminution de la filtration glomérulaire, secondaire à une inhibition des prostaglandines rénales par les AINS.
Par ailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur.
Hydrater le malade, surveiller la fonction rénale en début de traitement.
- Méthotrexate, utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate par diminution de sa clairance rénale par les anti-inflammatoires.
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération, même légère, de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
- Pentoxifylline : augmentation du risque hémorragique.
Renforcer la surveillance clinique et contrôler plus fréquemment le temps de saignement.
- Zidovudine : risque de toxicité accrue sur la lignée rouge par action sur les réticulocytes, avec anémie sévère survenant 8 jours après l'introduction de l'AINS.
Contrôle de la NFS et du taux de réticulocytes 8 à 15 jours après le début du traitement par l'AINS.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Bêtabloquants (par extrapolation à partir de l'indométacine) : réduction de l'effet antihypertenseur par inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS.
- Ciclosporine : risque d'addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé.
- Dispositif intra-utérin : risque controversé de diminution de son efficacité.
- Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.
Mode d'administration :
Voie orale.
Les gélules sont à avaler telles quelles avec un grand verre d'eau.
Posologie :
Traitement symptomatique au long cours de :
- rhumatismes inflammatoires chroniques et arthroses : 20 mg par jour en une seule prise.
Pour certains malades, la posologie peut être portée à 30 mg par jour, en une ou plusieurs prises. A l'inverse, la posologie peut être parfois réduite à 10 mg/jour.
L'administration au long cours de doses supérieures ou égales à 30 mg/jour augmente le risque d'effets indésirables gastro-intestinaux.
Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
- rhumatismes abarticulaires et affections aiguës post-traumatiques de l'appareil locomoteur : 40 mg par jour (en une ou plusieurs prises) pendant 2 jours, puis 20 mg par jour les jours suivants ;
- arthrites microcristallines : 40 mg par jour, de préférence en une seule prise journalière, pendant 4 à 6 jours en moyenne. Le piroxicam n'est pas indiqué pour le traitement au long cours des arthrites microcristallines.
- arthroses et radiculalgies : 40 mg par jour en une ou plusieurs prises pendant les 2 premiers jours, puis 20 mg par jour les jours suivants.
La dose quotidienne totale de piroxicam administrée ne doit pas dépasser la dose maximale recommandée ci-dessus, soit 40 mg/jour.
Fréquence d'administration :
Les gélules doivent être prises au cours d'un repas.
Voie orale.
Les gélules sont à avaler telles quelles avec un grand verre d'eau.
Posologie :
Traitement symptomatique au long cours de :
- rhumatismes inflammatoires chroniques et arthroses : 20 mg par jour en une seule prise.
Pour certains malades, la posologie peut être portée à 30 mg par jour, en une ou plusieurs prises. A l'inverse, la posologie peut être parfois réduite à 10 mg/jour.
L'administration au long cours de doses supérieures ou égales à 30 mg/jour augmente le risque d'effets indésirables gastro-intestinaux.
Traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des :
- rhumatismes abarticulaires et affections aiguës post-traumatiques de l'appareil locomoteur : 40 mg par jour (en une ou plusieurs prises) pendant 2 jours, puis 20 mg par jour les jours suivants ;
- arthrites microcristallines : 40 mg par jour, de préférence en une seule prise journalière, pendant 4 à 6 jours en moyenne. Le piroxicam n'est pas indiqué pour le traitement au long cours des arthrites microcristallines.
- arthroses et radiculalgies : 40 mg par jour en une ou plusieurs prises pendant les 2 premiers jours, puis 20 mg par jour les jours suivants.
La dose quotidienne totale de piroxicam administrée ne doit pas dépasser la dose maximale recommandée ci-dessus, soit 40 mg/jour.
Fréquence d'administration :
Les gélules doivent être prises au cours d'un repas.
Durée de conservation :
3 ans.
3 ans.
Sans objet.
- Transfert immédiat en milieu hospitalier.
- Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
- Charbon activé pour diminuer la réabsorption du piroxicam et ainsi en réduire les taux sériques.
- Traitement symptomatique.
- Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
- Charbon activé pour diminuer la réabsorption du piroxicam et ainsi en réduire les taux sériques.
- Traitement symptomatique.
ANTI-INFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN.
(M : système locomoteur).
Le piroxicam est un anti-inflammatoire non stéroïdien du groupe des oxicams.
- Activité anti-inflammatoire, activité antalgique, activité antipyrétique.
- Activité inhibitrice sur la synthèse des prostaglandines.
- Activité inhibitrice de l'agrégation plaquettaire.
(M : système locomoteur).
Le piroxicam est un anti-inflammatoire non stéroïdien du groupe des oxicams.
- Activité anti-inflammatoire, activité antalgique, activité antipyrétique.
- Activité inhibitrice sur la synthèse des prostaglandines.
- Activité inhibitrice de l'agrégation plaquettaire.
La pharmacocinétique du piroxicam est linéaire. Diverses études ont montré l'absence de modification de la pharmacocinétique du piroxicam en fonction de l'âge.
ABSORPTION :
- Administré par voie orale, le piroxicam est rapidement absorbé (demi-vie de résorption : 50 minutes).
- La biodisponibilité globale et l'importance de l'absorption ne sont pas modifiées par l'alimentation, cette dernière retardant légèrement la vitesse d'absorption.
DISTRIBUTION :
- Demi-vie d'élimination : environ 50 heures.
- Après administration per os d'une gélule de piroxicam 20 mg, on obtient un Cmax de 1,85 µg/ml en 1 heure (Tmax) et de 3,72 µg/ml en 1 heure (Tmax) après administration de 40 mg.
- La fixation aux protéines plasmatiques est importante : de l'ordre de 99 pour cent.
Le piroxicam traverse rapidement la membrane synoviale ; les taux synoviaux sont, en moyenne, de 45 à 50 pour cent des taux sanguins.
- La liaison aux protéines du liquide synovial est la même que la liaison aux protéines plasmatiques.
- Une étude préliminaire a montré que le piroxicam est présent dans le lait maternel (environ 1 à 3% des taux plasmatiques).
METABOLISME-EXCRETION :
- Le piroxicam est éliminé lentement. Il est presque totalement métabolisé.
- Moins de 5 pour cent de la dose ingérée sont éliminés inchangés dans les urines et les fèces.
- Une des voies métaboliques importantes est l'hydroxylation du noyau pyridine de la chaîne latérale du piroxicam, suivie d'une glycuroconjugaison et d'élimination urinaire.
- Les taux sériques contrôlés après un an d'administration orale continue de 20 mg/jour de piroxicam sont équivalents à ceux de l'état d'équilibre primitivement atteints.
ABSORPTION :
- Administré par voie orale, le piroxicam est rapidement absorbé (demi-vie de résorption : 50 minutes).
- La biodisponibilité globale et l'importance de l'absorption ne sont pas modifiées par l'alimentation, cette dernière retardant légèrement la vitesse d'absorption.
DISTRIBUTION :
- Demi-vie d'élimination : environ 50 heures.
- Après administration per os d'une gélule de piroxicam 20 mg, on obtient un Cmax de 1,85 µg/ml en 1 heure (Tmax) et de 3,72 µg/ml en 1 heure (Tmax) après administration de 40 mg.
- La fixation aux protéines plasmatiques est importante : de l'ordre de 99 pour cent.
Le piroxicam traverse rapidement la membrane synoviale ; les taux synoviaux sont, en moyenne, de 45 à 50 pour cent des taux sanguins.
- La liaison aux protéines du liquide synovial est la même que la liaison aux protéines plasmatiques.
- Une étude préliminaire a montré que le piroxicam est présent dans le lait maternel (environ 1 à 3% des taux plasmatiques).
METABOLISME-EXCRETION :
- Le piroxicam est éliminé lentement. Il est presque totalement métabolisé.
- Moins de 5 pour cent de la dose ingérée sont éliminés inchangés dans les urines et les fèces.
- Une des voies métaboliques importantes est l'hydroxylation du noyau pyridine de la chaîne latérale du piroxicam, suivie d'une glycuroconjugaison et d'élimination urinaire.
- Les taux sériques contrôlés après un an d'administration orale continue de 20 mg/jour de piroxicam sont équivalents à ceux de l'état d'équilibre primitivement atteints.
Prévenir les patients de l'apparition possible de vertiges et de somnolence.
Sans objet.
Sans objet.
Liste I.
Gélule vert foncé.
30 gélules sous plaquette thermoformée (PVC/Aluminium).