DYNEPO 1000 UI-0,5 ml, solution injectable en seringue préremplie, boîte de 6 seringues préremplies de ½ mL
Retiré du marché le : 18/02/2009
Dernière révision : 29/02/2008
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : SHIRE FRANCE
Dynepo est indiqué dans le traitement de l'anémie symptomatique associée à l'insuffisance rénale chronique (IRC) chez les patients adultes. Il peut être utilisé chez les patients sous dialyse et chez les patients non encore dialysés.
CONTRE-INDIQUE :
- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients.
- Hypertension artérielle non contrôlée.
DECONSEILLE :
- L'expérience chez les enfants est limitée.
- Allaitement : le passage dans le lait de Dynepo n'est pas connu. Comme de nombreux composés sont excrétés dans le lait, l'administration de Dynepo chez la femme qui nourrit un enfant au sein doit être faite avec prudence.
- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients.
- Hypertension artérielle non contrôlée.
DECONSEILLE :
- L'expérience chez les enfants est limitée.
- Allaitement : le passage dans le lait de Dynepo n'est pas connu. Comme de nombreux composés sont excrétés dans le lait, l'administration de Dynepo chez la femme qui nourrit un enfant au sein doit être faite avec prudence.
- Chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique, la concentration d'entretien en hémoglobine ne devra pas dépasser la limite supérieure de la concentration en hémoglobine visée et recommandée à la section posologie et mode d'administration.
- Dans le cadre des essais cliniques, un risque accru de décès et d'accidents cardiovasculaires graves a été observé lorsque des agents stimulant l'érythropoïèse (ASE) étaient administrés afin de cibler un taux supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/L).
- Les essais cliniques contrôlés n'ont pas montré de bénéfices significatifs attribuables à l'administration d'époétines lorsque la concentration d'hémoglobine dépassait le niveau nécessaire pour contrôler les symptômes de l'anémie et éviter une transfusion sanguine.
HYPERTENSION :
La plupart des patients souffrant d'une insuffisance rénale chronique ont des antécédents d'hypertension. Les patients traités avec Dynepo peuvent présenter une augmentation de la pression artérielle ou une aggravation de l'hypertension existante.
Ainsi, chez les patients traités avec Dynepo, des mesures spéciales de surveillance et de contrôle de la pression artérielle devront être mises en place. La pression artérielle devra être contrôlée de manière adéquate avant et pendant le traitement de manière à éviter des complications graves comme une crise hypertensive avec symptômes à type d'encéphalopathie et les complications qui lui sont liées (crises d'épilepsie, accident vasculaire cérébral). Si de telles réactions surviennent, elles doivent être suivies immédiatement d'un examen par un médecin et d'un séjour en soins intensifs. Une attention particulière devra être portée aux maux de tête soudains et aigus semblables à des migraines qui devront être considérés comme un signe précurseur possible.
Les augmentations de la pression artérielle peuvent nécessiter un traitement par antihypertenseurs ou l'augmentation de la dose d'une médication antihypertensive existante. Une réduction de la dose de Dynepo administrée doit également être envisagée. Si les valeurs de la pression artérielle restent élevées, une interruption temporaire du traitement par Dynepo peut être nécessaire.
Une fois l'hypertension contrôlée avec un traitement plus adéquate, le traitement par Dynepo pourra être repris à une plus faible dose.
DETERMINATION DU FER :
- Pendant le traitement avec Dynepo, une déficience absolue ou fonctionnelle en fer peut survenir. C'est la raison la plus fréquente à la réponse incomplète à un traitement par érythropoïétine.
Ainsi, avant et pendant le traitement avec Dynepo, les réserves en fer du patient, y compris le taux de saturation de la transferrine et la ferritine sérique, devront être déterminées. Le taux de saturation de la transferrine devrait être de 20% au moins, et la ferritine devrait être de 100 ng/ml au moins. Si le taux de saturation de la transferrine chute en deçà de 20%, ou si la concentration de ferritine descend en dessous de 100 ng/ml, une supplémentation en fer devra être administrée. Tous les patients requerront, à la longue, une supplémentation ferrique pour augmenter ou maintenir la saturation de la transferrine et la ferritinémie à des taux qui assureront de manière adéquate l'érythropoïèse stimulée par Dynepo.
Chez des patients résistants ou mauvais répondeurs à l'érythropoïétine, présentant un échec à la dose de 20000 UI/semaine, la présence d'une anémie doit être explorée, en orientant notamment le patient vers un hématologiste.
- Chez les patients présentant une réponse inappropriée au traitement par Dynepo malgré un taux de fer normal, les paramètres suivants devront être examinés puis traités, le cas échéant :
. Infection/inflammation.
. Sang occulte dans les selles.
. Hyperparathyroïdisme/ostéodystrophie rénale.
. Intoxication à l'aluminium.
. Hémoglobinopathies telles que thalassémie ou anémie à hématies falciformes.
. Déficiences en vitamines, comme l'acide folique ou la vitamine B12.
. Hémolyse.
. Maladies malignes parmi lesquelles myélomes multiples et syndrome myélodysplasique.
. Malnutrition.
CONTROLES BIOLOGIQUES :
- Il est recommandé d'effectuer régulièrement un hématogramme complet et une numération plaquettaire.
- Le taux d'hémoglobine devra être déterminé une fois par semaine jusqu'à ce qu'il se stabilise dans les limites visées et que la dose d'entretien soit établie. Après tout ajustement de la dose, le taux d'hémoglobine devra être déterminé une fois par semaine jusqu'à stabilisation dans les limites visées. Il devra ensuite être contrôlé à intervalles réguliers.
- Les valeurs de biochimie sérique, comme la créatinine et le potassium devront être déterminées régulièrement au cours du traitement avec Dynepo.
AUTRE :
- En raison de réactions anaphylactoïdes pouvant survenir avec l'érythropoïétine et bien qu'aucune de ces réactions n'ait été observée avec Dynepo, il est recommandé d'administrer la première dose sous surveillance médicale.
- L'utilisation de Dynepo chez les patients présentant une néphrosclérose et non encore dialysés devra être définie individuellement, une accélération possible de la progression de l'insuffisance rénale ne pouvant être totalement exclue.
- Au cours de l'hémodialyse, les patients traités avec Dynepo peuvent nécessiter une augmentation des traitements anticoagulants pour prévenir toute obturation du shunt artérioveineux.
- L'utilisation détournée de l'époétine par des personnes saines peut conduire à une augmentation excessive de l'hémoglobine et de l'hématocrite. Cet effet peut être associé à des complications cardiovasculaires mettant en jeu le pronostic vital.
- En raison d'expérience clinique limitée, l'efficacité et l'innocuité de Dynepo n'ont pu être évaluées chez les patients atteints d'insuffisance hépatique.
- Dynepo n'est pas indiqué pour la prise en charge de l'anémie associée au cancer.
- Grossesse : les études chez l'animal sont insuffisantes en ce qui concerne les effets sur la grossesse. Le risque potentiel pour l'être humain est inconnu. Il faudra agir avec précaution en cas de prescription aux femmes enceintes. En cas d'utilisation pendant la grossesse, une supplémentation en fer doit être envisagée chez la mère.
- Dans le cadre des essais cliniques, un risque accru de décès et d'accidents cardiovasculaires graves a été observé lorsque des agents stimulant l'érythropoïèse (ASE) étaient administrés afin de cibler un taux supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/L).
- Les essais cliniques contrôlés n'ont pas montré de bénéfices significatifs attribuables à l'administration d'époétines lorsque la concentration d'hémoglobine dépassait le niveau nécessaire pour contrôler les symptômes de l'anémie et éviter une transfusion sanguine.
HYPERTENSION :
La plupart des patients souffrant d'une insuffisance rénale chronique ont des antécédents d'hypertension. Les patients traités avec Dynepo peuvent présenter une augmentation de la pression artérielle ou une aggravation de l'hypertension existante.
Ainsi, chez les patients traités avec Dynepo, des mesures spéciales de surveillance et de contrôle de la pression artérielle devront être mises en place. La pression artérielle devra être contrôlée de manière adéquate avant et pendant le traitement de manière à éviter des complications graves comme une crise hypertensive avec symptômes à type d'encéphalopathie et les complications qui lui sont liées (crises d'épilepsie, accident vasculaire cérébral). Si de telles réactions surviennent, elles doivent être suivies immédiatement d'un examen par un médecin et d'un séjour en soins intensifs. Une attention particulière devra être portée aux maux de tête soudains et aigus semblables à des migraines qui devront être considérés comme un signe précurseur possible.
Les augmentations de la pression artérielle peuvent nécessiter un traitement par antihypertenseurs ou l'augmentation de la dose d'une médication antihypertensive existante. Une réduction de la dose de Dynepo administrée doit également être envisagée. Si les valeurs de la pression artérielle restent élevées, une interruption temporaire du traitement par Dynepo peut être nécessaire.
Une fois l'hypertension contrôlée avec un traitement plus adéquate, le traitement par Dynepo pourra être repris à une plus faible dose.
DETERMINATION DU FER :
- Pendant le traitement avec Dynepo, une déficience absolue ou fonctionnelle en fer peut survenir. C'est la raison la plus fréquente à la réponse incomplète à un traitement par érythropoïétine.
Ainsi, avant et pendant le traitement avec Dynepo, les réserves en fer du patient, y compris le taux de saturation de la transferrine et la ferritine sérique, devront être déterminées. Le taux de saturation de la transferrine devrait être de 20% au moins, et la ferritine devrait être de 100 ng/ml au moins. Si le taux de saturation de la transferrine chute en deçà de 20%, ou si la concentration de ferritine descend en dessous de 100 ng/ml, une supplémentation en fer devra être administrée. Tous les patients requerront, à la longue, une supplémentation ferrique pour augmenter ou maintenir la saturation de la transferrine et la ferritinémie à des taux qui assureront de manière adéquate l'érythropoïèse stimulée par Dynepo.
Chez des patients résistants ou mauvais répondeurs à l'érythropoïétine, présentant un échec à la dose de 20000 UI/semaine, la présence d'une anémie doit être explorée, en orientant notamment le patient vers un hématologiste.
- Chez les patients présentant une réponse inappropriée au traitement par Dynepo malgré un taux de fer normal, les paramètres suivants devront être examinés puis traités, le cas échéant :
. Infection/inflammation.
. Sang occulte dans les selles.
. Hyperparathyroïdisme/ostéodystrophie rénale.
. Intoxication à l'aluminium.
. Hémoglobinopathies telles que thalassémie ou anémie à hématies falciformes.
. Déficiences en vitamines, comme l'acide folique ou la vitamine B12.
. Hémolyse.
. Maladies malignes parmi lesquelles myélomes multiples et syndrome myélodysplasique.
. Malnutrition.
CONTROLES BIOLOGIQUES :
- Il est recommandé d'effectuer régulièrement un hématogramme complet et une numération plaquettaire.
- Le taux d'hémoglobine devra être déterminé une fois par semaine jusqu'à ce qu'il se stabilise dans les limites visées et que la dose d'entretien soit établie. Après tout ajustement de la dose, le taux d'hémoglobine devra être déterminé une fois par semaine jusqu'à stabilisation dans les limites visées. Il devra ensuite être contrôlé à intervalles réguliers.
- Les valeurs de biochimie sérique, comme la créatinine et le potassium devront être déterminées régulièrement au cours du traitement avec Dynepo.
AUTRE :
- En raison de réactions anaphylactoïdes pouvant survenir avec l'érythropoïétine et bien qu'aucune de ces réactions n'ait été observée avec Dynepo, il est recommandé d'administrer la première dose sous surveillance médicale.
- L'utilisation de Dynepo chez les patients présentant une néphrosclérose et non encore dialysés devra être définie individuellement, une accélération possible de la progression de l'insuffisance rénale ne pouvant être totalement exclue.
- Au cours de l'hémodialyse, les patients traités avec Dynepo peuvent nécessiter une augmentation des traitements anticoagulants pour prévenir toute obturation du shunt artérioveineux.
- L'utilisation détournée de l'époétine par des personnes saines peut conduire à une augmentation excessive de l'hémoglobine et de l'hématocrite. Cet effet peut être associé à des complications cardiovasculaires mettant en jeu le pronostic vital.
- En raison d'expérience clinique limitée, l'efficacité et l'innocuité de Dynepo n'ont pu être évaluées chez les patients atteints d'insuffisance hépatique.
- Dynepo n'est pas indiqué pour la prise en charge de l'anémie associée au cancer.
- Grossesse : les études chez l'animal sont insuffisantes en ce qui concerne les effets sur la grossesse. Le risque potentiel pour l'être humain est inconnu. Il faudra agir avec précaution en cas de prescription aux femmes enceintes. En cas d'utilisation pendant la grossesse, une supplémentation en fer doit être envisagée chez la mère.
- Un effet indésirable peut être attendu chez près de 10% des patients. Les effets les plus fréquents sont : hypertension, thrombose associée à l'accès vasculaire et céphalées. L'expérience clinique de l'époétine semble indiquer que le risque d'hypertension et de thrombose peut être réduit par titration de la dose pour maintenir un taux d'hémoglobine compris entre 10 et 12 g/dl.
- La fréquence des événements indésirables qui ont été observés pendant le traitement par Dynepo est présentée dans le tableau ci-dessous. Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité :
- Affections hématologiques et du système lymphatique :
Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Polyglobulie. Thrombocytose.
- Affections du système nerveux :
. Fréquents (> 1/100, < 1/10) : Céphalées.
. Rares (> 1/10000, < 1/1000) : Convulsions.
- Affections vasculaires :
Fréquents (> 1/100, < 1/10) : Hypertension.
- Affections gastro-intestinales :
Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Diarrhées. Nausées.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Prurit.
- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
. Fréquents (> 1/100, < 1/10) : Thrombose des voies d'accès.
. Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Douleur. Réaction au point d'injection (douleur, hémorragie). Syndrome grippal.
- On a observé des augmentations des valeurs sériques de la créatinine et du potassium (voir section mises en garde et précautions d'emploi).
- La fréquence des événements indésirables qui ont été observés pendant le traitement par Dynepo est présentée dans le tableau ci-dessous. Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité :
- Affections hématologiques et du système lymphatique :
Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Polyglobulie. Thrombocytose.
- Affections du système nerveux :
. Fréquents (> 1/100, < 1/10) : Céphalées.
. Rares (> 1/10000, < 1/1000) : Convulsions.
- Affections vasculaires :
Fréquents (> 1/100, < 1/10) : Hypertension.
- Affections gastro-intestinales :
Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Diarrhées. Nausées.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Prurit.
- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
. Fréquents (> 1/100, < 1/10) : Thrombose des voies d'accès.
. Peu fréquents (> 1/1000, < 1/100) : Douleur. Réaction au point d'injection (douleur, hémorragie). Syndrome grippal.
- On a observé des augmentations des valeurs sériques de la créatinine et du potassium (voir section mises en garde et précautions d'emploi).
SURVEILLANCE du traitement :
- Pression artérielle.
- Taux de saturation de la transferrine et ferritine sérique : avant et pendant le traitement.
- Taux d'hémoglobine : 1 fois par semaine jusqu'à établissement de la dose d'entretien et après tout ajustement de dose; puis à intervalles réguliers.
- Numération plaquettaire.
- Créatininémie.
- Kaliémie.
- Pression artérielle.
- Taux de saturation de la transferrine et ferritine sérique : avant et pendant le traitement.
- Taux d'hémoglobine : 1 fois par semaine jusqu'à établissement de la dose d'entretien et après tout ajustement de dose; puis à intervalles réguliers.
- Numération plaquettaire.
- Créatininémie.
- Kaliémie.
CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN en cas de maux de tête sévères, de maux de tête semblables à des migraines ou de crise d'épilepsie.
Grossesse :
Les études chez l'animal sont insuffisantes en ce qui concerne les effets sur la grossesse (voir rubrique données de sécurité précliniques). Le risque potentiel pour l'être humain est inconnu. Il faudra agir avec précaution en cas de prescription aux femmes enceintes. En cas d'utilisation pendant la grossesse, une supplémentation en fer doit être envisagée chez la mère.
Allaitement :
Le passage dans le lait de Dynepo n'est pas connu. Comme de nombreux composés sont excrétés dans le lait, l'administration de Dynepo chez la femme qui nourrit un enfant au sein doit être faite avec prudence.
Les études chez l'animal sont insuffisantes en ce qui concerne les effets sur la grossesse (voir rubrique données de sécurité précliniques). Le risque potentiel pour l'être humain est inconnu. Il faudra agir avec précaution en cas de prescription aux femmes enceintes. En cas d'utilisation pendant la grossesse, une supplémentation en fer doit être envisagée chez la mère.
Allaitement :
Le passage dans le lait de Dynepo n'est pas connu. Comme de nombreux composés sont excrétés dans le lait, l'administration de Dynepo chez la femme qui nourrit un enfant au sein doit être faite avec prudence.
- Aucune étude d'interaction n'a été conduite.
- Aucune interaction n'a été rapportée pendant le traitement avec Dynepo au cours des essais cliniques.
- Aucune interaction n'a été rapportée pendant le traitement avec Dynepo au cours des essais cliniques.
- Le traitement avec Dynepo devra être initié par des praticiens expérimentés dans le traitement de l'anémie associée à l'IRC.
- La dose de Dynepo doit être adaptée individuellement de manière à maintenir le taux d'hémoglobine dans les limites visées de 10 à 12 g/dl.
- Les symptômes et séquelles de l'anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et du poids général de la maladie ; il est nécessaire qu'un médecin évalue individuellement l'évolution clinique et l'état d'un patient. Dynepo devra être administré par voie sous-cutanée ou intraveineuse afin de limiter le taux d'hémoglobine à 12 g/dl (7,5 mmol/L). La voie sous-cutanée est préférable chez les patients non hémodialysés, afin d'éviter de ponctionner des veines périphériques.
- En raison de la variabilité intra-patient, on peut observer occasionnellement des valeurs individuelles d'hémoglobine pour un patient situées au-delà et en deçà du taux souhaité. La variabilité du taux d'hémoglobine devra être prise en compte dans la gestion de la dose, en considérant la limite visée pour l'hémoglobine comprise entre 10 g/dl (6,2 mmol/L) et 12 g/dl (7,5 mmol/L). Il convient d'éviter un taux continu d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/L) ; des conseils sont fournis ci-dessous (voir paragraphe Gestion de la dose ci-après) afin d'opérer un ajustement approprié de la dose lorsque les valeurs d'hémoglobine dépassent 12 g/dl (7,5 mmol/L).
- Il convient d'éviter toute augmentation du taux d'hémoglobine supérieure à 2 g/dl (1,25 mmol/L) sur une période de quatre semaines. Si tel est le cas, il faudra procéder à un ajustement approprié de la dose.
- Les patients devront faire l'objet d'une étroite surveillance afin de garantir que la dose adaptée la plus faible de Dynepo est utilisée dans le but de contrôler de manière adéquate les symptômes de l'anémie.
GESTION DE LA DOSE :
- La dose initiale est de 50 UI/kg trois fois par semaine en administration intraveineuse et de 50 UI/kg deux fois par semaine en administration sous-cutanée.
- Il n'est pas utile d'utiliser l'érythropoïétine pendant les trois premiers mois suivant la mise en route d'une dialyse péritonéale, en raison de l'augmentation du taux d'hémoglobine qui survient souvent durant cette période.
- Il faudra attendre suffisamment longtemps pour pouvoir déterminer la réponse du patient à la dose de Dynepo administrée avant d'ajuster cette dernière. En raison du temps requis pour l'érythropoïèse, un intervalle d'environ 4 semaines peut être nécessaire entre le moment de l'ajustement de la dose (début de traitement, augmentation, diminution ou arrêt) et un changement significatif du taux d'hémoglobine. En conséquence, la fréquence de l'ajustement de la dose ne devra pas dépasser une fois par mois, sauf indication clinique contraire.
- La dose devra être diminuée de 25% - 50% ou le traitement provisoirement interrompu puis réintroduit à un dosage plus faible si :
. Le taux d'hémoglobine atteint ou dépasse 12 g/dl ou
. L'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2 g/dl par période de 4 semaines.
- La dose devra être augmentée de 25% - 50% si :
. Le taux d'hémoglobine descend au-dessous de 10 g/dl et
. L'augmentation du taux d'hémoglobine est inférieure à 0,7 g/dl par période de 4 semaines.
ADMINISTRATION :
- Dynepo peut être administré par voie intraveineuse ou sous-cutanée. Une auto-administration sous-cutanée est possible après avoir reçu une formation par le personnel médical.
- La dose hebdomadaire requise administrée en sous-cutané est inférieure à celle administrée en intraveineux.
- Pour une injection sous-cutanée, toute la longueur de l'aiguille doit être introduite perpendiculairement dans un pli cutané tenu entre le pouce et l'index pendant toute la durée de l'injection.
- Eliminer la seringue après la première et unique utilisation.
POPULATIONS SPECIALES :
- Dynepo n'est pas indiqué pour la prise en charge de l'anémie associée au cancer.
- Aucun ajustement spécial de la dose n'est nécessaire chez les patients âgés.
- Les patients présentant une pathologie à hématies falciformes homozygote et une insuffisance rénale, doivent, autant que possible, être maintenus à une concentration totale d'hémoglobine comprise entre 7 et 9 g/dl.
- L'expérience chez les enfants est limitée.
- En raison d'expérience clinique limitée, l'efficacité et l'innocuité de Dynepo n'ont pu être évaluées chez les patients atteints d'insuffisance hépatique.
- La dose de Dynepo doit être adaptée individuellement de manière à maintenir le taux d'hémoglobine dans les limites visées de 10 à 12 g/dl.
- Les symptômes et séquelles de l'anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et du poids général de la maladie ; il est nécessaire qu'un médecin évalue individuellement l'évolution clinique et l'état d'un patient. Dynepo devra être administré par voie sous-cutanée ou intraveineuse afin de limiter le taux d'hémoglobine à 12 g/dl (7,5 mmol/L). La voie sous-cutanée est préférable chez les patients non hémodialysés, afin d'éviter de ponctionner des veines périphériques.
- En raison de la variabilité intra-patient, on peut observer occasionnellement des valeurs individuelles d'hémoglobine pour un patient situées au-delà et en deçà du taux souhaité. La variabilité du taux d'hémoglobine devra être prise en compte dans la gestion de la dose, en considérant la limite visée pour l'hémoglobine comprise entre 10 g/dl (6,2 mmol/L) et 12 g/dl (7,5 mmol/L). Il convient d'éviter un taux continu d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/L) ; des conseils sont fournis ci-dessous (voir paragraphe Gestion de la dose ci-après) afin d'opérer un ajustement approprié de la dose lorsque les valeurs d'hémoglobine dépassent 12 g/dl (7,5 mmol/L).
- Il convient d'éviter toute augmentation du taux d'hémoglobine supérieure à 2 g/dl (1,25 mmol/L) sur une période de quatre semaines. Si tel est le cas, il faudra procéder à un ajustement approprié de la dose.
- Les patients devront faire l'objet d'une étroite surveillance afin de garantir que la dose adaptée la plus faible de Dynepo est utilisée dans le but de contrôler de manière adéquate les symptômes de l'anémie.
GESTION DE LA DOSE :
- La dose initiale est de 50 UI/kg trois fois par semaine en administration intraveineuse et de 50 UI/kg deux fois par semaine en administration sous-cutanée.
- Il n'est pas utile d'utiliser l'érythropoïétine pendant les trois premiers mois suivant la mise en route d'une dialyse péritonéale, en raison de l'augmentation du taux d'hémoglobine qui survient souvent durant cette période.
- Il faudra attendre suffisamment longtemps pour pouvoir déterminer la réponse du patient à la dose de Dynepo administrée avant d'ajuster cette dernière. En raison du temps requis pour l'érythropoïèse, un intervalle d'environ 4 semaines peut être nécessaire entre le moment de l'ajustement de la dose (début de traitement, augmentation, diminution ou arrêt) et un changement significatif du taux d'hémoglobine. En conséquence, la fréquence de l'ajustement de la dose ne devra pas dépasser une fois par mois, sauf indication clinique contraire.
- La dose devra être diminuée de 25% - 50% ou le traitement provisoirement interrompu puis réintroduit à un dosage plus faible si :
. Le taux d'hémoglobine atteint ou dépasse 12 g/dl ou
. L'augmentation du taux d'hémoglobine est supérieure à 2 g/dl par période de 4 semaines.
- La dose devra être augmentée de 25% - 50% si :
. Le taux d'hémoglobine descend au-dessous de 10 g/dl et
. L'augmentation du taux d'hémoglobine est inférieure à 0,7 g/dl par période de 4 semaines.
ADMINISTRATION :
- Dynepo peut être administré par voie intraveineuse ou sous-cutanée. Une auto-administration sous-cutanée est possible après avoir reçu une formation par le personnel médical.
- La dose hebdomadaire requise administrée en sous-cutané est inférieure à celle administrée en intraveineux.
- Pour une injection sous-cutanée, toute la longueur de l'aiguille doit être introduite perpendiculairement dans un pli cutané tenu entre le pouce et l'index pendant toute la durée de l'injection.
- Eliminer la seringue après la première et unique utilisation.
POPULATIONS SPECIALES :
- Dynepo n'est pas indiqué pour la prise en charge de l'anémie associée au cancer.
- Aucun ajustement spécial de la dose n'est nécessaire chez les patients âgés.
- Les patients présentant une pathologie à hématies falciformes homozygote et une insuffisance rénale, doivent, autant que possible, être maintenus à une concentration totale d'hémoglobine comprise entre 7 et 9 g/dl.
- L'expérience chez les enfants est limitée.
- En raison d'expérience clinique limitée, l'efficacité et l'innocuité de Dynepo n'ont pu être évaluées chez les patients atteints d'insuffisance hépatique.
Durée de conservation :
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
- A conserver au réfrigérateur (entre + 2°C et + 8°C). Ne pas congeler. Conserver les seringues dans l'emballage extérieur à l'abri de la lumière.
- Les seringues préremplies non ouvertes peuvent être conservées non réfrigérées mais à une température ne dépassant pas 25°C pendant une période maximum de 5 jours. La date de péremption révisée pour la conservation à une température ne dépassant pas 25°C ne peut être au-delà de la date de péremption établie conformément à la durée de conservation de 24 mois. Après avoir été conservées à une température ne dépassant pas 25°C pendant 5 jours, les seringues préremplies doivent être jetées.
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
- A conserver au réfrigérateur (entre + 2°C et + 8°C). Ne pas congeler. Conserver les seringues dans l'emballage extérieur à l'abri de la lumière.
- Les seringues préremplies non ouvertes peuvent être conservées non réfrigérées mais à une température ne dépassant pas 25°C pendant une période maximum de 5 jours. La date de péremption révisée pour la conservation à une température ne dépassant pas 25°C ne peut être au-delà de la date de péremption établie conformément à la durée de conservation de 24 mois. Après avoir été conservées à une température ne dépassant pas 25°C pendant 5 jours, les seringues préremplies doivent être jetées.
En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.
- La dose maximale d'époétine delta pouvant être administrée en toute sécurité en dose unique ou répétée n'a pas été déterminée.
- Le traitement peut donner lieu à une polyglobulie si le taux d'hémoglobine/l'hématocrite n'est pas contrôlé avec attention et si la dose n'est pas ajustée de manière adéquate. Si les limites visées sont dépassées, le traitement par époétine delta devra être temporairement interrompu jusqu'au retour du taux d'hémoglobine/de l'hématocrite dans les limites visées. L'époétine delta pourra alors être reprise à une dose inférieure (voir section posologie et mode d'administration).
- Si une polyglobulie survient, les méthodes conventionnelles (phlébotomie) peuvent être indiquées pour diminuer le taux d'hémoglobine.
- Le traitement peut donner lieu à une polyglobulie si le taux d'hémoglobine/l'hématocrite n'est pas contrôlé avec attention et si la dose n'est pas ajustée de manière adéquate. Si les limites visées sont dépassées, le traitement par époétine delta devra être temporairement interrompu jusqu'au retour du taux d'hémoglobine/de l'hématocrite dans les limites visées. L'époétine delta pourra alors être reprise à une dose inférieure (voir section posologie et mode d'administration).
- Si une polyglobulie survient, les méthodes conventionnelles (phlébotomie) peuvent être indiquées pour diminuer le taux d'hémoglobine.
Classe pharmacothérapeutique : ANTI-ANEMIQUE (code ATC)-B03XA.
- L'érythropoïétine est une glycoprotéine qui stimule la formation d'érythrocytes à partir des précurseurs du compartiment médullaire des cellules souches. Elle agit comme un facteur stimulant la mitose et une hormone de différenciation.
- L'efficacité biologique de l'érythropoïétine a été démontrée après son administration intraveineuse et sous-cutanée chez différents modèles animaux in vivo (rats et chiens). Après administration d'époétine delta, le nombre d'érythrocytes, le taux d'hémoglobine, le nombre des réticulocytes et le taux d'incorporation 59Fe augmentent.
- Durant les études cliniques, aucun signe de développement d'anticorps neutralisant l'époétine delta, basé sur une réponse clinique, n'a été observé chez l'homme.
- Lorsque le traitement est suspendu, les paramètres érythropoïétiques tendent à retourner vers les taux de base durant la période de récupération de 1 à 3 mois. L'administration sous-cutanée se traduit par un modèle de stimulation érythropoïétique similaire à celui induit par l'administration intraveineuse.
- Patients cancéreux :
. Dynepo n'est pas indiqué dans la gestion de l'anémie associée au cancer.
. L'érythropoïétine est un facteur de croissance qui stimule principalement la production des globules rouges. Les récepteurs à l'érythropoïétine peuvent être exprimés à la surface de toute une série de cellules tumorales.
. La survie et la progression tumorale ont été examinées dans le cadre de cinq grandes études contrôlées sur l'époétine alfa, bêta et la darbépoétine alfa, et menées sur un total de 2833 patients ; quatre de ces études étaient menées en double aveugle et contrôlées contre placebo, et une en ouvert. Deux études ont recruté des patients sous chimiothérapie. La concentration visée d'hémoglobine dans deux des études était > 13 g/dl, et comprise entre 12 et 14 g/dl dans les trois autres. L'étude en ouvert n'a mis en relief aucune différence dans la survie globale entre les patients traités par érythropoïétine humaine recombinante et les contrôles. Dans les quatre études contrôlées contre placebo, les taux de risque pour la survie globale étaient compris entre 1,25 et 2,47 en faveur des contrôles. Ces études ont montré une mortalité excessive systématique inexpliquée, statistiquement significative, chez les patients atteints d'anémie associée à divers types fréquents de cancers et ayant reçu de l'érythropoïétine humaine recombinante par comparaison avec les contrôles. Les écarts d'incidence de thrombose et de complications s'y rapportant, ne permettent pas d'expliquer de manière satisfaisante, en termes de survie globale lors des essais, les résultats entre les patients recevant de l'érythropoïétine humaine recombinante et ceux du groupe de contrôle.
. On a également procédé à un examen systématique impliquant plus de 9000 patients cancéreux participant à 57 essais cliniques. La méta-analyse des données relatives à la survie globale a estimé le taux de risque à 1,08 en faveur des contrôles (IC95% : 0,99, 1,18 ; 42 essais et 8167 patients). On a observé un risque relatif plus élevé d'événements thrombo-emboliques (RR 1,67, IC95% : 1,35, 2,06, 35 essais et 6769 patients) chez les patients traités par érythropoïétine humaine recombinante. On dispose ainsi d'une preuve cohérente pour suggérer que les patients cancéreux traités par érythropoïétine humaine recombinante puissent être exposés à des dommages plus importants. Il n'a pas été clairement établi dans quelle mesure ces résultats s'appliquaient à l'administration de l'érythropoïétine humaine recombinante pour les patients cancéreux, traités par chimiothérapie afin d'atteindre des concentrations d'hémoglobine inférieures à 13 g/dl, dès lors que peu de patients présentant ces caractéristiques avaient été inclus dans les données examinées. Les résultats en termes de survie ainsi que la progression tumorale chez les patients cancéreux traités par Dynepo en raison d'une anémie associée à une insuffisance rénale chronique n'ont pas été étudiés. Il n'a pas été clairement établi dans quelle mesure les résultats observés dans le cadre des études cliniques évoquées précédemment s'appliquaient à cette population de patients, en considérant tout particulièrement le fait que les dosages administrés pour l'indication rénale sont plus faibles que dans le cas d'un cancer.
- L'érythropoïétine est une glycoprotéine qui stimule la formation d'érythrocytes à partir des précurseurs du compartiment médullaire des cellules souches. Elle agit comme un facteur stimulant la mitose et une hormone de différenciation.
- L'efficacité biologique de l'érythropoïétine a été démontrée après son administration intraveineuse et sous-cutanée chez différents modèles animaux in vivo (rats et chiens). Après administration d'époétine delta, le nombre d'érythrocytes, le taux d'hémoglobine, le nombre des réticulocytes et le taux d'incorporation 59Fe augmentent.
- Durant les études cliniques, aucun signe de développement d'anticorps neutralisant l'époétine delta, basé sur une réponse clinique, n'a été observé chez l'homme.
- Lorsque le traitement est suspendu, les paramètres érythropoïétiques tendent à retourner vers les taux de base durant la période de récupération de 1 à 3 mois. L'administration sous-cutanée se traduit par un modèle de stimulation érythropoïétique similaire à celui induit par l'administration intraveineuse.
- Patients cancéreux :
. Dynepo n'est pas indiqué dans la gestion de l'anémie associée au cancer.
. L'érythropoïétine est un facteur de croissance qui stimule principalement la production des globules rouges. Les récepteurs à l'érythropoïétine peuvent être exprimés à la surface de toute une série de cellules tumorales.
. La survie et la progression tumorale ont été examinées dans le cadre de cinq grandes études contrôlées sur l'époétine alfa, bêta et la darbépoétine alfa, et menées sur un total de 2833 patients ; quatre de ces études étaient menées en double aveugle et contrôlées contre placebo, et une en ouvert. Deux études ont recruté des patients sous chimiothérapie. La concentration visée d'hémoglobine dans deux des études était > 13 g/dl, et comprise entre 12 et 14 g/dl dans les trois autres. L'étude en ouvert n'a mis en relief aucune différence dans la survie globale entre les patients traités par érythropoïétine humaine recombinante et les contrôles. Dans les quatre études contrôlées contre placebo, les taux de risque pour la survie globale étaient compris entre 1,25 et 2,47 en faveur des contrôles. Ces études ont montré une mortalité excessive systématique inexpliquée, statistiquement significative, chez les patients atteints d'anémie associée à divers types fréquents de cancers et ayant reçu de l'érythropoïétine humaine recombinante par comparaison avec les contrôles. Les écarts d'incidence de thrombose et de complications s'y rapportant, ne permettent pas d'expliquer de manière satisfaisante, en termes de survie globale lors des essais, les résultats entre les patients recevant de l'érythropoïétine humaine recombinante et ceux du groupe de contrôle.
. On a également procédé à un examen systématique impliquant plus de 9000 patients cancéreux participant à 57 essais cliniques. La méta-analyse des données relatives à la survie globale a estimé le taux de risque à 1,08 en faveur des contrôles (IC95% : 0,99, 1,18 ; 42 essais et 8167 patients). On a observé un risque relatif plus élevé d'événements thrombo-emboliques (RR 1,67, IC95% : 1,35, 2,06, 35 essais et 6769 patients) chez les patients traités par érythropoïétine humaine recombinante. On dispose ainsi d'une preuve cohérente pour suggérer que les patients cancéreux traités par érythropoïétine humaine recombinante puissent être exposés à des dommages plus importants. Il n'a pas été clairement établi dans quelle mesure ces résultats s'appliquaient à l'administration de l'érythropoïétine humaine recombinante pour les patients cancéreux, traités par chimiothérapie afin d'atteindre des concentrations d'hémoglobine inférieures à 13 g/dl, dès lors que peu de patients présentant ces caractéristiques avaient été inclus dans les données examinées. Les résultats en termes de survie ainsi que la progression tumorale chez les patients cancéreux traités par Dynepo en raison d'une anémie associée à une insuffisance rénale chronique n'ont pas été étudiés. Il n'a pas été clairement établi dans quelle mesure les résultats observés dans le cadre des études cliniques évoquées précédemment s'appliquaient à cette population de patients, en considérant tout particulièrement le fait que les dosages administrés pour l'indication rénale sont plus faibles que dans le cas d'un cancer.
Les propriétés pharmacocinétiques de l'érythropoïétine après une administration d'époétine delta ont été examinées à la fois chez des volontaires sains et des patients atteints d'insuffisance rénale chronique. A la suite d'une administration de doses IV, le volume de distribution approche le volume sanguin total et se situe entre 0,063 et 0,097 L/kg. La demi-vie se situe entre 4,7 et 13,2 heures chez les patients. La demi-vie est approximativement 50% plus courte chez les sujets sains. Les concentrations d'érythropoïétine sériques mesurées restent constantes pendant au moins 24 heures après administration de doses entre 50 UI/kg et 300 UI/kg. L'exposition à l'érythropoïétine après une administration d'époétine delta augmente proportionnellement chez les patients recevant des doses de 50 UI/kg à 300 UI/kg par voie intraveineuse. Aucune accumulation d'époétine delta n'a été observée après une administration IV répétée trois fois par semaine.
Les pics sériques d'époétine delta administrée en sous-cutanée apparaissent dans les 8 à 36 heures suivant l'injection. La demi-vie de l'époétine delta administrée en sous-cutanée est prolongée comparée à une administration IV, et s'étale entre 27 et 33 heures. La biodisponibilité de l'époétine delta administrée en sous-cutanée est comprise entre 26% et 36%.
Les pics sériques d'époétine delta administrée en sous-cutanée apparaissent dans les 8 à 36 heures suivant l'injection. La demi-vie de l'époétine delta administrée en sous-cutanée est prolongée comparée à une administration IV, et s'étale entre 27 et 33 heures. La biodisponibilité de l'époétine delta administrée en sous-cutanée est comprise entre 26% et 36%.
Dynepo a peu ou pas d'effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Des études animales conduites avec Dynepo ainsi qu'avec l'époétine alpha chez des rates et des lapines gestantes n'ont montré aucun effet tératogène, mais ont indiqué des effets réversibles liés à la classe sur la croissance et sur l'hématopoïèse chez la progéniture.
Dans des études non cliniques, des effets ont été observés uniquement à des doses nettement supérieures à la dose maximale chez l'homme, suggérant une faible pertinence clinique chez ce dernier.
Dans des études non cliniques, des effets ont été observés uniquement à des doses nettement supérieures à la dose maximale chez l'homme, suggérant une faible pertinence clinique chez ce dernier.
- Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
- En administration sous-cutanée, le site d'injection devra être changé à chaque nouvelle administration.
- Inspecter la seringue préremplie avant utilisation. Celle-ci ne doit être utilisée que si la solution est limpide et incolore comme de l'eau et ne contient pas de particules visibles.
Ne pas agiter la seringue. Une agitation vigoureuse prolongée pourrait dénaturer la substance active.
- La seringue est pré-assemblée avec un dispositif de sécurité pour protéger l'aiguille et éviter toute blessure par piqûre. Cela ne gêne pas le fonctionnement normal de la seringue et la seringue peut pivoter dans le dispositif. Administrer la quantité requise. Une fois l'injection administrée, le dispositif de sécurité couvrira l'aiguille pendant la libération du piston. Laisser la seringue remonter jusqu'à ce que toute l'aiguille soit protégée.
- En administration sous-cutanée, le site d'injection devra être changé à chaque nouvelle administration.
- Inspecter la seringue préremplie avant utilisation. Celle-ci ne doit être utilisée que si la solution est limpide et incolore comme de l'eau et ne contient pas de particules visibles.
Ne pas agiter la seringue. Une agitation vigoureuse prolongée pourrait dénaturer la substance active.
- La seringue est pré-assemblée avec un dispositif de sécurité pour protéger l'aiguille et éviter toute blessure par piqûre. Cela ne gêne pas le fonctionnement normal de la seringue et la seringue peut pivoter dans le dispositif. Administrer la quantité requise. Une fois l'injection administrée, le dispositif de sécurité couvrira l'aiguille pendant la libération du piston. Laisser la seringue remonter jusqu'à ce que toute l'aiguille soit protégée.
Liste I.
Médicament soumis à prescription initiale hospitalière de 1 an réservée aux spécialistes en néphrologie, hématologie et en médecine interne. Prescription autorisée aux médecins exerçant dans des services de dialyse à domicile.
Médicament d'exception.
Médicament soumis à prescription initiale hospitalière de 1 an réservée aux spécialistes en néphrologie, hématologie et en médecine interne. Prescription autorisée aux médecins exerçant dans des services de dialyse à domicile.
Médicament d'exception.
Solution limpide, incolore et aqueuse.
Seringues préremplies (verre de Type I) avec un bouchon (caoutchouc bromobutyl), une aiguille (acier inoxydable) de 27 gauge munie d'un capuchon protecteur (caoutchouc naturel rigide et polystyrène), une tige de piston (polystyrène) et un dispositif de sécurité de l'aiguille. Des boîtes de 6 seringues préremplies sont disponibles.