GYNOMYK 100 mg, ovule, boîte de 3

Dernière révision : 28/02/2002

Taux de TVA : 10%

Laboratoire exploitant : THERATECH

Source : Base Claude Bernard
Traitement local des mycoses vulvovaginales surinfectées ou non par des bactéries Gram +.
- Hypersensibilité à l'un des composants (ou sensibilisation de groupe).
- Grossesse : bien que les études chez l'animal ne permettent pas d'anticiper un effet embryotoxique ou tératogène dans l'espèce humaine, l'expérience acquise chez la femme enceinte est insuffisante pour autoriser ce traitement au cours du premier trimestre de la grossesse.
MISES EN GARDE :
En l'absence d'une symptomatologie clinique évocatrice, la seule constatation d'un candida sur les muqueuses ne peut constituer en soi une indication.
La candidose confirmée, il faut rechercher avec soin les facteurs écologiques permettant et favorisant le développement du champignon.
Pour éviter les rechutes, l'éradication ou la compensation des facteurs favorisants est indispensable.
Il est souhaitable de traiter simultanément tout foyer à candida, reconnu pathogène, associé.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
Il est déconseillé d'utiliser un savon à pH acide (pH favorisant la multiplication de candida).
Localement, les rares manifestations d'intolérance sont des sensations de brûlure ou d'exacerbation du prurit.
Bien que le taux de résorption soit faible, le risque d'apparition d'effet systémique ne peut être totalement exclu. Toutefois, aucun effet systémique n'a été jusqu'à présent rapporté.
Grossesse :
Bien que les études chez l'animal ne permettent pas d'anticiper un effet embryotoxique ou tératogène dans l'espèce humaine, l'expérience acquise chez la femme enceinte est insuffisante pour autoriser ce traitement au cours du premier trimestre de la grossesse.

Sans objet.

Dans la majorité des cas pendant 3 jours consécutifs, un ovule le soir au coucher à introduire profondément dans le vagin, de préférence en position allongée.
En cas de mycose récidivante ou rebelle supposant des facteurs favorisants, une seconde cure peut être prescrite soit immédiatement après la première, soit après un intervalle libre de 10 jours.
Conseils pratiques :
Le traitement s'accompagne de précautions d'hygiène :
- port de sous-vêtements de coton,
- éviter les savons acides,
- éviter les douches vaginales.
Le traitement du partenaire se discutera en fonction de chaque cas.
Ne pas interrompre le traitement pendant les règles.
Durée de conservation :
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 30°C.
Sans objet.

Sans objet.

ANTIFONGIQUE.
(G : système génito-urinaire et hormones sexuelles).
Le nitrate de butoconazole est un dérivé imidazolé doué d'une activité antifongique et antibactérienne.
Cette activité a été démontrée in vitro et s'exerce sur les agents responsables de mycoses cutanéomuqueuses et notamment sur :
. les champignons levuriformes (candida, Torulopsis et Cryptococcus),
. les bactéries Gram+ (en particulier Staphylococcus et Streptococcus).
Dans les infections expérimentales vaginales à Candida albicans, le nitrate de butoconazole s'est montré actif sur la réduction de l'infection ainsi que sur la prévention des récidives. C'est pourquoi la constatation d'une mycose récidivante ou rebelle, compte tenu de l'efficacité du nitrate de butoconazole, doit faire réévaluer la situation clinique (voir mises en garde et précautions d'emploi).
La résorption vaginale du nitrate de butoconazole chez le sujet sain est faible (5,5% en moyenne de la dose administrée) et n'est pas modifiée en présence d'une mycose (5,8% en moyenne de la dose administrée).
Sans objet.

Sans objet.

Sans objet.

Liste I.
Absence d'information dans l'AMM.
Ovule sous film thermosoudé (Polyéthylène/PVC) ; boîte de 3.