POTASSIUM CHLORURE 10 POUR CENT AGUETTANT, solution injectable pour perfusion à diluer, boîte de 50 ampoules de 20 ml
Retiré du marché le : 04/07/2008
Dernière révision : 07/06/1987
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : AGUETTANT
Traitement d'une hypokaliémie et correction d'une déplétion potassique lors de désordres sévères ou lorsque les apports par voie entérale sont impossibles ou insuffisants.
NB : L'administration IV de sel de potassium entraîne un gradient rapide de potassium pouvant provoquer une hyperkaliémie et un arrêt cardiaque (voir mode d'emploi et posologie).
NB : L'administration IV de sel de potassium entraîne un gradient rapide de potassium pouvant provoquer une hyperkaliémie et un arrêt cardiaque (voir mode d'emploi et posologie).
CONTRE-INDIQUE :
- L'hyperkaliémie apparaissant au cours d'administration de chlorure de potassium justifie l'arrêt du traitement.
- Associations contre-indiquées : diurétiques hyperkaliémiants : amiloride, canrénone, spironolactone, triamtérène (seuls ou associés).
DECONSEILLE :
L'association avec les inhibiteurs de l'enzyme de conversion est déconseillée (voir interactions).
- L'hyperkaliémie apparaissant au cours d'administration de chlorure de potassium justifie l'arrêt du traitement.
- Associations contre-indiquées : diurétiques hyperkaliémiants : amiloride, canrénone, spironolactone, triamtérène (seuls ou associés).
DECONSEILLE :
L'association avec les inhibiteurs de l'enzyme de conversion est déconseillée (voir interactions).
- l'hyperkaliémie apparaissant au cours d'administration de chlorure de potassium justifie l'arrêt du traitement. En cas d'hyperkaliémie majeure ou donnant lieu à des signes cliniques ou électriques, mettre en route d'emblée une perfusion soit d'un soluté bicarbonaté, soit d'un soluté glucosé concentré contenant 10 UI d'insuline ordinaire pour 100 g de glucose. En cas d'insuffisance rénale, une épuration par dialyse devra parfois être entreprise avant d'arrêter cette perfusion pour éviter le rebond hyperkaliémique.
- utiliser avec prudence chez le sujet âgé.
- contrôler la kaliémie avant et pendant le traitement en particulier dans toute situation pouvant augmenter la kaliémie.
- utiliser avec prudence chez le sujet âgé.
- contrôler la kaliémie avant et pendant le traitement en particulier dans toute situation pouvant augmenter la kaliémie.
- risque d'apparition de douleurs au point d'injection,
- risque de nécrose en cas d'injection paraveineuse.
- risque de nécrose en cas d'injection paraveineuse.
SURVEILLANCE du traitement :
- lecture ECG en continu,
- kaliémie.
- lecture ECG en continu,
- kaliémie.
Sans objet.
ASSOCIATIONS CONTRE-INDIQUEES :
Diurétiques hyperkaliémiants : amiloride, canrénone, spironolactone, triamtérène (seuls ou associés).
Risque d'hyperkaliémie potentiellement létale, en particulier chez l'insuffisant rénal (addition des effets hyperkaliémiants).
Il s'agit d'une contre-indication sauf s'il existe une hypokaliémie.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Inhibiteurs de l'enzyme de conversion :
Risque d'hyperkaliémie potentiellement létale surtout lors d'une insuffisance rénale (addition des effets hyperkaliémiants).
Ne pas associer de sels de potassium, à un inhibiteur de l'enzyme de conversion, sauf en cas d'hypokaliémie.
Diurétiques hyperkaliémiants : amiloride, canrénone, spironolactone, triamtérène (seuls ou associés).
Risque d'hyperkaliémie potentiellement létale, en particulier chez l'insuffisant rénal (addition des effets hyperkaliémiants).
Il s'agit d'une contre-indication sauf s'il existe une hypokaliémie.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Inhibiteurs de l'enzyme de conversion :
Risque d'hyperkaliémie potentiellement létale surtout lors d'une insuffisance rénale (addition des effets hyperkaliémiants).
Ne pas associer de sels de potassium, à un inhibiteur de l'enzyme de conversion, sauf en cas d'hypokaliémie.
- Elle doit être adaptée aux besoins du malade.
Les apports quotidiens habituels sont de l'ordre de 65 mmol de potassium (soit 5 g de chlorure de potassium).
- Voie IV stricte après dilution. Le débit de perfusion ne devant pas, habituellement, dépasser 13 à 15 mmol/heure. La concentration du soluté ne doit pas dépasser 4 g/L de chlorure de potassium (soit 50 mmol/L de potassium). L'administration de sels de potassium, par voie parentérale, doit être surveillée sur les dosages répétés de l'ionogramme plasmatique.
Les apports quotidiens habituels sont de l'ordre de 65 mmol de potassium (soit 5 g de chlorure de potassium).
- Voie IV stricte après dilution. Le débit de perfusion ne devant pas, habituellement, dépasser 13 à 15 mmol/heure. La concentration du soluté ne doit pas dépasser 4 g/L de chlorure de potassium (soit 50 mmol/L de potassium). L'administration de sels de potassium, par voie parentérale, doit être surveillée sur les dosages répétés de l'ionogramme plasmatique.
Durée de conservation :
5 ans.
5 ans.
Sans objet.
- Le surdosage peut avoir des conséquences redoutables allant jusqu'à la mort par arrêt cardiaque. Les troubles électriques cardiaques, qui se traduisent sur l'électrocardiogramme par des ondes T amples et pointues, un aplatissement de l'onde P, un allongement de l'espace PR, puis un élargissement des complexes QRS, précèdent habituellement l'arrêt cardiaque.
- L'hyperkaliémie apparaissant en cours d'administration de KCI justifie l'arrêt du traitement. En cas d'hyperkaliémie majeure ou donnant lieu à des signes cliniques ou électriques, mettre en route, d'emblée, une perfusion, soit d'un soluté bicarbonaté, doit d'un glucosé concentré contenant 10 UI d'insuline ordinaire pour 100 g de glucose. En cas d'insuffisance rénale, une épuration par dialyse devra, parfois, être entreprise avant d'arrêter cette perfusion, pour éviter le rebond hyperkaliémique.
- L'hyperkaliémie apparaissant en cours d'administration de KCI justifie l'arrêt du traitement. En cas d'hyperkaliémie majeure ou donnant lieu à des signes cliniques ou électriques, mettre en route, d'emblée, une perfusion, soit d'un soluté bicarbonaté, doit d'un glucosé concentré contenant 10 UI d'insuline ordinaire pour 100 g de glucose. En cas d'insuffisance rénale, une épuration par dialyse devra, parfois, être entreprise avant d'arrêter cette perfusion, pour éviter le rebond hyperkaliémique.
SUPPLEMENTATION POTASSIQUE.
- Sur le plan biologique, une hypokaliémie inférieure à 3,6 mmol/L indique une carence en potassium. Cette carence peut être d'origine :
. digestive : diarrhées, vomissement, laxatifs stimulants.
. rénale : par augmentation de l'excrétion urinaire en cas de maladie tubulaire congénitale ou lors de traitement par salidiurétiques, corticoïdes ou amphotéricine B (IV), par consommation abusive d'alcalins ou de dérivés de la réglisse.
. endocrinienne : hyperaldostéronisme primaire (relève du traitement étiologique).
- La carence potassique quand elle est symptomatique se traduit par : fatigabilité musculaire, pseudoparalysies, crampes et modification de l'ECG : troubles de la repolarisation et l'hyperexcitabilité ventriculaire.
- Ion chlore : correction de l'alcalose métabolique souvent associée à l'hypokaliémie.
- Sur le plan biologique, une hypokaliémie inférieure à 3,6 mmol/L indique une carence en potassium. Cette carence peut être d'origine :
. digestive : diarrhées, vomissement, laxatifs stimulants.
. rénale : par augmentation de l'excrétion urinaire en cas de maladie tubulaire congénitale ou lors de traitement par salidiurétiques, corticoïdes ou amphotéricine B (IV), par consommation abusive d'alcalins ou de dérivés de la réglisse.
. endocrinienne : hyperaldostéronisme primaire (relève du traitement étiologique).
- La carence potassique quand elle est symptomatique se traduit par : fatigabilité musculaire, pseudoparalysies, crampes et modification de l'ECG : troubles de la repolarisation et l'hyperexcitabilité ventriculaire.
- Ion chlore : correction de l'alcalose métabolique souvent associée à l'hypokaliémie.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Les récipients doivent porter de façon apparente sur fond bleu la mention "Solution hypertonique à diluer avant emploi".
En ce qui concerne la dénomination, les caractères d'imprimerie, les chiffres de la concentration doivent être choisis de façon à attirer l'attention de l'utilisateur. Ils doivent ressortir nettement de ceux intitulé de la solution.
En ce qui concerne la dénomination, les caractères d'imprimerie, les chiffres de la concentration doivent être choisis de façon à attirer l'attention de l'utilisateur. Ils doivent ressortir nettement de ceux intitulé de la solution.
Absence d'information dans l'AMM.
20 ml en ampoule (verre) ; boîte de 50.