TROPHIRES COMPOSE NOURRISSONS, suppositoire, boîte de 8
Retiré du marché le : 16/01/2012
Dernière révision : 14/11/2011
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : SANOFI AVENTIS FRANCE
Traitement antipyrétique au cours des affections bronchiques aiguës bénignes.
- Allergie au paracétamol.
- Insuffisance hépatocellulaire.
- Insuffisance hépatocellulaire.
ALERTE AFSSAPS DU 14/11/2011
Hypersensibilité à la (aux) substance(s) active(s) ou à l’un des excipients
Enfants de moins de 30 mois
Enfants ayant des antécédents d’épilepsie ou de convulsions fébriles
Antécédent récent de lésion anorectale
MISES EN GARDE :
Réservé au nourrisson de 8 à 12 kg (soit environ de 6 à 30 mois).
Cette spécialité contient des dérivés terpéniques (eucalyptus) qui peuvent entraîner, à doses excessives, des accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson. Respecter la posologie et la durée de traitement préconisées.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Chez l'enfant, la posologie quotidienne recommandée étant de 60 mg/kg/jour, cette dose ne justifie pas la prescription concomitante d'aspirine.
- En cas d'antécédent d'épilepsie, tenir compte de la présence de dérivés terpéniques.
- L'excrétion du paracétamol et de des métabolites s'effectue essentiellement dans les urines. En cas d'insuffisance rénale sévère, les prises doivent être espacées d'au moins 8 heures.
Réservé au nourrisson de 8 à 12 kg (soit environ de 6 à 30 mois).
Cette spécialité contient des dérivés terpéniques (eucalyptus) qui peuvent entraîner, à doses excessives, des accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson. Respecter la posologie et la durée de traitement préconisées.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Chez l'enfant, la posologie quotidienne recommandée étant de 60 mg/kg/jour, cette dose ne justifie pas la prescription concomitante d'aspirine.
- En cas d'antécédent d'épilepsie, tenir compte de la présence de dérivés terpéniques.
- L'excrétion du paracétamol et de des métabolites s'effectue essentiellement dans les urines. En cas d'insuffisance rénale sévère, les prises doivent être espacées d'au moins 8 heures.
- Quelques rares cas d'accidents allergiques se manifestent par de simples rashs cutanés avec érythème ou urticaire et nécessitent l'arrêt du traitement.
- De très exceptionnels cas de thrombopénies ont été signalés.
- En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non-respect des doses préconisées : risque de convulsions chez l'enfant et le nourrisson.
- Possible irritation rectale en raison de la forme pharmaceutique.
- De très exceptionnels cas de thrombopénies ont été signalés.
- En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non-respect des doses préconisées : risque de convulsions chez l'enfant et le nourrisson.
- Possible irritation rectale en raison de la forme pharmaceutique.
Sans objet.
EXAMENS PARACLINIQUES :
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase.
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase.
Réservé au nourrisson de 8 à 12 kg (soit environ de 6 à 30 mois).
Posologie :
La posologie quotidienne recommandée en paracétamol est de 60 mg/kg/jour, soit à titre indicatif :
- de 8 à 10 kg (soit environ de 6 mois à 1 an) : 1 suppositoire nourrisson, à renouveler en cas de besoin au bout de 6 heures, sans dépasser 3 suppositoires par jour ;
- de 10 à 12 kg (soit environ de 1 an à 30 mois) : 1 suppositoire nourrisson à renouveler en cas de besoin au bout de 6 heures sans dépasser 4 suppositoires par jour.
Mode d'administration :
Les prises systématiques permettent d'éviter les oscillations de douleur ou de fièvre.
Elles doivent être espacées de préférence de 6 heures, voire de 4 heures au minimum chez le nourrisson.
En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), l'intervalle entre deux prises sera au minimum de 8 heures.
Le choix de la voie rectale n'est déterminé que par la commodité d'administration du médicament.
Posologie :
La posologie quotidienne recommandée en paracétamol est de 60 mg/kg/jour, soit à titre indicatif :
- de 8 à 10 kg (soit environ de 6 mois à 1 an) : 1 suppositoire nourrisson, à renouveler en cas de besoin au bout de 6 heures, sans dépasser 3 suppositoires par jour ;
- de 10 à 12 kg (soit environ de 1 an à 30 mois) : 1 suppositoire nourrisson à renouveler en cas de besoin au bout de 6 heures sans dépasser 4 suppositoires par jour.
Mode d'administration :
Les prises systématiques permettent d'éviter les oscillations de douleur ou de fièvre.
Elles doivent être espacées de préférence de 6 heures, voire de 4 heures au minimum chez le nourrisson.
En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), l'intervalle entre deux prises sera au minimum de 8 heures.
Le choix de la voie rectale n'est déterminé que par la commodité d'administration du médicament.
Durée de conservation :
3 ans.
3 ans.
Sans objet.
L'intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) chez qui elle peut être mortelle.
- Symptômes :
Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures.
Bien que la forme suppositoire soit un facteur limitant des risques de surdosage accidentel ou intentionnel, il faut savoir qu'un surdosage, à partir de 10 g de paracétamol chez l'adulte et 150 mg/kg de poids corporel en une seule prise chez l'enfant, provoque une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et irréversible se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu'au coma et à la mort.
Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lacticodéshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l'ingestion.
- Conduite d'urgence :
Transfert immédiat en milieu hospitalier.
Avant de commencer le traitement, prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique du paracétamol.
Le traitement du surdosage comprend classiquement l'administration aussi précoce que possible de l'antidote N-acétylcystéine par voie IV ou voie orale, si possible avant la dixième heure.
Un traitement symptomatique sera institué.
- Symptômes :
Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures.
Bien que la forme suppositoire soit un facteur limitant des risques de surdosage accidentel ou intentionnel, il faut savoir qu'un surdosage, à partir de 10 g de paracétamol chez l'adulte et 150 mg/kg de poids corporel en une seule prise chez l'enfant, provoque une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et irréversible se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu'au coma et à la mort.
Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lacticodéshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l'ingestion.
- Conduite d'urgence :
Transfert immédiat en milieu hospitalier.
Avant de commencer le traitement, prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique du paracétamol.
Le traitement du surdosage comprend classiquement l'administration aussi précoce que possible de l'antidote N-acétylcystéine par voie IV ou voie orale, si possible avant la dixième heure.
Un traitement symptomatique sera institué.
ANTALGIQUE PERIPHERIQUE, ANTIPYRETIQUE.
(N : système nerveux central ; R : système respiratoire).
Association de paracétamol et d'huile essentielle d'eucalyptus, traditionnellement considéré comme un antiseptique des voies respiratoires. L'eucalyptus est un dérivé terpénique pouvant abaisser le seuil épileptogène.
(N : système nerveux central ; R : système respiratoire).
Association de paracétamol et d'huile essentielle d'eucalyptus, traditionnellement considéré comme un antiseptique des voies respiratoires. L'eucalyptus est un dérivé terpénique pouvant abaisser le seuil épileptogène.
ABSORPTION :
Par voie rectale, l'absorption du paracétamol est moins rapide que par voie orale. Elle est toutefois totale.
Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 2 à 3 heures après administration.
DISTRIBUTION :
Le paracétamol se distribue rapidement dans tous les tissus. Les concentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaison aux protéines plasmatiques est faible.
METABOLISME :
Le paracétamol est métabolisé essentiellement au niveau du foie. Les 2 voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologies supérieures aux doses thérapeutiques. Une voie mineure, catalysée par le cytochrome P450, est la formation d'un intermédiaire réactif, le N-acétyl-benzoquinone-imine rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. Lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée.
ELIMINATION :
L'élimination est essentiellement urinaire. 90% de la dose ingérée sont éliminés par le rein en 24 heures, principalement sous forme glycuroconjuguée (60 à 80%) et sulfoconjuguée (20 à 30%). Moins de 5% est éliminé sous forme inchangée.
Voie rectale : la demi-vie d'élimination plasmatique est de 4 à 5 heures.
VARIATIONS PHYSIOPATHOLOGIQUES :
- Sujet âgé : la capacité de conjugaison n'est pas modifiée.
- Insuffisant hépatique : d'après des données récentes, le métabolisme du paracétamol ne semble pas être modifié.
Par voie rectale, l'absorption du paracétamol est moins rapide que par voie orale. Elle est toutefois totale.
Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 2 à 3 heures après administration.
DISTRIBUTION :
Le paracétamol se distribue rapidement dans tous les tissus. Les concentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaison aux protéines plasmatiques est faible.
METABOLISME :
Le paracétamol est métabolisé essentiellement au niveau du foie. Les 2 voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologies supérieures aux doses thérapeutiques. Une voie mineure, catalysée par le cytochrome P450, est la formation d'un intermédiaire réactif, le N-acétyl-benzoquinone-imine rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. Lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée.
ELIMINATION :
L'élimination est essentiellement urinaire. 90% de la dose ingérée sont éliminés par le rein en 24 heures, principalement sous forme glycuroconjuguée (60 à 80%) et sulfoconjuguée (20 à 30%). Moins de 5% est éliminé sous forme inchangée.
Voie rectale : la demi-vie d'élimination plasmatique est de 4 à 5 heures.
VARIATIONS PHYSIOPATHOLOGIQUES :
- Sujet âgé : la capacité de conjugaison n'est pas modifiée.
- Insuffisant hépatique : d'après des données récentes, le métabolisme du paracétamol ne semble pas être modifié.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
8 suppositoires sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).