SPEVIN, gélule, boîte de 15
Retiré du marché le : 02/05/2011
Dernière révision : 22/01/1996
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : TRADIPHAR
Traitement de courte durée de la constipation occasionnelle.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament est contre-indiqué dans le situations suivantes :
- colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...),
- syndrome occlusif ou subocclusif,
- syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée,
- états de déshydratation sévère avec déplétion électrolytique,
- enfants de moins de 10 ans.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé dans les situations suivantes :
- chez l'enfant de 10 à 15 ans,
- en association avec les médicaments donnant des torsades de pointes [anti-arythmiques (amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol) ; non anti-arythmiques (astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sultopride, terfénadine, vincamine)].
Il n'est pas recommandé d'administrer ce produit durant la grossesse ou en période d'allaitement.
Ce médicament est contre-indiqué dans le situations suivantes :
- colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...),
- syndrome occlusif ou subocclusif,
- syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée,
- états de déshydratation sévère avec déplétion électrolytique,
- enfants de moins de 10 ans.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé dans les situations suivantes :
- chez l'enfant de 10 à 15 ans,
- en association avec les médicaments donnant des torsades de pointes [anti-arythmiques (amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol) ; non anti-arythmiques (astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sultopride, terfénadine, vincamine)].
Il n'est pas recommandé d'administrer ce produit durant la grossesse ou en période d'allaitement.
- Le traitement médicamenteux de la constipation n'est qu'un adjuvant au traitement hygiénodiététique :
. enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons (eau) ;
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle : elle doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
- Une utilisation prolongée d'un laxatif est déconseillée (ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement).
- La prise prolongée de dérivés anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
. la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques avec hypokaliémie ; elle est très rare ;
. une situation de "dépendance" avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l'insu du médecin.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide].
. enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons (eau) ;
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle : elle doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
- Une utilisation prolongée d'un laxatif est déconseillée (ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement).
- La prise prolongée de dérivés anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
. la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques avec hypokaliémie ; elle est très rare ;
. une situation de "dépendance" avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l'insu du médecin.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide].
- Possibilité de diarrhée, de douleurs abdominales en particulier chez les sujets souffrant de côlon irritable.
- Possibilité d'hypokaliémie.
- Parfois, coloration anormale des urines sans signification clinique.
- Possibilité d'hypokaliémie.
- Parfois, coloration anormale des urines sans signification clinique.
Il n'est pas recommandé d'administrer ce produit durant la grossesse ou en période d'allaitement.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Médicaments donnant des torsades de pointes :
- Anti-arythmiques : amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol.
- Non anti-arythmiques : astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sultopride, terfénadine, vincamine.
Risque de torsades de pointes : l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant.
Utiliser un laxatif non irritant.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques :
Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
Surveillance de la kaliémie et, s'il y a lieu, ECG.
Utiliser un laxatif non irritant.
- Autres hypokaliémiants : diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo : voie générale), tétracosactide.
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
Surveillance de la kaliémie et, si besoin, correction. Utiliser un laxatif non irritant.
Médicaments donnant des torsades de pointes :
- Anti-arythmiques : amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol.
- Non anti-arythmiques : astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sultopride, terfénadine, vincamine.
Risque de torsades de pointes : l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant.
Utiliser un laxatif non irritant.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques :
Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
Surveillance de la kaliémie et, s'il y a lieu, ECG.
Utiliser un laxatif non irritant.
- Autres hypokaliémiants : diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo : voie générale), tétracosactide.
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
Surveillance de la kaliémie et, si besoin, correction. Utiliser un laxatif non irritant.
RESERVE A L'ADULTE.
1 gélule après le repas du soir à avaler avec un grand verre d'eau.
Ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement.
1 gélule après le repas du soir à avaler avec un grand verre d'eau.
Ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement.
Durée de conservation :
5 ans.
5 ans.
Sans objet.
Sans objet.
LAXATIF IRRITANT.
(A : appareil digestif et métabolisme).
Ce médicament modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique.
(A : appareil digestif et métabolisme).
Ce médicament modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Gélule ivoire.
15 gélules sous plaquette thermoformée (PVC, aluminium).