RHUBARBE LAFRAN 250 mg, comprimé, étui de 30
Retiré du marché le : 12/05/2010
Dernière révision : 30/11/1992
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : LAFRAN
Traitement symptomatique de la constipation.
CONTRE-INDIQUE :
- Colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...).
- Syndrome occlusif ou subocclusif, syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée, fécalome.
- Enfant de moins de 12 ans (sauf prescription médicale).
DECONSEILLE :
- Il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement en raison de la possibilité de passage de dérivés anthracéniques dans le lait maternel.
- traitement associé par :
. anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe Ia (type quinidines), sotalol, amiodarone ;
. lidoflazine, prénylamine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
- Colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...).
- Syndrome occlusif ou subocclusif, syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée, fécalome.
- Enfant de moins de 12 ans (sauf prescription médicale).
DECONSEILLE :
- Il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement en raison de la possibilité de passage de dérivés anthracéniques dans le lait maternel.
- traitement associé par :
. anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe Ia (type quinidines), sotalol, amiodarone ;
. lidoflazine, prénylamine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
MISES EN GARDE :
- Le traitement médicamenteux de la constipation n'est qu'un adjuvant au traitement hygiénodiététique :
. enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons.
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- Une utilisation prolongée du laxatif est déconseillée.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle. Elle doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
- La prise prolongée de principes anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
. la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques ou hypokaliémie ; elle est très rare ;
. une situation de "dépendance" avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l'insu du médecin.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement en raison de la possibilité de passage de dérivés anthracéniques dans le lait maternel.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés)].
- Le traitement médicamenteux de la constipation n'est qu'un adjuvant au traitement hygiénodiététique :
. enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons.
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- Une utilisation prolongée du laxatif est déconseillée.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle. Elle doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
- La prise prolongée de principes anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
. la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques ou hypokaliémie ; elle est très rare ;
. une situation de "dépendance" avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l'insu du médecin.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement en raison de la possibilité de passage de dérivés anthracéniques dans le lait maternel.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés)].
Possibilité de diarrhées, douleurs abdominales en particulier chez les sujets souffrant de côlon irritable, possibilité d'hypokaliémie.
Il est déconseillé d'administrer ce produit à la femme en période d'allaitement en raison de la possibilité de passage de dérivés anthracéniques dans le lait maternel.
Risque d'hypokaliémie et donc d'interactions médicamenteuses en cas d'association d'un laxatif stimulant avec :
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe la (type quinidine), sotalol, amiodarone.
Risque de torsades de pointes.
- lidoflazine, prénylamine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
Risque de torsades de pointes.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- digitaliques : effets toxiques des digitaliques risquant d'être favorisés ; surveiller la kaliémie et si besoin la corriger.
- autres hypokaliémiants : amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo : voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés).
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif), surveillance de la kaliémie et si besoin correction.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- anti-arythmiques donnant des torsades de pointes : bépridil, anti-arythmiques de classe la (type quinidine), sotalol, amiodarone.
Risque de torsades de pointes.
- lidoflazine, prénylamine, vincamine (médicaments non anti-arythmiques donnant des torsades de pointes).
Risque de torsades de pointes.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- digitaliques : effets toxiques des digitaliques risquant d'être favorisés ; surveiller la kaliémie et si besoin la corriger.
- autres hypokaliémiants : amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo : voie générale), tétracosactide, diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés).
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif), surveillance de la kaliémie et si besoin correction.
Voie orale.
La posologie habituelle est de 1 à 4 comprimés le soir au coucher.
Le traitement doit être de courte durée (8 à 10 jours maximum).
La posologie habituelle est de 1 à 4 comprimés le soir au coucher.
Le traitement doit être de courte durée (8 à 10 jours maximum).
Durée de conservation :
3 ans.
3 ans.
Sans objet.
Sans objet.
LAXATIF STIMULANT. Il modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Comprimé rond bombé brun-marron.
30 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC-Aluminium).