CAMPHODIONYL, sirop, flacon ( cuillère-mesure de 5 ml) de 200 ml
Retiré du marché le : 17/03/2008
Dernière révision : 12/08/1999
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : DISTRI B3
Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
Remarque : l'association d'un antitussif et d'un expectorant n'est pas justifiée.
Remarque : l'association d'un antitussif et d'un expectorant n'est pas justifiée.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament ne doit pas être utilisé en cas de :
- hypersensibilité à l'un des constituants,
- insuffisance respiratoire,
- toux de l'asthmatique,
- allaitement : la codéine passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé en association avec l'alcool.
Ce médicament ne doit pas être utilisé en cas de :
- hypersensibilité à l'un des constituants,
- insuffisance respiratoire,
- toux de l'asthmatique,
- allaitement : la codéine passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé en association avec l'alcool.
MISES EN GARDE :
RESERVE A L'ADULTE ET L'ENFANT DE PLUS DE 15 KG (soit environ 4 ans).
ATTENTION : LE TITRE ALCOOLIQUE DE CE MEDICAMENT EST DE 0,8° SOIT 7 mg D'ALCOOL PAR ml.
- Un traitement prolongé à forte dose peut conduire à un état de dépendance.
- Les toux productives, qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.
- Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
- Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.
- Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
- L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Prudence en cas d'hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
- En cas de diabète ou de régime hypoglucidique, tenir compte de la teneur en saccharose (4 g par cuillère mesure, 12 g par cuillère à soupe).
- Grossesse :
. Codéine : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de la codéine.
En clinique, les données épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes n'ont cependant pas mis en évidence un risque malformatif particulier de la codéine. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
. Sulfogaïacol : en clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois le suivi de grossesses exposées au sulfogaïacol est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, par mesure de précaution, l'utilisation de ce médicament est à éviter pendant la grossesse.
RESERVE A L'ADULTE ET L'ENFANT DE PLUS DE 15 KG (soit environ 4 ans).
ATTENTION : LE TITRE ALCOOLIQUE DE CE MEDICAMENT EST DE 0,8° SOIT 7 mg D'ALCOOL PAR ml.
- Un traitement prolongé à forte dose peut conduire à un état de dépendance.
- Les toux productives, qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire sont à respecter.
- Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
- Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique.
- Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
- L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Prudence en cas d'hypertension intracrânienne qui pourrait être majorée.
- En cas de diabète ou de régime hypoglucidique, tenir compte de la teneur en saccharose (4 g par cuillère mesure, 12 g par cuillère à soupe).
- Grossesse :
. Codéine : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de la codéine.
En clinique, les données épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes n'ont cependant pas mis en évidence un risque malformatif particulier de la codéine. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
. Sulfogaïacol : en clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois le suivi de grossesses exposées au sulfogaïacol est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, par mesure de précaution, l'utilisation de ce médicament est à éviter pendant la grossesse.
- Aux doses thérapeutiques les effets indésirables de la codéine sont comparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et plus modérés.
. Possibilité de constipation, somnolence, états vertigineux, nausées, vomissements.
. Rarement : bronchospasme, réactions cutanées allergiques, dépression respiratoire (voir contre-indications).
- Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l'arrêt brutal, qui peut être observé chez l'utilisateur et chez le nouveau-né de mère intoxiquée à la codéine.
. Possibilité de constipation, somnolence, états vertigineux, nausées, vomissements.
. Rarement : bronchospasme, réactions cutanées allergiques, dépression respiratoire (voir contre-indications).
- Aux doses suprathérapeutiques : il existe un risque de dépendance et de syndrome de sevrage à l'arrêt brutal, qui peut être observé chez l'utilisateur et chez le nouveau-né de mère intoxiquée à la codéine.
Grossesse :
- Codéine : Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de la codéine.
En clinique, les données épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes n'ont cependant pas mis en évidence un risque malformatif particulier de la codéine.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
- Sulfogaïacol : En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour.
Toutefois le suivi de grossesses exposées au sulfogaïacol est insuffisant pour exclure tout risque.
En conséquence, par mesure de précaution, l'utilisation de ce médicament est à éviter pendant la grossesse.
Allaitement :
La codéine passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
- Codéine : Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de la codéine.
En clinique, les données épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes n'ont cependant pas mis en évidence un risque malformatif particulier de la codéine.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de codéine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
- Sulfogaïacol : En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour.
Toutefois le suivi de grossesses exposées au sulfogaïacol est insuffisant pour exclure tout risque.
En conséquence, par mesure de précaution, l'utilisation de ce médicament est à éviter pendant la grossesse.
Allaitement :
La codéine passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères de codéine à doses suprathérapeutiques. En cas d'allaitement, la prise de ce médicament est contre-indiquée.
ASSOCIATION DECONSEILLEE :
Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antitussifs centraux. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Autres dépresseurs du SNC : analgésiques morphiniques, certains antidépresseurs, les antihistaminiques H1 sédatifs, barbituriques, benzodiazépines, clonidine et apparentés, hypnotiques, neuroleptiques, anxiolytiques autres que benzodiazépines.
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
- Autres dérivés morphiniques (analgésiques ou antitussifs) :
Dépression respiratoire (synergie potentialisatrice) des effets dépresseurs des morphiniques en particulier chez le sujet âgé.
Alcool :
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antitussifs centraux. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Autres dépresseurs du SNC : analgésiques morphiniques, certains antidépresseurs, les antihistaminiques H1 sédatifs, barbituriques, benzodiazépines, clonidine et apparentés, hypnotiques, neuroleptiques, anxiolytiques autres que benzodiazépines.
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
- Autres dérivés morphiniques (analgésiques ou antitussifs) :
Dépression respiratoire (synergie potentialisatrice) des effets dépresseurs des morphiniques en particulier chez le sujet âgé.
RESERVE A L'ADULTE ET L'ENFANT DE PLUS DE 15 KG (soit environ 4 ans).
Une cuillère à soupe (15 ml) contient 7,5 mg de codéine.
Une cuillère-mesure (5 ml) contient 2,5 mg de codéine.
Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
En l'absence d'autre prise médicamenteuse apportant de la codéine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de codéine à ne pas dépasser est de :
- 120 mg chez l'adulte,
- 1 mg/kg chez l'enfant de 20 à 50 kg (environ 6 à 15 ans),
- 0,5 mg/kg chez l'enfant de 15 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans).
La posologie usuelle est de :
- Chez l'adulte : 2 cuillères à soupe par prise à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin.
- Chez le sujet âgé ou en cas d'insuffisance hépatique :
La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l'adulte, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
- Chez l'enfant :
. enfant de 30 à 50 kg (environ 10 à 15 ans) : 2 à 3 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin sans dépasser la dose de 12 cuillères-mesure par jour.
. enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 1 à 2 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser la dose de 8 cuillères-mesure par jour.
. enfant de 15 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 1 cuillère-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser la dose de 4 cuillères-mesure par jour.
. Les prises devront être espacées de 6 heures au minimum.
. Les âges approximatifs en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
Une cuillère à soupe (15 ml) contient 7,5 mg de codéine.
Une cuillère-mesure (5 ml) contient 2,5 mg de codéine.
Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité aux horaires où survient la toux.
En l'absence d'autre prise médicamenteuse apportant de la codéine ou tout autre antitussif central, la dose quotidienne de codéine à ne pas dépasser est de :
- 120 mg chez l'adulte,
- 1 mg/kg chez l'enfant de 20 à 50 kg (environ 6 à 15 ans),
- 0,5 mg/kg chez l'enfant de 15 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans).
La posologie usuelle est de :
- Chez l'adulte : 2 cuillères à soupe par prise à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin.
- Chez le sujet âgé ou en cas d'insuffisance hépatique :
La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chez l'adulte, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
- Chez l'enfant :
. enfant de 30 à 50 kg (environ 10 à 15 ans) : 2 à 3 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin sans dépasser la dose de 12 cuillères-mesure par jour.
. enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 1 à 2 cuillères-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser la dose de 8 cuillères-mesure par jour.
. enfant de 15 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 1 cuillère-mesure par prise, à renouveler au bout de 6 heures en cas de besoin, sans dépasser la dose de 4 cuillères-mesure par jour.
. Les prises devront être espacées de 6 heures au minimum.
. Les âges approximatifs en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
Durée de conservation :
18 mois.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C.
18 mois.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C.
Sans objet.
- Signes chez l'adulte :
. dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée),
. somnolence, rash, vomissements,
. prurit,
. ataxie.
- Signes chez l'enfant :
(Seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique).
. bradypnée, pauses respiratoires,
. myosis,
. convulsions,
. flush et oedème du visage,
. éruption urticarienne, collapsus,
. rétention d'urine.
- Traitement :
. assistance respiratoire,
. naloxone en cas d'intoxication massive.
. dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée),
. somnolence, rash, vomissements,
. prurit,
. ataxie.
- Signes chez l'enfant :
(Seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique).
. bradypnée, pauses respiratoires,
. myosis,
. convulsions,
. flush et oedème du visage,
. éruption urticarienne, collapsus,
. rétention d'urine.
- Traitement :
. assistance respiratoire,
. naloxone en cas d'intoxication massive.
ANTITUSSIF OPIACE.
(R : système respiratoire).
- Codéine : alcaloïde de l'opium ; antitussif d'action centrale, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.
- Sulfogaïacol : expectorant.
(R : système respiratoire).
- Codéine : alcaloïde de l'opium ; antitussif d'action centrale, ayant un effet dépresseur sur les centres respiratoires.
- Sulfogaïacol : expectorant.
Codéine par voie orale :
Le temps d'obtention du pic de concentration plasmatique est de l'ordre d'une heure.
Métabolisme hépatique.
Environ 10% de la codéine est déméthylée et transformée en morphine dans l'organisme.
Demi-vie plasmatique de l'ordre de 3 h (chez l'adulte).
Traverse le placenta et diffuse dans le lait maternel.
Le temps d'obtention du pic de concentration plasmatique est de l'ordre d'une heure.
Métabolisme hépatique.
Environ 10% de la codéine est déméthylée et transformée en morphine dans l'organisme.
Demi-vie plasmatique de l'ordre de 3 h (chez l'adulte).
Traverse le placenta et diffuse dans le lait maternel.
L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
Flacon (verre incolore de type III) de 200 ml, bouchon (aluminium doré) et joint (polyéthylène basse densité). Cuillère-mesure (polystyrène cristal).