
Exenatide, DPP4
Les études menées sous exenatide chez des DT1 sont plus nuancées : meilleures glycémies post-prandiales mais élévation des glycémies à jeun (1).
En revanche, l’autre classe d’incrétines, les inhibiteurs de la DPP4, ne semblent apporter aucun bénéfice chez les DT1 après 16 semaines sous sitagliptine : en postprandial, pas de diminution des taux de glucagon ni des glycémies, et globalement pas de baisse de l’HbA1c ou du poids, malgré une augmentation nette du GLP1 endogène (2).
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