La reconnaissance de la gynécologie médicale pourrait être inscrite dans le projet de loi sur le droit des malades, premier texte à être débattu mardi à l'Assemblée nationale, lors de l'ouverture de la session parlementaire.
Un amendement en ce sens a été adopté en commission des Affaires sociales de l'Assemblée, à l'initiative des députés socialistes et communistes.
Il crée « une qualification et un diplôme de gynécologie médicale ». Il inscrit en outre dans la loi qu'il n'y a aucune obligation de consulter un généraliste avant une visite chez un gynécologue médical.
L'amendement a été adopté alors que le comité de défense de la gynécologie médicale (CDGM) a appelé à une manifestation le 13 octobre à Paris, avec un collectif de pédiatres libéraux, pour « empêcher la mort programmée de la gynécologie médicale et de la pédiatrie de ville ».
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