« Contrairement aux autres arrêts de travail, les lombalgies ne diminuent pas. Dans la plupart des cas, ce sont des arrêts courts, moins de deux semaines, mais répétitifs et avec peu de séquelles. Si ces lombalgies deviennent des maladies professionnelles, ce sont des pathologies lourdes, souvent avec une intervention chirurgicale derrière. Deux secteurs sont en sur-risque en matière de lombalgies : les services de soins à la personne et la logistique. Dans un quart des cas, elles surviennent avec d’autres fractures ou des séquelles importantes ».
Marine Jeantet, directrice des risques professionnels à l'assurance-maladie
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