« L’autre défi, c’est le prix. L’arrivée de nouveaux produits conduit à une envolée des coûts des traitements qui sont supportés par l’assurance maladie. Il est évidemment hors de question de priver les malades des progrès de la science. Mais cette ambition n’est crédible qu’à deux conditions : fixer le prix des médicaments à un niveau qui corresponde à la réalité de leur apport thérapeutique et ensuite les réguler périodiquement en fonction de leur usage et de la qualité de vie qu’ils procurent. Pourquoi faudrait-il continuer de payer au prix fort un produit dont l’intérêt médical est devenu moindre, en raison notamment d’innovations plus récentes ? »
François Hollande lors de la présentation du troisième plan cancer à l’Inca le mardi 4 février 2014.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature