Après plus de quarante ans de vie commune avec Universal Music France - qui possède dans son catalogue la marque Philips, pour laquelle l'ex-« idole des jeunes » a enregistré ses premiers succès -, Johnny Hallyday a rompu son contrat de mariage, essentiellement pour des raisons financières. Accusant la multinationale de l'avoir « dépouillé petit à petit de ses ressources et de ses biens au fil des ans », notre rocker national n'exclut pas cependant de retravailler avec Universal dans d'autres « conditions » (!).
Des propos et des affirmations qui n'ont nullement empêché un de ses plus vieux amis, Michel Sardou, de rejoindre la maison de disques du groupe Vivendi Universal (VU) par l'intermédiaire de l'acquisition du label français indépendant Trema. Trema, fondé en 1969 par Régis Talar, éditeur et découvreur de Sardou, et Jacques Revaux, cocompositeur du jackpot « Comme d'habitude » (« My Way »), compte notamment dans ses rangs des chanteurs populaires comme Enrico Macias, Michel Delpech, Serge Reggiani, Frédéric François ou des groupes hexagonaux comme Mahmatah et Dionysos. Son chiffre d'affaires en 2003 était de 120 millions d'euros et le label représente 1,5 % du marché du disque en France.
Musique et affaires
Universal : Johnny s'en va, Sardou arrive
Publié le 14/03/2004
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7498
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