SOUPÇONNÉE de manquer de personnalité, la Clio s’offre une petite « thalasso ». Une ligne plus effilée, quatre centimètres de plus en longueur, un regard masculin – sans les moustaches ! - un bouclier généreux et une entrée d’air façon 207 mais de forme plus ou moins rectangulaire. Voilà pour l’avant. À l’arrière, les feux arrière sont d’un dessin nouveau.
Pas de quoi révolutionner la planète, certes. Mais grâce à ces retouches, la Clio apparaît plus virile. Ce que confirme la présence sous le capot d’un 1,6 l 16 secondes 126 ch, retravaillé au niveau de l’admission et de l’échappement avec à la clé un gain de 18 ch et de 4 Nm de couple par rapport à l’ancienne 110 ch. Dotée d’une boîte mécanique six rapports, cette version met fin à la carrière de la 2 l 140 ch.
Au sommet de la pyramide, Renault propose une GT 2 l, 203 ch, destinée aux amateurs de sensations fortes. Forcément incorrecte politiquement, elle bénéficie d’une « déco » intérieure et extérieure spécifique. En résumé, une routière pour pères de famille actifs. À l’instar de ses surs RS Luxe et Initiale, la Sport hérite de série de la navigation intégrée Tom Tom, opérationnelle via une télécommande (490 euros en option sur les autres versions). Un prix démocratique.
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